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Neurotoxiques : Les vraies causes des maladies neurodégénératives ne sont pas prises en compte les maladies d'Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l'autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu'elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l'alimentation, l'air, l'eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu'au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons).
Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament
La plupart des médicaments anti-infectieux efficaces, tels les antibiotiques, sont des poisons et leur posologie est calculée afin de détruire l’agent infectieux sans mettre en danger la vie du patient. Les contre-poisons peuvent également être dangereux, mais leur antagonisme annule les effets toxiques de chacune des deux molécules.
il est important ici de faire la différence entre « vénéneux » qui s’applique aux végétaux et « venimeux » (de venin) qui s’applique aux animaux.
L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones
Les organophosphorés et les carbamates sont des antiparasitaires très utilisés, ils entrent notamment dans la composition de certains antipuces à usage vétérinaire (colliers)
Les carbamates peuvent également entraîner une dépendance, proche de celle des barbituriques. Cette famille de médicaments, particulièrement banalisée en France, entraîne des risques importants en cas d’intoxication aiguë. La dépendance est forte
Les neuroleptiques (La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène)
»Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. » professeurs Peter Breggin et David Cohen
La réglementation française classe les « substances vénéneuses », selon l’article L.5132-1 du Code de la Santé Publique, en 4 catégories en fonction de leur toxicité et de leur dangerosité :Article L5132-1 du Code de la Santé Publique : » Sont comprises comme substances vénéneuses : 1º Les substances dangereuses classées selon les catégories définies à l’article L. 5132-2 ; 2º Les substances stupéfiantes ; 3º Les substances psychotropes ; 4º Les substances inscrites sur la liste I et la liste II définies à l’article L. 5132-6. On entend par « substances » les éléments chimiques et leurs composés comme ils se présentent à l’état naturel ou tels qu’ils sont produits par l’industrie, contenant éventuellement tout additif nécessaire à leur mise sur le marché. On entend par « préparations » les mélanges ou solutions composés de deux substances ou plus « .
C’est une nouvelle classe de substance vénéneuse qui comprend : les antidépresseurs, les anxiolytiques, les neuroleptiques, les somnifères, les tranquillisants.
redécouvert en 1912 par les laboratoires Merck espérant l’utiliser comme anorexigène[3] qui le feront breveter en 1914 ; il est alors un intermédiaire dans la fabrication d’un styptique (vasoconstricteur)
L’héroïne fut synthétisée en 1874 comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de la toux
En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série d’amphétamines. En vente libre dès 1930, les amphétamines connaissent un succès fulgurant
La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression
Des médicaments dangereux pour les aînés Antidépresseurs, antitussifs, antihypertenseurs, diurétiques, antiépileptiques... La liste est longue et fait froid dans le dos: 70 médicaments (PDF) représenteraient un danger pour les personnes âgées, selon les résultats d'une étude publiée à la fin du mois de juin. Ils provoqueraient différents effets secondaires, comme des troubles de l'équilibre, de la vision ou de la mémoire, ou encore des faiblesses musculaires, qui pourraient être à l'origine de chutes, parfois mortelles, pour les personnes du troisième âge. ...Vingt pour cent des patients qui prenaient les médicaments en question sont décédés, contre 7 % de ceux qui n’en prenaient pas
Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.
« On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI… »