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  • Anti-cholestérol et parkinson

    Un apport en cholesterol élevé permet de réparer les cerveaux endommagés
    une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Medicine. Il s'avère que le taux de cholestérol contribue effectivement à accroître la production d'un composant important du système nerveux qui facilite bonne communication des cellules nerveuses, et empêche l'apparition de maladies du cerveau telles que la maladie de Parkinson et la maladie d'Alzheimer.
    Les statines hypocholestérolémiantes sont responsables de la destruction de la santé, causant la maladie d'Alzheimer

    Anticholestérol et maladie de parkinson
    Une étude réalisée il y a quelques années montrait qu’avec un suivi de plusieurs années, le traitement anticholestérol augmente, triple quasiment, le déclenchement de la maladie de Parkinson. D’autres auteurs d’autres études avaient écrit le contraire. Ce qui est logique, puisque dans les autres études, ce qui était mesuré, c’était la protection d’un cholestérol élevé par rapport au Parkinson, à court terme.

    témoignage : traité dans les années 2004/2005 pour le cholestérol mon mari a souffert rapidement de douleurs insupportables dans les cuisses. Puis son pied s'est mis à trembler. On lui a diagnostiqué un syndrome de Parkinson. Il prend des médicaments depuis 2006. Cette année il n'est pas bien du tout, trop d'effets secondaires, il a fait 2 épisodes de délires et de confusions, et voilà qu'on me dit maintenant "on n'est pas sûre du diagnostic".
    Ainsi on aurait fait prendre des médicaments à mon mari depuis 2006 pour une maladie qu'il n'aurait pas et qui petit à petit le conduise vers une maladie d'alzheimer ???
    Purement hallucinant.

    un niveau de cholestérol élevé protége de la maladie de parkinson

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    les statines (anticholesterol) engendrent le parkinsonnisme / syndrome parkinsonien (entre autres)

    BANDEAU

    Anticholestérols : médicaments inutiles et dangereux

  • Principes des addictions psychiatriques (Toxic psychiatry)

    Principes des addictions psychiatriques
    ...11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement.
    Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. «Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient.»
    La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [Le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]].
    ...
    Le parkinson est un effet direct du blocage domaminergique du striatum et de la substance noire. La maladie est apparue curieusement en même temps que l’usage généralisé de substances dopaminoactives, il est possible que les parkinsons soient induits par l’usage de neuroleptiques.
    ...

    Les médicaments utilisés en psychiatrie nous font plus de mal que de bien
    Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d'une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d'utilisateurs de toxicomanes, à long terme

    "Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux."

     

    SMT Gotzsche

  • Symptômes de sevrage des médicaments anti-parkinson

    Les médicaments antiparkinsoniens, tels que le Cogentin, le Kemadrin, l’Artane et le Symmetrel, sont fréquemment prescrits pour supprimer les troubles de mouvements, comme la maladie de Parkinson, causés souvent par les neuroleptiques. À peu près la moitié des patients traités avec des neuroleptiques conventionnels reçoivent aussi des médicaments antiparkinsoniens.

    Ces produits sont aussi décrits comme « anticholinergiques » à cause de leur action chimique de suppression de l’activité cholinergique du cerveau. L’hypersensibilité cholinergique provoque une large partie des effets de sevrage des médications antiparkinsoniennes qui ressemblent aux tricycliques et aux neuroleptiques et peuvent être également complexes et variées. Plusieurs études ont démontré des symptômes semblables à la grippe, comme la nausée, les vomissements, les frissons, la faiblesse et les maux de tête de même que l’insomnie et la nervosité qui se produisent lors de la période de sevrage.

    Dans une rare étude double-aveugle, avec placebo, les auteurs ont trouvé « un syndrome de sevrage reconnaissable » – nommément  une augmentation de l’anxiété manifestée par « une irritabilité, une tension, des palpitations et des maux de tête », des malaises physiques variés (particulièrement de la trachée gastrointestinale), des étourdissements debout, des battements de cœur irréguliers. De plus, des symptômes psychotiques se manifestèrent dans les premiers jours du sevrage et durèrent jusqu’à trois semaines. Huit des onze patients sevrés (73 %) affichaient ces symptômes évidents de sevrage.

    D’autres études aussi ont observé des explosions de symptômes psychotiques qui sont normalement accompagnés par une réapparition de mouvements anormaux. En effet, les chercheurs ont relié directement ces symptômes de psychose – incluant les délires, les hallucinations, les tentatives de suicide et l’isolement – aux symptômes physiques de rigidité, de nervosité, d’akathisie et de parkinson.

    Dans l’une de ces études, les auteurs soulignent simplement que « le syndrome anticholinergique de sevrage ressemble au syndrome négatif de schizophrénie à plusieurs égards. Chez les patients schizophrènes, ces symptômes peuvent être pris par erreur pour une décompensation psychotique et résulter en un traitement inadéquat ». Un cas rapporté décrit aussi un état catatonique grave (immobilisme) lors d’un sevrage brusque du Symmetrel.

    De plus, un cas grave ressemblant au syndrome malign de neuroleptique a été rapporté lors d’un sevrage d’antiparkinsoniens, même si le patient n’avait jamais reçu de neuroleptiques.

    Étant donné que les antiparkinsoniens aggravent la dyskinésie tardive et atteignent la mémoire, le sevrage peut générer des bienfaits additionnels. En particulier, le sevrage peut améliorer les symptômes de dyskinésie tardive et peut provoquer « une augmentation dramatique de la mémoire sur l’échelle Wechsler Memory Scale ».

    Comme avec toutes les médications psychiatriques, le sevrage d’antiparkinsoniens  devrait se faire graduellement, faisant en sorte de réduire la réapparition de mouvements anormaux supprimés originalement par les produits. Un sevrage graduel est plus garant d’un non retour à la consommation de médicament.

  • Introduction aux neurotoxiques et aux médicaments neurotoxiques

    Neurotoxiques : Les vraies causes des maladies neurodégénératives ne sont pas prises en compte
    les maladies d'Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques et l'autisme, dont le nombre de cas explose et qui touchent des personnes de plus en plus jeunes, ne sont pas une fatalité. Elles pourraient être évitées par une politique de prévention, puisqu'elles sont essentiellement dues à la prolifération des molécules chimiques dans l'alimentation, l'air, l'eau, les maisons, les objets usuels, plutôt qu'au vieillissement ou à des causes génétiques. En effet 300 000 substances sont répertoriées à ce jour (sans compter leurs innombrables combinaisons).

    Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?
    R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament

    Pesticides, médicaments, insecticides, psychotropes....et neurotoxiques
    Tout sur les neurotoxiques

    Poison : Neurotoxiques (Inhibiteur de la jonction synaptique …)  
    La plupart des médicaments anti-infectieux efficaces, tels les antibiotiques, sont des poisons et leur posologie est calculée afin de détruire l’agent infectieux sans mettre en danger la vie du patient. Les contre-poisons peuvent également être dangereux, mais leur antagonisme annule les effets toxiques de chacune des deux molécules.
    il est important ici de faire la différence entre « vénéneux » qui s’applique aux végétaux et « venimeux » (de venin) qui s’applique aux animaux.
    Un neurotoxique agit habituellement en perturbant ou en paralysant l’influx nerveux
    Code de la santé publique
    Pesticides : de nombreux pesticides sont des toxiques du système nerveux provoquent retards intellectuels, Parkinson…
    Les produits neurotoxiques
    La plupart des pesticides et 90% des insecticides sont des neurotoxiques
    L’effet des antidépresseurs peut se rapprocher de celui de l’ecstasy qui provoque le relâchement de grandes quantités de sérotonine aux terminaisons nerveuses des neurones

    benzodiazépine
      (substances vénéneuses)
    toxicomanie aux benzodiazépines : « Il est plus difficile de sevré les personnes des benzodiazepines que de l’héroïne. » professeur m Lader (1999)
    les effets indésirables, et les symptômes de sevrage sont similaires à ceux des benzodiazépines et d’autres anxiolitiques
    médicaments, drogues et dépendances
    neuroleptiques cachés et atarax
    1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides
    mépronizine, donormyl, noctran, théralène, vastarel, nozinan, phénergan
    Les organophosphorés et les carbamates sont des antiparasitaires très utilisés, ils entrent notamment dans la composition de certains antipuces à usage vétérinaire (colliers)
    Les carbamates peuvent également entraîner une dépendance, proche de celle des barbituriques. Cette famille de médicaments, particulièrement banalisée en France, entraîne des risques importants en cas d’intoxication aiguë. La dépendance est forte
    équanil, mépronizine… construction en cours
     
    les dangers de la toxicomanie aux beta-bloquants
     
    au moins 300 médicaments contiennent du fluorure

    Les neuroleptiques
     (La phénothiazine est un agent insecticide et anthelminthique synthétisé initialement en 1883 à partir de bleu de méthylène)
    »Nous croyons qu’une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l’usage d’une médication si dangereuse. » professeurs Peter Breggin et David Cohen
    La réglementation française classe les « substances vénéneuses », selon l’article L.5132-1 du Code de la Santé Publique, en 4 catégories en fonction de leur toxicité et de leur dangerosité :Article L5132-1 du Code de la Santé Publique :  » Sont comprises comme substances vénéneuses :
    Les substances dangereuses classées selon les catégories définies à l’article L. 5132-2 ;
    Les substances stupéfiantes ;
    Les substances psychotropes ;
    Les substances inscrites sur la liste I et la liste II définies à l’article L. 5132-6.
    On entend par « substances » les éléments chimiques et leurs composés comme ils se présentent à l’état naturel ou tels qu’ils sont produits par l’industrie, contenant éventuellement tout additif nécessaire à leur mise sur le marché.
    On entend par « préparations » les mélanges ou solutions composés de deux substances ou plus « 
    .
    une liste : atarax, stresam, valium, xanax….
    C’est une nouvelle classe de substance vénéneuse qui comprend : les antidépresseurs, les anxiolytiques, les neuroleptiques, les somnifères, les tranquillisants.
    redécouvert en 1912 par les laboratoires Merck espérant l’utiliser comme anorexigène[3] qui le feront breveter en 1914 ; il est alors un intermédiaire dans la fabrication d’un styptique (vasoconstricteur)
    Les dangers de la toxicomanie à la ritaline
    L’héroïne fut synthétisée en 1874 comme un médicament aux vertus héroïques (courage, insensibilité à la douleur, à la fatigue…). Elle fut utilisée comme produit de substitution à la morphine, comme antidouleur et comme traitement de la toux
    En 1895, on en extrait l’éphédrine qui sert de support pour la synthèse de la benzédrine, la première d’une longue série d’amphétamines. En vente libre dès 1930, les amphétamines connaissent un succès fulgurant
    La cocaïne sera également utilisée médicalement comme anesthésique local (endort l’endroit de contact). Freud sera le premier médecin à décrire son usage par voie nasale. Il le prescrira comme remède contre la dépression

    Des médicaments dangereux pour les aînés
    Antidépresseurs, antitussifs, antihypertenseurs, diurétiques, antiépileptiques... La liste est longue et fait froid dans le dos: 70 médicaments (PDF) représenteraient un danger pour les personnes âgées, selon les résultats d'une étude publiée à la fin du mois de juin. Ils provoqueraient différents effets secondaires, comme des troubles de l'équilibre, de la vision ou de la mémoire, ou encore des faiblesses musculaires, qui pourraient être à l'origine de chutes, parfois mortelles, pour les personnes du troisième âge.
    ...Vingt pour cent des patients qui prenaient les médicaments en question sont décédés, contre 7 % de ceux qui n’en prenaient pas

    Les neurotoxiques, nouveau scandale sanitaire

    Qui sont les responsable ? D’une part les industries chmiques et pharmaceutiques. D’autre part l’Etat, qui ne régule rien. Ajoutons-y les médias, dont l’écrasante majorité ne fait pas son boulot. Industries et Etat se renvoyant la responsabilité, comme d’habitude. Il faut ajouter à cette petite description la caractéristique majeure de ce problème, qui est l’appât du gain. Tous ces malades vont constituer un marché gigantesque. Si l’on prévient l’apparition des maladies, on prive de bénéfices futurs les vendeurs de produits (toxiques qui créent les problèmes) ET les labos pharmaceutiques qui prétendent les soigner.

    « On m’a appris depuis mon enfance a faire confiance aux médecins, beaucoup de gens disent « il faut faire confiance aux médecins, ils savent ce qu’il font » et APRES, TU APPRENDS QUE CE N’EST PAS VRAI… »

  • Pesticides et parkinson

    Parkinson : Le lien avec les pesticides officiellement reconnu
    Grâce à un décret du ministère de l’Agriculture qui est entré en vigueur jeudi, le lien entre la maladie de Parkinson et l'utilisation de pesticides est désormais officiellement reconnu.


    Pesticides, médicaments, toxiques, armes chimqiues, psychotropes...et neurotoxiques
    Informations sur les neurotoxiques

    condamnation de Monsanto
    Herbicide 2,4,5-T a été éliminé à la fin des années 1970. La dioxine est le produit chimique le plus dangereux connu et a un 100 ans et demi-vie où lessivé dans le sol ou intégrés dans des systèmes d'eau.L'Administration des anciens combattants reconnaît et verse sur l'agent orange réclamations pour blessures qui incluent le cancer, des malformations congénitales chez les enfants des victimes exposées, leucémie, maladie du foie, des maladies cardiaques, la maladie de Parkinson, le diabète et la chloracné.

    maladie de parkinson
    L'exposition aux pesticides augmenterait le risque de près de 70 % : 5 % des personnes exposées aux pesticides risqueraient de développer la maladie contre 3 % pour la population générale13. Cette maladie est effectivement plus fréquente en milieu rural qu'urbain. Un modèle animal confirme la responsabilité d'un pesticide dans la constitution d'un syndrome parkinsonien14. Les organochlorés seraient les premiers responsables (risque jusqu'à 2,4 fois plus élevé que la normale). Le risque est multiplié par trois si certains pesticides sont associés15. En France, la Sécurité sociale a reconnu en 2006 un cas de maladie de Parkinson comme maladie professionnelle pour un ancien salarié agricole16. Depuis le 7 mai 2012, le lien entre la maladie de Parkinson et les pesticides est officiellement reconnu par l'État français17,18. Le risque pourrait doubler en cas d'exposition à certains pesticides, tels que la roténone ou le paraquat, et herbicides, tel que l'agent Orange11,19,12.Une étude sur l'agent Orange a retrouvé que certains facteurs d'exposition indirecte aux pesticides, par exemple la vie en milieu rural, augmentaient également le risque12.

    De récentes études épidémiologiques suggèrent que les pesticides pourraient contribuer au développement de maladies neurodégénératives, comme les maladies de Parkinson et d’Alzheimer. Au sein de la famille des pesticides, les insecticides sont souvent les plus incriminés pour leur caractère neurotoxique. Néanmoins, leurs mécanismes de neurotoxicité et leur impact en santé publique demeurent largement inexplorés. Parmi les molécules les plus étudiées, la roténone et le paraquat perturbent principalement la fonction bioénergétique mitochondriale, les équilibres redox, le métabolisme des espèces réactives oxygénées, et ils promeuvent l’agrégation de l’α-synucléine. Par ailleurs, de nouvelles études suggèrent un rôle important de la susceptibilité génétique, soit dans le cas de formes héréditaires rares de la maladie de Parkinson, soit de manière plus générale par le biais de polymorphismes des enzymes métabolisant les pesticides, comme cela a été récemment illustré pour les pesticides organophosphorés.

    La plupart des pesticides et 90% des insecticides sont des neurotoxiques

    Selon une etude menee en 2006 a Harvard, l’exposition aux pesticides augmente le risque de Parkinson de 70%.

    chez des agriculteurs hommes utilisant des pesticides,  le risque de développer la maladie de parkinson était multiplié par 5.6 et celui de développer la maladie d’alzheimer multiplié par 2.4 par rapport à des groupes non exposés à des pesticides

    Dès 2012, une étude toxicologique parue dans la revue PloS One a comparé les effets des pesticides sur les cellules nerveuses lorsque ces produits étaient pris séparément puis lorsqu’ils étaient associés. Résultat : la combinaison de trois fongicides courants, multiplie par vingt à trente les effets dommageables sur le système nerveux ! Des résultats qui donnent de sérieux indices pour comprendre l’augmentation des cas de maladies d’Alzheimer, de Parkinson et sclérose en plaque ces dix dernières années.

    «Pour ces quinze maladies, le lien est établi de manière forte. Et pourtant, une seule, Parkinson, est reconnue maladie professionnelle par la MSA [Mutualité sociale agricole, NDLR], note le médecin. En France, la première véritable étude date de2006. On a du retard à l’allumage. C’est une sorte de cécité sinon organisée, du moins tolérée.»

    Le terme « cancérogène » se réfère à une classe de molécules (seules ou en association) qui, par elles même ou après métabolisation, provoquent l’apparition d’une tumeur ou augmentent son incidence et/ou sa malignité. Un composé sera considéré comme cancérogène si son administration aboutit, dans des conditions bien précises, au développement de tumeurs malignes au niveau d’un ou plusieurs tissus (Gomes – Carneiro et coll., 1997 ; Huff, 1999). Ainsi, la part attribuable de l’amiante dans la survenue de mésothéliomes est estimée à 80 % (McDonald et McDonald, 1996 ; Anonyme, 1997) et les radiations UV sont clairement le facteur environnemental prédominant dans celle du méla – nome (Gandini et coll., 2011).
     
    Selon les données préliminaires de l’imagerie cérébrale recueillies chez de jeunes garçons et filles âgés de 6 à 11 ans, en effet, un pesticide organo-phosphoré très utilisé à travers le monde, le chlorpyriphos-éthyl (ou chlorpyrifos ou CPF), aurait un impact persistant sur la structure du cerveau des enfants qui, in utero, ont été exposés à des niveaux élevés de ce produit – parce que leur mère a, durant sa grossesse, inhalé cet insecticide, consommé des aliments pollués par celui-ci, voire été contaminée par l’absorption du produit à travers la peau. Le chlorpyriphos est présent dans de nombreux pesticides utilisés en agriculture, mais aussi dans des produits à usage domestique pour les pays qui n’en ont pas interdit l’usage.
     
  • Toutes les drogues psychiatriques sont hautement neurotoxiques

    Il n’y a aucun moyen rationnel d’argumenter contre le fait de mettre les produits chimiques psychiatriques dans la catégorie des neurotoxines. Toutes les substances psychiatriques modifient « la structure ou des fonctions du système nerveux » et perturbent « la fonction normale des cellules nerveuses. »
    Une toxine est « une substance toxique pour un organisme. » Une neuro toxine est « une substance qui modifie la structure ou la fonction du système nerveux . » Une semblable définition alternative pour neurotoxine est « une substance toxique qui agit sur le système nerveux et perturbe la fonction normale des cellules nerveuses. » médical, une neurotoxine est « toute toxine qui agit spécifiquement sur les tissus nerveux. »

    Le psychiatre Peter Breggin, M.D., affirme: “La chose la plus importante à dire, au sujet des antidépresseurs les plus fréquemment utilisés est qu’ils n’ont pas d’effet anti-dépressif spécifique.” Comme les neuroleptiques, auxquels ils ressemblent beaucoup chimiquement, ils sont hautement neurotoxiques et handicapant pour le cerveau, leurs effets étant le résultat d’un dérangement de la fonction cérébrale normale

  • Les liens entre les pesticides et les médicaments

    neurotoxiques
    médicaments, pesticides, armes de destruction massive, psychotropes, insecticides.....

    neuroleptique : l'histoire
    par robert Whitaker
    Mad In America: Bad Science, Bad Medicine, and The Enduring Mistreatment of the Mentally Ill
    by Robert Whitaker

    Une histoire des neuroleptiques
    Publiée dans le journal Medical Hypotheses (2004)
    62, 5–13
    Histoire préclinique
    1883 Les phénothiazines sont développées comme colorants synthétiques.

    1934 Le ministère de l’agriculture américain développe les phénothiazines comme insecticides.

    1949 Les phénothiazines démontrent un effet inhibant sur l’activité physique des rats.

    1950 Rhône Poulenc synthétise la chlorpromazine, une phénotiazine, pour l’utiliser comme anesthésiant.

    Histoire clinique : les neuroleptiques classiques

    1954 Il est démontré que la chlorpromazine, commercialisée aux Etats-Unis sous la marque Thorazine, provoque chez les patients des symptômes de la maladie de Parkinson.

    1955 On découvre que la chlorpromazine induit des symptômes similaires à l’encéphalite léthargique.

    1959 Premiers signalements de dysfonctionnements moteurs permanents liés à la prise de neuroleptiques, par la suite nommés " dyskinésie tardive ".

    1960 Des scientifiques français découvrent une réaction toxique potentiellement mortelle aux neuroleptiques, par la suite nommée syndrome malin des neuroleptiques.

    1962 Le département d’hygiène mentale de Californie établit que la chlorpromazine, parmi d’autres neuroleptiques, prolonge la durée moyenne d’hospitalisation.

    1963 Une étude de six semaines menée par le National Institute of Mental Health (NIMH, Institut National de Santé Mentale, Etats-Unis) conclut à l’innocuité des neuroleptiques et à leur efficacité dans le traitement de la schizophrénie.

    1964 On découvre que les neuroleptiques nuisent aux capacités d’apprentissage chez les animaux et chez les êtres humains.

    1965 Une étude menée après un an de suivi par le NIMH démontre que les patients traités par les neuroleptiques sont davantage susceptibles d’être hospitalisés à nouveau que les patients sous placebo.

    1968 Dans le cadre d’une étude sur le sevrage des neuroleptiques, le NIMH découvre que les taux de rechute augmentent à proportion du dosage : plus la dose prise par les patients est élevée, plus les risques de rechute sont importants après sevrage.

    1972 La dyskinésie tardive est mise en relation avec la maladie de Huntington, ou "lésions cérébrales postencéphaliques ".

    1974 Une équipe de chercheurs de Boston signale que les taux de rechute étaient inférieurs avant la période de traitement par les neuroleptiques, et que les patients traités par neuroleptiques sont plus susceptibles d’être dépendants socialement.

    1977 Une étude randomisée du NIMH, comparant un groupe de patients schizophrènes sous traitement neuroleptique à un autre groupe de patients sous placebo a permis d’établir que seuls 35% des patients sans traitement rechutaient dans l’année suivant leur sortie d’hôpital, alors que 45% des patients sous neuroleptiques rechutaient dans l’année.

    1978 Le Dr Maurice Rappaport, ancien président de la California Psychiatric Society, a signalé de bien meilleurs résultats au terme de trois ans de soins chez les patients qui n’étaient pas sous traitement neuroleptique. Seuls 27% des patients sans traitement médicamenteux rechutaient dans les trois ans suivant leur sortie d’hôpital, comparé aux 62% des patients sous traitement médicamenteux.

    1978 Une équipe de chercheurs canadiens a décrit les changements induits par les neuroleptiques dans le cerveau qui rendent les patients plus vulnérables à la rechute – ceux-ci ont été baptisés " psychose ultra sensible induite par les neuroleptiques ".

    1978 Il est prouvé que les neuroleptiques sont à l’origine d’une perte cellulaire de 10% dans les cerveaux des rats.

    1979 Il est démontré qu’entre 24 et 56% des patients traités par neuroleptiques développent une dyskinésie tardive.

    1979 On découvre que la dyskinésie tardive est associée à une détérioration cognitive.

    1979 Le Dr Loren Mosher, directeur du département d’études sur la schizophrénie au NIMH, signale des résultats supérieurs, à un an et à deux ans, des patients traités sans neuroleptiques dans sa clinique de Soteria.

    1980 Des chercheurs du NIMH ont découvert que les patients sous traitement neuroleptique qui ne rechutaient pas souffraient d’un taux de retrait émotionnel supérieur. Par ailleurs, ils ont établi que les neuroleptiques n’amélioraient pas les capacités sociales des patients sous neuroleptiques.

    1982 On découvre que les traitements anticholinergiques utilisés pour contrer les symptômes parkinsoniens induits par les neuroleptiques sont source de détérioration cognitive.

    1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les suicides est établi.

    1985 Le lien entre l’akathisie provoquée par les psychotropes et les homicides commis avec violence est mis en avant.

    1987 Des chercheurs établissent que la dyskinésie tardive est associée à une aggravation des symptômes négatifs de la schizophrénie, à des difficultés à marcher et à parler, à une détérioration psychosociale et à une perte de mémoire. Ils en concluent que la dyskinésie tardive est un trouble moteur dont les symptômes sont proches de la démence.

    1992 L’Organisation Mondiale de la Santé indique que l’évolution des personnes schizophrènes est bien meilleure dans les pays en voie de développement, où seuls 16% des patients sont maintenus sous neuroleptiques en permanence. L’OMS conclut que vivre dans un pays développé est un indicateur significatif du fait qu’un patient ne se rétablira jamais totalement.

    1992 Les chercheurs reconnaissent l’existence d’une pathologie identifiable, causée par les neuroleptiques, qu’ils appellent syndrome neuroleptique. Outre la maladie de Parkinson, l’akathisie, le retrait émotionnel et la dyskinésie tardive, les patients sous traitement neuroleptique souffrent d’un risque plus important de cécité, de caillots sanguins mortels, d’arythmie, de coups de chaleur, de gonflement des seins, d’écoulement des seins, d’impuissance, d’obésité, de dysfonctionnements sexuels, de troubles sanguins, d’éruptions cutanées, de convulsions et de mortalité précoce.

    1994 On découvre que les neuroleptiques causent une hypertrophie de la région caudale du cerveau.

    1994 Une équipe de chercheurs de Harvard conclut, dans un rapport, que l’évolution de la schizophrénie chez les américains a empiré ces vingt dernières années et que la situation n’est pas meilleure aujourd’hui que dans les premières décennies du vingtième siècle.

    1995 Le taux de rechute des patients schizophrènes sous traitement neuroleptique, dans les deux années suivant la sortie d’hôpital, est supérieure à 80%, ce qui est un taux beaucoup plus élevé qu’à l’époque où les patients n’étaient pas traités par neuroleptiques.

    1995 Il est signalé que la qualité de vie des patients sous traitement est très médiocre.

    1998 Des études d’IRM montrent que les neuroleptiques causent une hypertrophie du putamen, du noyau caudé et du thalamus, associée à une plus grande sévérité des symptômes tant négatifs que positifs.

    1998 Il est prouvé que l’usage de neuroleptiques peut causer une atrophie du cortex cérébral.

    1998 Des chercheurs de Harvard concluent que l’usage des neuroleptiques produit un stress oxydant, à l’origine des dégâts neuronaux observés dans le cerveau.

    1998 Un traitement de deux neuroleptiques ou plus accroît le risque de mort prématurée.

    2000 Les neuroleptiques sont associés à la formation de caillots sanguins mortels.

    2003 Les neuroleptiques de deuxième génération sont à l’origine d’un risque plus grand d’obésité, d’hyperglycémie, de diabète et de pancréatite.

  • Neuroleptiques / antipsychotiques (antagoniste dopaminergique), pakinsonnisme (syndrome parkinsonien), maladie de Parkinson sur ordonnances

    L’exposition aux médicaments neuroleptiques et le traitement du syndrome parkinsonien chez les personnes âgées
    Chez 71% des patients un traitement neuroleptique n’a pas été abandonnée en dépit de l’apparition des symptômes parkinsoniens. Ces données indiquent que les symptômes extrapyramidaux de parkinsonisme sont une complication fréquente du traitement neuroleptique.
     
    Syndrome parkinsonien (pakinsonnisme) : 61000 personnes âgées sont également dues à l’utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l’halopéridol (Haldol), la chlorpromazine (THORAZINE), de la thioridazine (MELLARIL), trifluopérazine (STELAZINE), et fluphenazine (PROLIXIN).

    neuroleptiques
    le danger des neuroleptiques
     
    mépronizine, donormyl, noctran, théralène, vastarel, nozinan, phénergan…
     
    neuroleptiques cachés

    neuroleptiques
    Effets principaux :
    Le premier effet des neuroleptiques est la dévitalisation (deactivation). Il s’agit d’une lobotomie chimique affectant principalement les voies limbique—frontal ascendantes et le le ganglia basal [ganglions de la base: thalamus, noyaux gris centraux, striatum (substance noire + noyau caudé + putamen), pallidium, en fait tous les centres de la régulation sous-corticale], médiatisées par la dopamine. C’est effectivement ce qui est recherché pour ses effets de perte d’impulsivité. Il n’y a aucun résultat antipsychotique prouvé en dehors de cette désactivation du cerveau. Cet effet est d’ailleurs plus ou moins présent avec tous les psychotropes, y compris les stimulants.
    Les effets sont :
    selon Adams & Victor, 1989: perte du raisonnement abstrait et de la projection dans le futur [le lobe frontal est impliqué dans le fonction d’imagination et de projet par un mécanisme de feedback frontal-occipital]; détérioration de la personnalité; dégradation ou perte de l’initiative et de la spontanéité.
    selon Stuss & Benson, 1987: perte de l’analyse séquentielle, d’ensemble et d’intégration, de la motivation, de la poussée et de la volonté.
    selon Kalinowsky, 1973: dégradation du souci de soi et de l’environnement.
    selon Hansen & al., 1982; évanescence de l’émotionalité, mécanicisation, aplatissement du contact avec les autres.
    Le parkinson est un effet direct du blocage domaminergique du striatum et de la substance noire. La maladie est apparue curieusement en même temps que l’usage généralisé de substances dopaminoactives, il est possible que les parkinsons soient induits par l’usage de neuroleptiques.
    symptômes premiers
    angoisses
    agitation
    désespoir et dépression
    dystonicité
    parkinson, entraînant du désespoir
    akathisie, entraînant de l’angoisse et de la psychose
    dysphorie, dépression et suicide
    tardifs, pas de récupération après l’arrêt du traitement:
    dyskinésie tardive (TD, mouvements involontaires de la face, tics, contorsions, tremblements, symptôme qui peut être masqué par un usage continu de la drogue)
    dystonie tardive (spasmes douloureux, tête, cou, colonne vertébrale)
    akathisie tardive (tension exigeant une activité incessante)
    parkinson
    syndrome malin neuroleptique (NMS) = phénomène dystonique analogue à hystérie, tétanos, encéphalite, ou trouble neurologique grave
    dommages définitifs
    déficits cognitifs (incluant le déni des troubles = anosognosie)
    dysmentie tardive: humeur instable, parole sonore, recherche de proximité en parlant
    démence (dementia)
    dépression et psychose (pires qu’avant traitement, masqués par utilisation continue de la drogue)
    dysfonctionnement cérébral généralisé

    Les détériorations du cerveau, sur jusqu’à 50% des cas humains ou animaux, sont visibles au CT, MRI ou PET scans, ou par autopsie.
    Il y a destruction des neurones: suppression de l’activité des neurones dopaminergiques, pertes métaboliques dans les cellules (inhibition des réactions enzymatiques dans les mitochondries, anomalies structurales dans les mitochondries, défauts dans le cytoplasme et mort de la cellule).
    Noter que l’on n’observe aucune corrélation entre schizophrénie et dommage cérébraux pour des sujets n’ayant pas absorbés de neuroleptiques.

    effets secondaires
    La plupart des effets secondaires des neuroleptiques sont dûs à l’effet anticholonergique associé (inbition du métabolisme de l’ATCH ? effets extra-pyramidaux: tremblements, rigidité, akathisie, dystonie). Ils sont en général traités par un suppresseur du circuit cholinergique (antiparkinsonien).
    benztropine (Cogentin), biperiden (Akineton), procyclidine (Kemadrin), trihexyphenidyl (Artane)
    produisent à leur tour glaucome, constipation sévère, iléus (occlusion intestinale), a-urination
    confusion, syldromes cérébraux organisques, et psychoses, perte de mémoire et de l’apprentissage
    Au retrait, on note une hypersensibilité cholinergique, syndrome grippal, agitation émotionnelle.

    Sites
    La lobotomie préfrontale a été couramment utilisée pendant la guerre pour rendre les prisonniers soumis, elle est encore largement utilisée dans tous les pays industrialisés [y compris la France]. L’effet obtenu est le même avec la cingulotomie, l’amygdalotomie et la thalamothomie [tous éléments du système limbique, impliqué dans la motivation émotionnelle et le lien avec le système projet -sensori-moteur].
    L’effet recherché est le blocage des récepteurs dopaminergiques dans les ganglions de la base (basal ganglia): striatum, noyau caudé, putamen; le dommage et la dégénérescence des neurones pigmentés de la substance noire (substantia nigra) qui produisent normalement la dopamine dans le striatum où ils agissent sur les récepteurs domaminergiques. La clozapine agit plus dans le système limbique qu’au niveau du striatum. Les circuits domaminergiques sont essentiellement impliqués dans les circuit entre motivations (hypothalamus, système limbique) et voies motrices (sous-cortical ? cortical).
    dyskinesie tardive (TD, apparaît avec délai), démence tardive (dementia), dysmentie tardive (suite de détérioration organique du cerveau, humeur, parler fort, proximité exagérée, euphorie)
    rétrécissement et atrophie du cerveau ? démence (étude qui a fait grand bruit dans la presse médicale)
    démence tardive
    démence franche
    hypoactivité du lobe frontal et du cortex frontal


    "Nous croyons qu'une pratique plus rationnelle de la psychiatrie éliminerait l'usage d’une médication si dangereuse."
    professeur peter Breggin

    antagoniste dopaminergique
    pharmacorama
     
    Comment "fonctionnent" les neuroleptiques ?
    Les neuroleptiques (également appelés "antipsychotiques") agissent sur les neurones, ces cellules formant le cerveau et le système nerveux.
    Les neurones communiquent entre eux grâce à des molécules, les neurotransmetteurs, qui font office de "messagers" en sautant d'une cellule à l'autre à très grande vitesse.
    Chaque neurone possède des "récepteurs", qui permettent de recevoir des molécules, ainsi que des "émetteurs", qui envoient une autre molécule au neurone suivant.
    Les neuroleptiques agissent en bloquant partiellement la réception d'un des neurotransmetteurs les plus importants, la dopamine (Les neuroleptiques dits "atypiques" agissent également sur les récepteurs d'une autre molécule, la sérotonine). Les molécules du médicament viennent se placer sur une partie des récepteurs, les empêchant de recevoir les molécules de dopamine. Jusqu'à 70% de ces récepteurs peuvent être bloquées lors d'un traitement à doses élevées.
    L'intensité des impulsion nerveuses, et, donc, des sentiments (peur, colère, joie...), est ainsi diminuée.
    Mais les neurones réagissent au traitement: de nouveaux récepteurs à la dopamine peuvent apparaître durant le traitement ce qui cause de sérieuses difficultés au sevrage se traduisant pas une hypersensibilité intolérable.
    Les neuroleptiques sont généralement prescrits sur une longue période, souvent à vie. Pourtant, leurs effets indésirables sont nombreux: difficultés de coordination, troubles de concentration, prise de poids, tremblements.
    Certaines séquelles peuvent être définitives, la plus connue étant la dyskinésie tardive, qui se traduit notamment par des contractions involontaires et incontrôlables de la langue et du visage.
    Les aspects désagréables d'un traitement aux neuroleptiques sont tels que ces médicaments ne devraient être administrés qu'en cas de nécessité absolue - or, c'est le contraire qui se passe actuellement.
    Les neuroleptiques sont parfois administrés à titre préventif, à une personne dont un psychiatre croit qu'elle pourrait développer une psychose. Cette pratique est très contestable. En effet, les effets indésirables du neuroleptique sont tels qu'ils peuvent rendre la personne malade.

    syndrome extrapiramidaux (1999)
    Cette étude a évalué la prévalence des signes de syndrome extrapyramidal (EPS) (akathisie, dystonie et de parkinsonisme) dans une cohorte de 1559 patients traités par anti-psychotiques. EPS était présente dans environ 30% des patients, 65% de ces patients présentant des signes de parkinsonisme tels que la rigidité, des tremblements et une lenteur des mouvements. Ces données indiquent un taux élevé de graves et invalidantes effets indésirables associés à l'utilisation des neuroleptiques.

    Neuroleptique et sujet âgé : attention au risque de syndrome parkinsonien !
    Selon une étude récente, le syndrome parkinsonien peut apparaître chez 32% des seniors traités par cette famille de médicaments, même à très faible dose

    les antipsychotiques n’ont pas l’action antipsychotique spécifique mais simplement induisent des degrés divers de la maladie de Parkinson
    le mythe de la cure chimique

    mourir sur ordonnance
    C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage :
    « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : - Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1]
    Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.

    The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic Drugs
    Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
     
     
    Témoignages de victimes des neuroleptiques


    Non, ce n'est pas la maladie, mais bien les effets secondaires des neuroleptiques

  • Les médicaments, drogues contre la maladie de parkinson

    "TOUTES LES MALADIES OU PRESQUE SONT CAUSEES PAR DES TOXIQUES ET DONC LES MEDICAMENTS DE BIG PHARMA NE SONT PAS LES SOLUTIONS PUISQU’ILS SONT EUX MEMES TOXIQUES AVEC DES EFFETS INDESIRABLES DUS AUX MOLECULES CHIMIQUES."

    Les médicaments
    en cas de parkinson

    Les Parkinsoniens par exemple ont servi de cobayes multiples pendant les 20 dernières années1. Disons que cette affection tend à devenir plus grave qu’avant, en raison même des traitements appliqués (à supposer que cette « maladie » elle-même ne soit pas purement et simplement un effet secondaire iatrogène). Ainsi, les principaux traitements ont des effets secondaires connus de troubles digestifs, mais surtout de troubles psychiques. A tel point que l’on donne des antipsychotiques aux malades atteints de Parkinson pour contrer ces effets secondaires2. Par ailleurs, un psychiatre de Ste Anne confiait il y a une dizaine d’année que les électrochocs sont parfois appliqués pour « guérir » les Parkinsoniens, ce que confirme Wikipedia, sachant que les électrochocs doivent être suivis de traitements psychotropes, et que certains neuroleptiques provoquent quand à eux des syndromes Parkinsoniens, etc., etc.  Or, j’ai connu un Parkinsonien qui, par une simple modification de son alimentation et de compléments alimentaires, avait réduit ses symptômes de 75%, sur quoi il a arrêté tout médicament avec l’accord de son médecin traitant. J’en ai connu un autre qui est devenu (fortement) Parkinsonien du jour au lendemain – à vie -, pendant son premier traitement pour dépression.

    80% des parkinsons deviennent alzeihmer au bout de quelques années de traitement
    Nous explique cette internaute

    La rasagiline appartient à la famille des médicaments appelés inhibiteurs de la monoamine-oxydase (MAO). Elle s'utilise pour soigner la maladie de Parkinson. Elle agit sur le système nerveux pour augmenter le taux d’une substance chimique appelée dopamine. La diminution de dopamine dans le cerveau est responsable de beaucoup des symptômes de la maladie de Parkinson, ce médicament agit donc en régulant le taux de dopamine.

    Le dextrométhorphane est l'isomère dextrogyre du lévométhorphane (qui lui est un opiacé), mais il ne possède aucune action opioïde, bien qu'il possède la structure de la morphine. C'est en revanche un antagoniste du récepteur NMDA, autrement dit un dissociatif. Il est utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes, à forte dose, et est alors couramment dénommé DXM....inhibiteur de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline

    58 médicaments dangereux par philippe Even
    Antiparkinsonniens : Celance (Lilly), Parlodel (Pfizer, également prescrit pour inhiber la lactation lors de l’allaitement), Requip (GSK) et Tasmar (Madiapharma)

  • Syndrome de sevrage aux benzodiazépines / somnifères / anxiolytiques et faux diagnostic de parkinson ou effet secondaire des benzos

    Parkinson
    "...Tout d'abord je tiens à attirer votre attention sur le cas de M. Keith Andrews de Oldham.
    M. Andrews est de 74 ans et un ingénieur à la retraite. Il a été involontairement accro à tranquillisants prescrits pour 45 ans. Il a été diagnostiqué avec la maladie de Parkinson et a passé plus de 10 semaines récemment, un patient hospitalisé dans un hôpital psychiatrique à un coût pour le service de santé d'environ 5000 £ par semaine. La clinique de retrait de tranquillisant à Oldham, fourni par le Service alcool et de drogues (ADS) et financé par le Primary Care Trust, a identifié M. Andrews comme souffrant de toxicomanie et les effets secondaires de tranquillisants et ont pris en charge dans le retrait. M. Andrews "Parkinson" a disparu, il n'était pas du tout mais mal diagnostiqués les effets secondaires de tranquillisant de Parkinson..."

    Parkinson
    "...Autres effets secondaires tranquillisants observée comprennent dysfonctionnement de la thyroïde (Int J Nucl Med Biol 1984; 11: 203-4, parkinsonisme (Biol Psychiatr 1985; 20: 451-60), des dommages au foie (Drg Dis donc, 1982; 27: 470 . -2) et le cancer (Natl Toxicol Prog Rep, USA, 1993) La recherche montre également une augmentation de 17 fois dans l'infarctus du myocarde mortel associé avec des médicaments psychotropes (Lancet, 1992; 340: 1067-...."
    "...Mon ami Simon est mort l'an dernier à l'âge de 35 ans, après 15 ans de retraits douloureux. Plus de six pieds de haut, il ne pesait que six pierre. Son autopsie a montré un gonflement et marqué la pâleur de l'ensemble du cerveau, en particulier la substantia nigra, la région affectée dans la maladie de Parkinson..."

  • Parkinson et métaux lourds (neurotoxiques) ?

    La vérité sur les maladies émergentes
    Les maladies telles que la fibromyalgie, la fatigue chronique, la spasmophilie, les maladies auto-immunes, les allergies, mais aussi les maladies neuro-dégénératives comme la maladie d'Alzheimer, de Parkinson, la sclérose en plaques, l'autisme, l'hyperactivité etc ... sont presque toujours dues en co-facteur principal, à une intoxication aux métaux lourds, issue le plus souvent des amalgames dentaires au mercure.

    Se déintoxiquer ?
    Pour toutes ces affections et pour les prévenir, une bonne cure de désintoxication est nécessaire, et heureusement, elle peut se faire par les plantes, à moindre frais – ce n’est pas remboursé bien-sur par la sécurité sociale, mais cela évitera bien des souffrances et peut soigner les autistes, Alzheimer, sclérose en plaques, Parkinson etc. Il faut cependant une bonne détermination pour la famille, car les gens fragiles atteints ne vont pas savoir prendre leur cure tous seuls, il faut donc leur administrer.

    Les pathologies liés aux métaux lourds
    La maladie de Parkinson (MP) se caractérise par une dégénérescence progressive du parcours dopaminergique nigrostrial provoquant la dyskinésie. Le fait que l'on puisse observer des signes et mécanismes d'évolution des manifestations cliniques du syndrome de Parkinson dans des cas d'empoisonnements par manganèse (Mn), fer (Fe), cuivre (Cu) et zinc (Zn), ainsi que dans des cas d'intoxication au mono-oxyde de carbone et de carence en magnésium (Mg), a attiré l'attention sur le rôle des métaux « lourds » dans ce contexte. Il semble de plus en plus reconnu et admis que la présence de ces métaux lourds dans l’organisme puisse jouer un rôle significative dans la pathogénèse de maladies neuro-dégénératives (la MP étant l’une des plus courantes), notamment en favorisant et amplifiant la formation de radicaux libres très néfastes, car capables de provoquer de graves dommages tels des bris d’ADN et des lésions neuronales et mitochondriales.

    DANGER DE LA CHLORELLA SUR LA SANTE POUR LES MALADES INTOXIQUES AUX METAUX LOURDS

    À un détail près, c'est que in vitro, ou dans le milieu où elle pousse, cette algue a la propriété d'adsorber, c'est-à- dire de retenir dans sa paroi cellulaire composée de chitine et de cellulose, les métaux lourds et tous les toxiques qui entrent en contact avec elle, avant même d'être récoltée.

    forum Maladies Environnementales, Les Options: Detoxification Immunité Energétique
    mélodie

  • Les médicaments, drogues contre la maladie de parkinson

    "TOUTES LES MALADIES OU PRESQUE SONT CAUSEES PAR DES TOXIQUES ET DONC LES MEDICAMENTS DE BIG PHARMA NE SONT PAS LES SOLUTIONS PUISQU’ILS SONT EUX MEMES TOXIQUES AVEC DES EFFETS INDESIRABLES DUS AUX MOLECULES CHIMIQUES."

    Troubles du comportement observés avec des médicaments dopaminergiques (sifrol, adartrel, requip)
    Des troubles du comportement (dépendance aux jeux, comportements répétitifs, achats compulsifs, hypersexualité) ont été rapportés chez des patients traités par des médicaments dopaminergiques indiqués essentiellement dans la maladie de Parkinson

    parkinson et addiction aux jeux
    sifrol et compagnie, témoignage victime

    Les médicaments
    en cas de parkinson

    80% des parkinsons deviennent alzeihmer au bout de quelques années de traitement
    Nous explique cette internaute

    Alzheimer sur ordonnances
    les médicaments anticholinergiques et autres

    La dyskinésie (mouvements involontaires) est l’un des effets secondaires
    Après des années d’utilisation, elle peut être associée à un épuisement de l’effet thérapeutique en fin de dose

    Inhibiteur de la recapture de la dopamine
    Benzatropine, Dextrométhorphane

    La benzatropine ou mésilate de benzatropine (DCI), mésylate de benztropine ou benztropine (USAN), commercialisée sous le nom de Cogentin, est un médicament anticholinergique

    Le dextrométhorphane est l'isomère dextrogyre du lévométhorphane (qui lui est un opiacé), mais il ne possède aucune action opioïde, bien qu'il possède la structure de la morphine. C'est en revanche un antagoniste du récepteur NMDA, autrement dit un dissociatif. Il est utilisé comme médicament contre la toux. Il est aussi détourné de son usage médical pour ses effets psychotropes, à forte dose, et est alors couramment dénommé DXM.

    Agonistes dopaminergiques
    Les agonistes dopaminergiques stimulent les récepteurs dopaminergiques. On peut distinguer les agonistes à effet périphérique dominant qui pénètrent mal dans le cerveau, et les agonistes à effet central dominant qui pénètrent bien dans le cerveau.

    Artane
    Le trihexyphénidyle est un anticholinergique muscari nique de synthèse commercialisé sous le nom d'Artane ® en France. Il possède le plus important potentiel d'abus et de dépendance parmi sa classe.

    L'Artane est considéré comme l'ecstasy des pauvres. Consommé avec de l'alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l'individu au passage à l'acte

    Artane
    Ce médicament est un antiparkinsonien qui appartient à la famille des anticholinergiques (atropiniques).  Il est utilisé dans le traitement de la maladie de Parkinson et des syndromes parkinsoniens induits par les neuroleptiques

    antiparkinsoniens
    Dopaminergiques /  Anticholinergiques
    Maladie de Parkinson.  - Syndromes parkinsoniens induits par les neuroleptiques.

    Anticholinergiques
    drogues et dépendances

    anti-cholinergiques
    neurotoxiques

    Les Parkinsoniens par exemple ont servi de cobayes multiples pendant les 20 dernières années1. Disons que cette affection tend à devenir plus grave qu’avant, en raison même des traitements appliqués (à supposer que cette « maladie » elle-même ne soit pas purement et simplement un effet secondaire iatrogène). Ainsi, les principaux traitements ont des effets secondaires connus de troubles digestifs, mais surtout de troubles psychiques. A tel point que l’on donne des antipsychotiques aux malades atteints de Parkinson pour contrer ces effets secondaires2. Par ailleurs, un psychiatre de Ste Anne confiait il y a une dizaine d’année que les électrochocs sont parfois appliqués pour « guérir » les Parkinsoniens, ce que confirme Wikipedia, sachant que les électrochocs doivent être suivis de traitements psychotropes, et que certains neuroleptiques provoquent quand à eux des syndromes Parkinsoniens, etc., etc.  Or, j’ai connu un Parkinsonien qui, par une simple modification de son alimentation et de compléments alimentaires, avait réduit ses symptômes de 75%, sur quoi il a arrêté tout médicament avec l’accord de son médecin traitant. J’en ai connu un autre qui est devenu (fortement) Parkinsonien du jour au lendemain – à vie -, pendant son premier traitement pour dépression.

    médicaments / drogues anticholinergiques

    Le site
     
    La benzatropine ou mésilate de benzatropine (DCI), mésylate de benztropine ou benztropine (USAN), commercialisée sous le nom de Cogentin, est un médicament anticholinergique

    Lorsqu’une quantité suffisante d’anticholinergique est en circulation dans le corps, un toxidrome (intoxication) appelé syndrome anticholinergique aigu peut se produire. Cela peut arriver accidentellement ou volontairement dans le cadre d’une consommation récréative (usage de drogues). Les drogues de cette classe sont généralement considérées comme peu « amusantes » par les consommateurs de drogues avertis. Parce que la plupart des usagers n’apprécient pas cette expérience, ils ne cherchent pas à la recommencer, ou très rarement. Les risques d’addiction sont faibles pour les médicaments de la classe des anticholinergiques.

    Définition: Anticholinergique (médicament) Un médicament anticholinergique inhibe (réduit) l’action de l’acétylcholine, un neurotransmetteur qui intervient dans le cerveau et surtout dans le système nerveux parasympathique.  Ces médicaments s’opposent ainsi à l’action du système nerveux parasympathique.  Les médicaments anticholinergiques incluent des antihypertenseurs, des diurétiques, des agents cardiovasculaires, des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquillisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des anti-asthmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des antibiotiques, des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.

    Un médicament qui bloque les effets de l’acétylcholine, une substance produite par le corps qui est responsable de certaines activités du système nerveux parasympathique (). Médicaments ayant des effets anticholinergiques (y compris les antidépresseurs, les antihistaminiques, les antipsychotiques, les médicaments pour les problèmes intestinaux, antiparkinsoniens) inhibent la sécrétion d’acide dans l’estomac, ralentir le passage des aliments dans le système digestif, inhiber la production de salive, la sueur et les sécrétions bronchiques, et augmenter la fréquence cardiaque et la pression artérielle. Les effets indésirables de ces médicaments incluent la bouche sèche, constipation, difficulté à uriner, la confusion, l’aggravation du glaucome, une vision floue, et des problèmes de mémoire à court terme.
     
    L’acétylcholine, abrégée en ACh, est un neurotransmetteur qui joue un rôle important aussi bien dans le système nerveux central, où elle est impliquée dans la mémoire et l’apprentissage, que dans le système nerveux périphérique, notamment dans l’activité musculaire et les fonctions végétatives.
    Enfin, les composés insecticides très toxiques, de la classe des organophosphorés, sont des inhibiteurs irréversibles de l’acétylcholinestérase. C’est le cas du malathion un insecticide neurotoxique dangereux interdit[4] en France depuis le 1er décembre 2008.
    Des gaz de combat comme le sarin, le soman ou le tabun utilisent aussi l’activité anticholinestérase.

    …Ces effets étaient jusqu’à présent considérés comme réversibles à l’arrêt du traitement. Cependant une étude publiée ce 26 janvier 2015 dans la revue scientifique américaine  » JAMA Internal Medicine  » et menée par une équipe l’Université de l’Etat de Washington à Seattle (Etats-Unis) *, vient de conclure que ce n’est pas toujours le cas et que la consommation prolongée par des patients âgés de certains de ces médicaments anticholinergiques, les antidépresseurs tricycliques, les anti-histaminiques de 1ère génération , et anti-muscariniques, pouvaient être associée à un risque de démence irréversible
    L’étude a porté sur 3 434 patients âgés de plus de 65 ans, qui ont consommé ces médicaments pendant 10 ans, et dont aucun ne souffrait de démence au début de l’étude. Les chercheurs ont constaté que 23,2 % avaient développé des symptômes de démence, dont la Maladie d’Alzheimer chez 79,9% d’entre eux. L’origine médicamenteuse possible de cas démence irréversibles et de la Maladie d’Alzheimer chez les patients soumis pendant de longues périodes à ces médicaments semble ainsi établie.
     
    Artane
    Le trihexyphénidyle est un anticholinergique muscarinique de synthèse commercialisé sous le nom d’Artane ® en France. Il possède le plus important potentiel d’abus et de dépendance parmi sa classe.
     
    L’Artane est considéré comme l’ecstasy des pauvres. Consommé avec de l’alcool et/ou du cannabis, il donne un sentiment de toute puissance, amenant l’individu au passage à l’acte.
     
    Les médicaments Anticholinergiques sont liés au risque du handicap cognitif, et de mort dans une population plus âgée : Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l’activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d’handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments – qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d’ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d’incontinence – et le risque de décès.L’étude biennale de l’incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil  » Recherche  » (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d’étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l’enquête de l’anticholinergiques apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d’Anticholinergics le cerveau en bloquant l’acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont l’activité anticolinergic. D’Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
     
    Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.
     
    Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…

    Score 1 (effet anticholinergique léger):
    Alimemazine, Alprazolam (xanax) , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion, hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone, Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine, Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole, Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol (haldol), Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine, Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene
    Score 2 (effet anticholinergique modéré):
    Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride, Pimozide
    Score 3 (effet anticholinergique sévère):
    Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine, Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate, Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine, Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine, Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine, Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipram
     
    De nombreux médicaments consommés régulièrement par les personnes âgées augmentent les risques de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude britannique publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society. Ces médicaments sont utilisés pour le traitement de nombreuses conditions de santé. Ces médicaments, vendus sans ordonnance ou prescrits, ont un effet anticholinergique, c’est-à-dire qu’ils réduisent les effets du neurotransmetteur acétylcholine (un neurotransmetteur est une molécule qui permet le «passage» de l’influx nerveux d’une cellule nerveuse à l’autre).

    Les médicaments utilisés pour le traitement de l’insomnie, de l’anxiété, des démangeaisons et des allergies peuvent avoir des effets négatifs sur la mémoire ou la concentration des personnes âgées, selon une étude de l’Université de Montréal. Jusqu’à 90 % des personnes âgées de plus de 65 ans consomment au moins un médicament d’ordonnance. 18 % des gens de ce groupe d’âge se plaignent de leur mémoire et présentent des troubles légers de la cognition. La recherche suggère qu’il y aurait un lien à faire entre les deux situations, concluent les chercheurs.
     
    Ce sont de classiques pourvoyeurs de syndromes confusionnels, mais aussi de troubles amnésiques aigus et régressifs : la scopolamine entrave l’apprentissage et le codage de l’information dans la mémoire à long terme ; de même, le trihexyphénidyle (Artanet) affecte les acquisitions récentes, ce que démontre la pratique neurologique quotidienne, chez le parkinsonien âgé, par exemple ; un modèle expérimental utilisant la scopolamine chez l’animal ou chez l’homme est utilisé dans l’évaluation pharmacologique de diverses molécules supposées agir sur la mémoire ou pour expliquer a posteriori certains effets secondaires médicamenteux constatés cliniquement ; ces effets dysmnésiants des anticholinergiques confirment, en quelque sorte, le fait maintenant bien établi que l’acétylcholine est un neurotransmetteur essentiel aux processus de mémorisation comme en attestent aussi les troubles mnésiques des démences de type Alzheimer et leur réponse thérapeutique aux inhibiteurs de la cholinestérase.
     
    Les agents anticholinergiques dans le viseur
    C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
     
    ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
    Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).

    Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire…

    Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).

    le débat, en vidéo

    Les effets secondaires anticholinergiques peuvent induire une perte d’autonomie, une diminution de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité [8] . Ils peuvent être parfois mineurs, temporaires ou survenir comme conséquence d’une condition préexistante du patient. Cependant, pris dans leur ensemble, ils peuvent avoir des suites dramatiques sur l’état de santé de la personne âgée. En particulier, les effets atropiniques peuvent entraîner une confusion et amplifier le risque d’apparition de troubles de la mémoire
    ….Les médicaments anticholinergiques sont considérés comme potentiellement inappropriés chez les sujets âgés

    Les médicaments Anticholinergiques sont liés au risque du handicap cognitif et de mort dans une population plus âgée
    des médicaments anticholinergiques a été liée au handicap cognitif et pour la première fois à la mort, » a indiqué M. correspondant Fox, un psychiatre auteur d’étude. « Nous avons besoin de revue pour déterminer le degré auquel les anticholinergics sont prescrits pour les maladies avec un risque important de mort et l’incidence de cela sur nos découvertes. »

    Classiquement, en cas de syndrome atropinique ou anticholinergique, on décrit une peau sèche pouvant paraître rouge, une soif intense, une mydriase parfois aréactive, une hyperthermie, un délire et des hallucinations (c’est le syndrome d’ Alice au Pays des Merveilles : « dry as a bone, hot as a hare, red as a beet, and mad as a hatter »). A ces signes peuvent s’ajouter une rétention urinaire, une diminution des bruits intes tinaux et du transit, voire un ileus, une faiblesse musculaire, une tachycardie et parfois des arythmie s cardiaques.

    atropine
    L’atropine est un antagoniste cholinergique qui agit en se fixant aux récepteurs muscariniques de l’acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique.
    …On l’utilise ainsi tout particulièrement pour contrer les effets, entre autres, d’armes chimiques organophosphorées tels que le gaz sarin ou le gaz VX. Ces composés agissent en effet sur les inhibiteurs de l’acétylcholine, neurotransmetteur du système nerveux central et du système nerveux autonome, qui joue un rôle essentiel dans le fonctionnement des tissus musculaires : en perturbant la décomposition de cette molécule, ces gaz entraînent une accumulation d’acétylcholine dans le cerveau, qui se résulte très vite par la paralysie de l’ensemble des muscles du corps, et donc par une asphyxie mortelle. L’atropine permet, par le blocage des récepteurs de l’acétylcholine, de contrer l’accumulation de la molécule dans le système nerveux.
     
    Les médicaments Anticholinergiques sont liés au risque du handicap cognitif, et de mort dans une population plus âgée : Une grande étude, à long terme confirme que les médicaments avec l’activité anticholinergique, qui comprennent beaucoup de médicaments fréquemment pris par des adultes plus âgés, sont la cause d’handicap cognitif. La recherche est également la première pour recenser un lien possible entre ces médicaments – qui comprennent les aides délivrées sans ordonnance et d’ordonnance pour le sommeil et les demandes de règlement d’incontinence – et le risque de décès.L’étude biennale de l’incidence de ces médicaments sur 13.000 hommes et femmes âgés 65 et plus vieux fait partie des Études de Fonction Cognitive Médicale et de Vieillissement du Conseil  » Recherche  » (R-U) (CFAS), une grande initiative multicentre longitudinale Dont le siège est en Grande-Bretagne d’étude regardant la santé et la fonction cognitive dans des adultes plus âgés. Les Résultats de l’enquête de l’anticholinergics apparaissent Le 24 juin 2011 dans une publication en ligne avancée du Tourillon de la Société Américaine de Gériatrie.Affect d’Anticholinergics le cerveau en bloquant l’acétylcholine, une neurotransmetteur de système nerveux. Les produits Délivrés Sans Ordonnance contenant la diphénhydramine, vendue sous des marques variées telles que Benadryl-, Dramamine-, Excedrin P.M., Nytol-, Sominex-, Tylenol P.M., et Unisom-, ont l’activité anticolinergic. D’Autres médicaments anticholinergiques, tels que Paxil-, Detrol-, Demerol- et Elavil- sont disponibles par ordonnance.
     
    Les anticholinergiques sont une classe de médicament prescrit contre differents symptomes comme les spasmes,les troubles du sommeil, la toux, l’allérgie, la nausée, le mal du transport, contre certains symptomes de la maladie de Parkinson et contre les trouble extrapyramidaux provoqué par certains neuroléptiques. Il existe plusieurs sorte d’anticholinergique: les naturels (provenant de certain plantes comme la belladone) comme l’atropine et la Scopolamine; les synthétique comme la trihexyphénidyle (Artane) et la procyclidine (Kemadrin) et les Semi-synthétique comme la butylhyoscine (Buscopan). Les anticholinergiques sont de plus en plus utilisé comme psychotrope. Les consomateurs souvent peu fortuné consome cette drogue pour l’euphorie et les hallucinations que provoque se genre de produit. Cette drogue est également utilisé par des escrocs comme drogue du viol car elle posséde un effet amnésiant trés marqué. A forte dose les anticholinergiques provoque une perte de volonté et provoque des délires et psychose importante. Cette drogue n’est pas encore très répandue excepté dans certains cartiers et pays pauvre. Cette drogue à au départ un effet stimulant avec ou sans hallucination suivit d’un effet sedatif. La Belgique est un des seul pays aux monde ou le Buscopan et la Scopolamine est en vente libre. Les médicaments anticholinergique les plus puissant et les plus détourné sont ceux utilisé dans la maladie de Parkinson (Artane, Kemadrin, Akineton…) qui il y a pas 10 ans étaient encore en vente

    La scopolamine fait partie de la liste des médicaments essentiels de l'Organisation mondiale de la santé (liste mise à jour en avril 2013)4. La scopolamine est utilisée pour lutter contre la maladie de Parkinson.
    Actuellement, elle est utilisée dans le traitement symptomatique de certaines douleurs digestives et gynécologiques, en soins palliatifs, ainsi que dans la prévention du mal des transports, par son action sur l'area postrema

    La scopolamine est en général commercialisée sous forme de bromhydrate de scopolamine.
    La scopolamine est un anticholinergique. Elle agit en se liant aux récepteurs muscariniques de l'acétylcholine dans le système nerveux central et périphérique empêchant ainsi l'action du neurotransmetteur. C'est un parasympathicolytique, comme l'atropine, mais en revanche c'est un sédatif central. Elle provoque en outre d'intenses hallucinations délirantes, de l'amnésie (amnésie lacunaire antérograde) et des pertes de conscience comme en provoque la consommation de datura, de jusquiame ou de mandragore. Elle est active à des doses de l'ordre du dixième de milligramme. À fortes doses, l'intoxication peut être mortelle.
    Aux fortes doses, on observe souvent des séquelles psychiatriques plusieurs mois après l'intoxication. La scopolamine a été testée comme sérum de vérité pendant la Seconde Guerre mondiale.

    En 2012, le magazine Vice avait consacré un reportage vidéo en Colombie sur cette drogue que le news magazine n'hésitait alors pas à qualifier de drogue la plus dangereuse du monde.

    La scopolamine (souffle du diable)
    Aussi appelée souffle du diable, la scopolamine provient des feuilles et graines de datura, de brugmansia et de duboisia. Cette drogue est si puissante qu'il suffit de la respirer pour être drogué et perdre le contrôle de soi, d'où son nom souffle du diable. Si une personne consomme cette drogue, elle sera complètement sous l'emprise des personnes qui l'entourent, et il semblerait qu'en Colombie des personnes se retrouvent avec des organes en moins ou aideraient des gens à cambrioler leur propre maison. A haute dose, cette drogue peut provoquer hallucinations, amnésies avec des séquelles à long terme et même la mort en seulement 5 minutes.

    SOLUTION ?

    La médecine ayurvédique (médecine traditionnelle de l'Inde) enseigne depuis des millénaires que l'Atmagupta (nom sanskrit du pois mascate) peut, en combinaison avec d’autres interventions (lavements, massages, etc.) soulager le kampavata, c’est-à-dire la maladie de Parkinson.
    La vente libre de suppléments de pois mascate est interdite au Canada, car cette plante contient de la lévodopa.
    Cette substance fait partie de l’annexe F du Règlement concernant les aliments et drogues, et n’est donc disponible que sur ordonnance
    .
    Un extrait aqueux de Mucuna Pruriens entraine une amélioration du parkinsonisme sur le long terme, avec un risque réduit de dyskinésies
  • Métabolisation des médicaments, poisons, pesticides... neurotoxiques

    Cytochrome P450
    blog d’infos
     
    CYP2D6 polymorphisme, l’exposition aux pesticides et la maladie de Parkinson.
    l’effet des pesticides est augmenté chez les métaboliseurs lents (environ deux fois)
    Barbeau et al.(1985) ont postulé que la maladie de Parkinson (PD; 168600 ) est le résultat de facteurs environnementaux agissant sur ​​les personnes génétiquement prédisposées dans un contexte de vieillissement normal, et a noté que de nombreux xénobiotiques neurotoxiques potentiels sont décontaminées par le cytochrome P450 hépatique. Chez 40 patients atteints de la MP, Barbeau et al. (1985) ont trouvé qu’un nombre important de patients avaient partiellement ou totalement défectueux 4-hydroxylation de la débrisoquine par rapport aux témoins; En outre, les métaboliseurs lents avaient apparition précoce de la maladie. Dans une étude de 229 patients atteints de la maladie de Parkinson et 720 contrôles, Smith et al. (1992) ont constaté que ceux avec le phénotype de métaboliseur faible avaient un 2,54 fois (95% intervalle de confiance de 1,51 à 4,28) de risque accru de la maladie de Parkinson. Elbaz et al. (2004) et Deng et al. (2004) a présenté des preuves suggérant que PM sont à risque accru de développement de PD que lorsqu’il est combiné avec l’exposition aux pesticides.
    …La concentration de métabolites O-déméthylation peut être autant que 45 fois plus élevé chez les personnes ayant un métabolisme du CYP2D6 ultrarapide comme dans ceux qui ont mauvais métabolisme

    Pharmacogénétique
    La pharmacogénétique détermine la capacité fonctionnelle de chaque personne à métaboliser et d’excréter les médicaments prescrits; l’efficacité des médicaments est déterminé par les variations génétiques humaines naturelles qui influencent peuples réponse aux médicaments.  Les médicaments psychotropes sont métabolisés à travers différents sites et systèmes dans le corps. Un site majeur est le CYP 450 Cytochrome famille, que l’on trouve principalement dans le foie.  75% de tous les médicaments psychotropes sont métabolisés par le CYP2D6 et 15% par la voie de CYPC19. La pharmacogénétique a été connu et utilisé par les compagnies pharmaceutiques pour de nombreuses années. Les essais de médicaments sont menées sur les personnes qui sont spécifiquement sélectionnés pour leur efficacité pour métaboliser chaque médicament spécifique. Cela permet aux entreprises pharmaceutiques de montrer le meilleur résultat possible pour le nouveau médicament; cela a le potentiel pour réduire au minimum les effets indésirables et d’effets secondaires.

    Trente-cinq pour cent sont porteurs d’un allèle CYP2D6 non-fonctionnelle, donc avec un risque particulierement élevé de réactions indésirables aux médicaments lorsque ces individus prennent plusieurs médicaments … Cela signifie que potentiellement jusqu’à 1 milliard de personnes sur la planète ne peuvent pas métaboliser et éliminer les médicaments couramment prescrits de leur corps « . Les antidépresseurs sont parmi les drogues les plus dangereuses disponibles Les dernières décennies ont été marquées par un immense travail de con par l’industrie pharmaceutique industrie. Cette déception n’a pas seulement vous, le consommateur ciblé, mais aussi le gouvernement organismes comme la FDA et les médecins sans méfiance qui croient vraiment qu’ils  aident leurs patients par les antidépresseurs et d’autres médicaments de prescription. Ces traitements ont été commercialisés comme sûr et efficace, alors qu’en réalité, ils ne sont pas. Il semble que les antidépresseurs et antipsychotiques (aussi appelés neuroleptiques) sont peut être parmi les médicaments les plus dangereux de tous. Les médicaments antidépresseurs provoquent 40000 décès par an, mais ils sont distribués comme des bonbons aux adultes comme aux enfants.

    Le polymorphisme génétique du cytochrome P450 2D6 : le Bon, l’Ultrarapide, l’Intermédiaire et le Lent Les cytochromes P450 (CYP) sont un groupe d’iso-enzymes localisées pour l’essentiel dans le réticulum endoplasmique des cellules hépatiques. Ils catalysent l’oxydation ou la réduction de substances lipophiles endogènes …(médicaments),

    Akathisie et  homicides liés aux antidépresseurs induites / associées à des mutations dans les gènes qui métabolisent la diminution de la famille CYP450
    Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants de gènes CYP450 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique de la psychiatrie légale à Sydney, en Australie. Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants de gènes CYP450 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique de la psychiatrie légale à Sydney, en Australie.

    ignorant une telle solution évidente est porter atteinte aux droits fondamentaux de l’homme
    Je suppose également que vous êtes tous conscients qu’un simple dépistage des patients déficients en CYP2D6 pourrait éventuellement sauver toute souffrance du patient et éventuellement réduire ADR ?

    Le chlordécone est métabolisé en chlordécol (dérivé alcool moins toxique que la molécule mère) par une enzyme hépatique (la chlordécone réductase). Cette enzyme n’est spécifique que de certaines espèces (homme, gerbille, porc) mais elle n’est pas retrouvée chez le rat, le hamster et le cochon d’inde. Le chlordécone et ses produits de dégradation sont lentement éliminés par l’organisme principalement par les fèces. Ce processus d’élimination peut prendre plusieurs mois. Chez l’homme par exemple, la demi-vie sanguine du chlordécone est de 165 jours (± 27) «

    L’existence persistante de métabolites de pesticides organophosphatés dans l’urine  lors des périodes où l’alimentation était conventionnelle soulève de graves questions quant aux risques chroniques liés à cette exposition […] Les enfants dont l’alimentation est constituée de produits issus de l’agriculture biologique auront une probabilité plus faible de développer des problèmes neurologiques, un résultat commun des pesticides organophosphatés ».

    fibromyalgie Le dénominateur commun des personnes souffrant de symptômes de fibromyalgie est un métabolisme anormalement lent.
    Les cytochromes P450 (CYP) sont un groupe d’iso-enzymes localisées pour l’essentiel dans le réticulum endoplasmique des cellules hépatiques. Ils catalysent l’oxydation ou la réduction de substances lipophiles endogènes …(médicaments),
    Pharmacologiques iatrogènes
    Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants de gènes CYP450 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique de la psychiatrie légale à Sydney, en Australie. Objectif: Examiner la relation entre les allèles variants de gènes CYP450 3 (CYP2D6, CYP2C9 et CYP2C19), des médicaments qui interagissent et akathisie chez les sujets visés à une pratique de la psychiatrie légale à Sydney, en Australie.
    Je suppose également que vous êtes tous conscients qu’un simple dépistage des patients déficients en CYP2D6 pourrait éventuellement sauver toute souffrance du patient et éventuellement réduire ADR ?

    Le chlordécone est métabolisé en chlordécol (dérivé alcool moins toxique que la molécule mère) par une enzyme hépatique (la chlordécone réductase). Cette enzyme n’est spécifique que de certaines espèces (homme, gerbille, porc) mais elle n’est pas retrouvée chez le rat, le hamster et le cochon d’inde. Le chlordécone et ses produits de dégradation sont lentement éliminés par l’organisme principalement par les fèces. Ce processus d’élimination peut prendre plusieurs mois. Chez l’homme par exemple, la demi-vie sanguine du chlordécone est de 165 jours (± 27)
    L’existence persistante de métabolites de pesticides organophosphatés dans l’urine  lors des périodes où l’alimentation était conventionnelle soulève de graves questions quant aux risques chroniques liés à cette exposition […] Les enfants dont l’alimentation est constituée de produits issus de l’agriculture biologique auront une probabilité plus faible de développer des problèmes neurologiques, un résultat commun des pesticides organophosphatés ».

  • L'industrie de la santé

    COMMENT ROCKEFELLER A MONOPOLISÉ LA MÉDECINE ET CRÉÉ BIG PHARMA
    Rockefeller
     
    La Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, est condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision.

    ce sont les mêmes cartels industriels qui produisent les pesticides et les molécules chimiques sensé être des médicaments. Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
    Il n’existe pas un pays du globe où BAYER n’ait pas d’activités. Les anciennes maisons-soeurs de l’IG Farben BASF, BAYER et AVENTIS dominent le marché allemand et l’industrie chimique européenne. Leur chiffre d’affaires commun dépasse 80 milliards d’euros. Il faut y ajouter un empire constitué de participations à d’autres entreprises ainsi que d’entreprises sous-traitantes. Au début de l’année 2002, BAYER a repris AVENTIS CROPSCIENCE pour la somme de 7 milliards d’euros. Cette acquisition, qui est la plus importante de l’histoire des multinationales, fait de BAYER la plus grande entreprise de technologie génétique d’Europe et le deuxième producteur de pesticides du monde. Aucun gouvernement, aucun homme politique et aucune institution ne peut se permettre d’ignorer cette puissance. Aucune instance nationale ou internationale ne peut contrôler efficacement des multinationales telles que BAYER ou même s’opposer à des produits ou des procédés de production dangereux. La catastrophe de Bhopal en Inde nous a appris que les dangers des grandes unités de production chimique ne sont comparables qu’à ceux de l’industrie nucléaire. Dans cet ordre d’idée, critiquer BAYER constitue toujours une critique fondamentale des multinationales dans leur ensemble et de l’industrie chimique en particulier.
    L’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…
    Le plan d’I.G. Farben pour dominer les marchés mondiaux du pétrole et des médicaments a échoué. Les forces alliées ont gagné la guerre. Mais ce conflit a coûté la vie à un nombre colossal de soldats américains et alliés. Pourtant les récompenses des forces alliées sont bien maigres comparées à d’autres. Les actions industrielles des perdants, I.G. Farben inclus, sont absorbées par le trust Rockefeller (U.S.A.) et Rothschild/ J.P. Morgan (R.U.).
    Depuis 15 ans, vingt livres de très grands universitaires ou d’éditeurs des plus grands journaux scientifiques anglo-saxons, repris par des milliers d’articles dans la grande presse américaine et anglaise, ont décrit les noires et mortelles dérives de l’industrie pharmaceutique (hier M. Angell, JP Kassirer, R. Smith, D. Healy, etc. et aujourd’hui, B. Goldacre avec « Bad Pharmas » et P. Gotzsche avec « Deadly Medicines and Organized Crime »).

    Addendum : L’industrie du ruban rose L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets. L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant. De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes. Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe. L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard. Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen. General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests. Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ? On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.
    La présente plainte soumet à la Cour de Justice Internationale (CJI) les plus grands crimes jamais commis dans l’histoire de l’humanité. Il est reproché aux accusés d’avoir causé des blessures et la mort de millions de personnes dans le cadre du « commerce avec la maladie », de crimes de guerre et d’autres crimes contre l’humanité. Ces crimes relèvent de la juridiction du Tribunal Pénal International. Sachant qu’ils seront tenus responsables de ces crimes, les accusés ont initié une campagne globale afin de porter préjudice à l’autorité de la CJI afin de se placer au-dessus de la loi internationale et de poursuivre leurs crimes au détriment de la race humaine.
     Monsanto, avec son complice criminel, la société Dow Chemical, produit l‘Agent Orange dont la dioxine est l’un des composants, qui sert à l’invasion américaine du Vietnam. Résultats ? Plus de 3 millions de personnes contaminées, mort d’un demi-million de civils vietnamiens, un demi-million de bébés vietnamiens qui naissent avec des malformations de naissance et des milliers de vétérans américains qui souffrent ou meurent encore aujourd’hui de ses effets !
    Monsanto est de nouveau traîné en justice et des mémos internes révèlent qu’ils connaissaient les effets mortels de la dioxine de l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement. Bien que ce soit scandaleux, Monsanto est autorisé à présenter sa propre « recherche » qui concluait que la dioxine était inoffensive et ne présentait un quelconque risque de santé. Satisfait, le tribunal se rallie à Monsanto et classe l’affaire. Il apparaît plus tard que Monsanto a présenté des études mensongères et que la vraie recherche concluait que la dioxine tuait très efficacement.
     

    A l'aide de ses 18 sociétés pétroliéres et de la Chase Manhattan banque : Rockfeller est près de contrôler toutes les grandes sociétés pharmaceutiques dans le monde

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  • Quelques livres

    Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée. Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée. Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.

    Guide critique des médicaments de l'âme de David Cohen uniquement d'occasion (sur internet)
    Les antiparkinsoniens
    Ce qu'il est important de savoir
    La maladie de Parkinson
    Pourquoi les neuroleptiques produisent-ils du parkinsonisme ?
    Les substances utilisées pour masquer le parkinsonisme
    Le sevrage des antiparkinsoniens

    MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES : Confessions d’une visiteuse médicale (sortie en français mars 2014)Le 2 décembre 2004,Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.

    mourir sur ordonnance C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.

    Norman Doidge Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau
    Pendant des siècles, la médecine et la science ont affirmé que le cerveau était comme une machine : si une partie s'abîmait, une fonction disparaissait. Or, on découvre aujourd'hui que cette affirmation est complètement erronée : le cerveau a la capacité de s'adapter, de compenser les déficiences dues à des lésions, des traumatismes ou des handicaps de naissance. À travers des analyses détaillées de cas (chaque chapitre est consacré à l'histoire d'un patient), accompagnées d'entretiens avec des spécialistes, Norman Doidge illustre brillamment cette étonnante capacité du cerveau à se réparer.

    L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
     
     
    Amérique dupé : La vérité sur les antidépresseurs, antipsychotiques et comment nous avons été trompésL’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen

    "Sexe et addictions sur ordonnance" (livre sur les effets indésirables du Requip)
    des documents médicaux [produits lors du procès] établissent que les effets indésirables du Requip « étaient connus de la communauté scientifique avant 2003. Le laboratoire ne pouvait donc pas les méconnaître (…) en ne renseignant pas la notice sur ces risques.

    The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic DrugsAntipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.

    tous fou ? de jean claude Saint-Onge
    Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie

    Mad in America de  Robert Whitaker L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise

    Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.

    Pourquoi et comment arrêter de prendre des médicaments psychiatriques (anglais uniquement)

    Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
    le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
    « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

    Remèdes mortels et crime organiséDans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.

    « Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
     
    pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
    les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
     
    Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
     
    Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux
     
    « En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
     
    Mad in America  de  Robert Whitaker
    L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
     
    Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais.
     
    C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
     
    Il s’agit du second livre de Françoise Cambayrac. Elle y raconte son histoire – et celle de ses enfants – de désintoxication aux métaux lourds. Il aura fallu 20 ans pour soupçonner le mercure comme étant la cause des maladies de ses enfants. Ligne après ligne, elle nous transporte dans ce dur combat pour sortir ses enfants de leur prison métallique. Si parfois son discours est catégorique concernant le procédé de désintoxication, le parcours reste néanmoins merveilleux.
     
    Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
     
    Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
     
    Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
     
    Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.
     
    “Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
     
    The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic Drugs Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
     
    Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
     
    En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
     
    La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers
     
    « N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
     
    la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
     
    on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
     
    Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
     
    Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
     
    Est-il vrai que se faire tester pour trouver un cancer à ses débuts est une des meilleures façons de se garder en santé ? Dans ce livre vivant et bien documenté, un expert renommé en dépistage du cancer conteste une des croyances les plus robustes de la médecine : la meilleure défense contre le cancer est de le traiter tôt. La lecture de ce livre incitera à un peu plus de scepticisme à propos des dépistages les plus communs comme la scanographie du corps, la mammographie et le test de l’antigène prostatique spécifique. Combinant l’expérience de patients et les informations les plus récentes sur les cancers les plus courants, le Dr H. Gilbert Welch montre pourquoi le dépistage du cancer de gens en bonne santé est une épée à deux tranchants : bien que ces tests puissent aider, leur effet est remarquablement minuscule et ils peuvent même faire du tort. S’appuyant sur un domaine peu sinon mal connu de la recherche médicale, il discute des pièges du dépistage : il peut rater des cancers, conduire à des traitements inutiles; le dépistage peut aussi distraire l’attention des médecins d’autres problèmes importants. Les conclusions du DrWelch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer.
     
    De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
     
    Tous les graphiques montrent une baisse similaire. Cette baisse ralentit lorsque la vaccination est introduite. Parfois le même graphique une augmentation dans les premières années après l’introduction du vaccin. Les représentations graphiques des statistiques donc faire apparaître l’influence négative de l’introduction des vaccins.
     
    Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l’histoire de l’humanité
     
    Qui n’a pas rêvé un jour, au nom de ses convictions, de se lever et de faire face aux autorités ? Ce livre raconte l’aventure d’une femme médecin qui a osé le faire, le docteur Ghislaine Lanctôt ! En plein débat sur les vaccinations et les politiques de santé publique, ce livre, plus que jamais d’actualité, relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
     
    jacky Law étudie comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars en persuadant les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue ?
     
    Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
     
    Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d’entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n’ont pas d’effets délétères sur nos organismes, alors qu’en vérité, les médicaments peuvent tuer
     
    Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
     
    La thèse de Pignarre est déroutante, car elle amène à repenser le comportement actuel de l’industrie pharmaceutique. Les citoyens ne feraient pas tant face à une personnification du Mal capitaliste mondialisé qu’à une industrie au bord de sombrer dans l’abîme, qui utilise tous les moyens, même les plus inavouables, pour prolonger la durée de ses brevets, pousser en avant de nouvelles molécules miraculeuses aux effets douteux ou délétères, afin de retarder encore un peu l’échéance fatale, la grande mise à nu.
     
    Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les médecins
     
    Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
     
    Death by Prescription (Mort sur ordonnance)de Terence Young
    les sociétés de plusieurs milliards de Dollar pharmaceutiques
     
    « Certains des pires trafiquants de drogue de la nation ne sont pas dans les coins de rue, ils occupent de très bonnes place au sein d’entreprises »
     
    « Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
     
    « La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
     
    Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
     
    Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
     
    comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue?
     
    Quant à l’incroyable surconsommation de médicaments, c’est une plaie spécifiquement française puisque nous en absorbons deux fois plus que les Japonais et moitié plus que nos cousins allemands, qui ne se portent pas plus mal que nous ! Les volumes de psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs et autres sédatifs) avalés par les Français ont été multipliés par six en vingt ans. Une folle dérive parmi d’autres, qui montre l’immense chemin à parcourir pour parvenir non à dépenser moins coûte que coûte mais à mieux utiliser l’argent collecté auprès des assurés sociaux.
     
    The Myth of the Chemical Cure de docteur Joanna Moncrieff
    Ce livre expose le point de vue traditionnel que les médicaments psychiatriques ciblent les maladies sous-jacentes, ou des déséquilibres chimiques correctes, est une fraude. Il retrace l’émergence de ce point de vue et suggère qu’elle a été adoptée, non pas parce que il y avait une preuve à l’appui, mais parce qu’il a servi les intérêts de la profession psychiatrique, l’industrie pharmaceutique et de l’État moderne. Au lieu de cela il est proposé que le travail des «médicaments psychiatriques en créant des états mentaux altérés, qui peuvent supprimer les symptômes de troubles psychiatriques, ainsi que d’autres fonctions intellectuelles et émotionnelles. La recherche sur les antipsychotiques, les antidépresseurs, les stabilisateurs de l’humeur et de stimulants est examinée pour démontrer cette thèse et les avantages et inconvénients de l’utilisation des différentes sortes de médicaments sont discutés. Il est suggéré que la reconnaissance de la nature réelle de médicaments psychiatriques conduirait à une pratique plus démocratique de la psychiatrie.
     
    L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?

    combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
     
    Dois-je me faire tester pour le cancer ? : Peut-être pas et voici pourquoi de H-Gilbert Welch
    Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
     
    Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays
     
    Depuis les affaires des statines, du Vioxx, de l’Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments
     
    Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse… puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse. Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes.
     
    Étant donné mon entêtement à récidiver sur ce thème, certains pourraient croire que je suis une victime qui veut se venger de ses prédateurs, ce qui n’est absolument pas le cas. Je tiens à signaler que je ne suis pas vaccinée, ayant eu la chance d’avoir une mère très informée sur la santé et un médecin de famille comme il n’en existe presque plus, qui nous ordonnait des infusions ou des bouillons de légumes et jamais de médicaments, puisque, à l’époque, on ne donnait des médicaments qu’aux gens malades. Or, personne n’a jamais été malade dans ma famille qui vivait et mangeait sainement.
     
     Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l’ignorance et la peur.
     
     La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
    Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
     
    Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
     
    Médication Madness (anglais) de professeur peter Breggin
    La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
     
    Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
     
    je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
     » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
     
    combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
     
    mensonges et vérités de diana Kircsh
    extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
    Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
    Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
     
    •Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont
     
    LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
    Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
     
    SL : Mais quelle idée, ce titre ? Vous avez décidé de nous faire peur ?
    MM : Non, tout simplement de dire la vérité. C’est un constat, celui d’un échec, l’échec de la médecine. En France, chaque année, 1 300 000 personnes sont hospitalisées dans le secteur public à cause de l’effet indésirable d’un médicament — ça fait quand même 10 % des hospitalisations ! — , et, pour 450 000 d’entre elles, le cas est considéré comme grave ! 18000 personnes n’en réchappent pas. C’est bien une preuve que la médecine nous tue ! Alors, comme je constate qu’en plus, la plupart du temps, elle ne parvient pas à nous sauver malgré l’invention de toutes ses molécules miracles, c’est insupportable.
     
    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les médecins des colonies font de l’éradication de la maladie du sommeil leur priorité. Un nouveau médicament vient d’être découvert : la Lomidine. Dans l’enthousiasme, de grandes campagnes de « lomidinisation préventive » sont organisées dans toute l’Afrique. La méthode connaît quelques ratés – la molécule se révèle inefficace et dangereuse – mais ils ne freinent pas les médecins, au contraire. Il faut « lomidiniser » l’intégralité des populations, de gré ou de force.
    Médicaments La grande intox Le 23 juin 2011, Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, déclarait : « Il faut clairement qu’ il y ait un avant et un après-Mediator. » Deux ans plus tard, où en sommes nous ? Sommes-nous à l’ abri de nouveaux scandales sanitaires ? À l’ heure où les pilules contraceptives de troisième et quatrième générations soulèvent des inquiétudes justifi ées, rien n’ est moins sûr. La priorité des laboratoires n’ est pas de nous soigner, mais de faire du profi t. Des maladies sont inventées, des médicaments détournés de leur prescription initiale et des copies d’ anciens médicaments, sans plus-value pour le patient, commercialisées. Pire, on découvre que la plupart de nos médecins connaissent mal les produits qu’ ils nous prescrivent et on attend qu’ un médicament cause plusieurs victimes avant d’ envisager son retrait des offi cines…
     
    Les Français consomment une quantité impressionnante d’antidépresseurs. Pourquoi ? Et avec quelles conséquences ? Que contiennent les antidépresseurs ? Quel rapport y a-t-il entre Hitler et Staline d’un côté, et ces cachets « miraculeux » de l’autre ? Les antidépresseurs sont-ils des médicaments ? De la drogue ? Par quels moyens subtils l’industrie pharmaceutique fait-elle leur  promotion ? Les consommateurs d’antidépresseurs sont-ils les victimes d’une comédie soigneusement orchestrée, ou les victimes de leurs propres illusions auto-infligées ?
     
    Les français sont très préoccupés par leur santé. Ils sont les plus gros consommateurs de médicaments en Europe. On compte une dépense annuelle moyenne de 530 euros par habitant en 2010. La dépense relative à la consommation de biens et de soins médicaux a atteint les 175 milliards d’euros, soit 2692 euros par habitant pour la même année. Alors que la mission première de l’industrie pharmaceutique est censée améliorer notre santé, elle est devenue aujourd’hui une véritable machine de marketing et de vente de produits de consommation.
     
    Médicaments dangereux, essais cliniques biaisés, experts corrompus : l’industrie pharmaceutique est au centre de scandales largement médiatisés. Au fil des procès, on dénonce des conflits d’intérêts et des manquements à l’éthique professionnelle. Mais suffit-il de pointer les failles du système et d’en rester là ? Ne faut-il pas s’interroger également sur son fonctionnement normal pour rendre compte de la récurrence de telles affaires ? C’est la question que pose ce livre, issu d’une enquête de quatre ans, en décrivant la vie d’un médicament ordinaire : un antibiotique apparemment sans histoire, consommé chaque année par des millions de patients.
     
    Au moins 800 000 personnes devraient mourir en France des effets de la pollution dans les vingt prochaines années. L’équivalent d’une ville comme Marseille sera ainsi rayé de la carte, à cause des produits chimiques que nous utilisons et des polluants que nous respirons ou ingérons sans prendre garde. Face à cette hécatombe prévue – 40 000 morts minimum par an – et en grande partie évitable, les industriels se barricadent, les gouvernements tergiversent et l’opinion semble encore endormie. Comme si on annonçait en début de chaque année qu’une nouvelle canicule allait s’abattre sur la France, au moins deux fois plus meurtrière que celle de 2003 qui a tué 15 000 personnes, et que personne ne faisait rien ! Amiante, produits chimiques, pesticides, métaux lourds, dioxines, ozone, particules diesel : pour la première fois, une enquête tente d’évaluer les hécatombes sanitaires, passées et futures, de tous ces polluants, et s’interroge sur les responsabilités de tous les « empoisonneurs » aussi involontaires soient-ils. Il est temps d’écouter les victimes, d’entendre les alertes des experts, de décrire les vrais risques et les incertitudes, de s’interroger sur ces contaminations collectives liées au monde du travail ou à la vie urbaine, dont la France semble prendre conscience plus tardivement que d’autres pays, faute de politiques ambitieuses de prévention et de précaution.
     
    Mammography screening. Truth, lies and controversy (« Dépistage par mammographie. Vérité, mensonges et controverse »)
    traite spécifiquement des enjeux scientifiques et des luttes d’influence dans le domaine du dépistage du cancer du sein.Se basant sur une étude réalisée au Danemark et sur l’analyse critique d’études internationales, son auteur danois Peter Gotzsche juge que le dépistage par mammographie présente plus d’inconvénients que d’avantages, entraînant des surdiagnostics de cancers « non symptomatiques », qui n’auraient au final eu aucun effet sur la vie des femmes concernées. »Il peut être raisonnable de ne pas se soumettre au dépistage par mammographie parce qu’il présente à la fois des bienfaits et des dommages », estime-t-il.
     
    L’autisme est devenu la nouvelle épidémie du siècle, mais les pouvoirs publics prétendent que son origine est génétique. Comment une maladie génétique peut-elle s’être multipliée par 12 en dix ans dans les pays développés, soit environ un cas sur 150 naissances ?
     
    Mère de trois enfants dont l’aîné est autiste, Marie-Christine Dépréaux passe le plus clair de son temps à rechercher, traduire et analyser tout ce qui, depuis 8 ans, a trait aux approches biomédicales de l’autisme, mené à un niveau de qualité scientifique acceptable et appuyer par de solides références médicales et surtout d’aller jusqu’au bout. Si la littérature anglaise sur cette vision de l’autisme abonde de témoignages autant de parents que de médecins, si des débats ont lieu aussi bien au niveau du gouvernement que des médias anglophones tant radiophoniques que télévisuels, rien de similaire n’existe pour un auditoire francophone. C’est pourquoi elle décide de se lancer dans l’aventure du livre parce qu’elle aurait aimé découvrir il y a 20 ans, provoquant débats sérieux et fournissant une promotion sur le sujet. Elle s’insurge enfin contre le discours immuable et fataliste entendu trop souvent sur l’autisme: fatalité génétique, non! Trop simpliste! Elle nous révèle qu’existe un microcosme médical à l’origine des nouvelles approches biomédicales de l’autisme. Souhaitons que les membres du DAN (Defeat Autism Now) soient ces scientifiques d’avant-garde qui, avec le concours des parents d’enfants autistes, réveilleront la communauté scientifique endormie afin de vaincre l’autisme des personnes déjà atteintes et d’en déterminer l’origine pour éviter de nouvelles victimes.
     
    Vous découvrirez dans cet ouvrage la face cachée sur les non-dits concernant les métaux lourds, les maladies qui en découlent (épilepsie, jambes sans repos, mycoses, candida, fibromyalgie, hyperactivité, déficit d’attention, psoriasis, électrosensibilité, allergies alimentaires, allergies au pollen, asthme, bipolaire, tocs, anorexie, dépression, anémie, fatigue chronique, diminution de la libido, coliques du nouveau-né, migraine, accouphènes, sifflements d’oreilles, …) ainsi qu’un traitement 100% naturel pour les éliminer, les signes cliniques (248 répertoriés) et les sources d’intoxication de même que les erreurs à éviter lors de déposes d’amalgames, les protections les plus minutieuses et nécessaires effectuées par le dentiste n’étant de loin pas suffisantes.Des mises en garde et les conséquences des chélations 100% chimiques comme (DMPS, EDTA, DMSA …) utilisés dans l’urgence après Tchernobyl, produits trop banalisés à ce jour !
     
    Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état ​​de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état ​​de sevrage.
     
    Malheureusement, la psychiatrie tue
    Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible
     
    psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma
  • Témoignage : 35 % d'erreurs de diagnotic

    Messages destiné aux jeunes parkinsoniens, sans tremblement ou sans raideur musculaire, mais avec tous les autres signes du Parkinson, qui pourraient comme moi, être l'objet d'une erreur.

    Je voudrais vous faire partager mon expérience.
    54 ans aujourdhui. Diagnostiquée Parkinson en juin 2010, soignée à l'azylect puis sifrol 0,26 puis sifrol 0,52 (un an après, alors que mon neurologue avait au début prévu le même médicament pendant 5 ans) remplacé par glissement (parce que je souffrais terriblement des pieds), par neupro 6 en Mars 2013, puis neupro 6 + simenet 1/2 :
    Un oubli de neupro le 15/07/2013, la sensation de me sentir mieux. Je ne réalise mon oubli qu'au patch suivant l'arrêt du neupro, j'arrête et je préviens mon neurologue , qui m'augmente à 1 simenet en 3 prises avec toujours azylect . Surdose au simenet.
    Arrêt spontané du simenet pour éliminer: je me sens tellement mieux sans, que je décide d'arrêter aussi l'azylect le 29/07/2013 : problèmeb de sevrage : deux nuits de mouvements involontaires ! Je revis ! ERREUR DE DIAGNOSTIC qui m'a fait subir des effets des médocs pendant 3 ans, et qui aurait pu d'après ce que je lis, me rendre grabataire en quelques années ! Maintenant, sept semaines après, je continue d'élimer les médicaments ! Mais tout va mieux !

  • Psychotrope ou catastrophe ?

    Les maladies induites par les médecins


     maladies induite par les médicaments (et surtout par les distributeurs)

    Quelle est l'étendue territoriale du problème des effets indésirables?

    Chaque année, plus de 9,6 millions d'effets indésirables se produisent dans les anciens Américains.  Une étude a révélé que 37 pour cent des effets indésirables chez les personnes âgées n'ont pas été signalés au médecin, sans doute parce que les patients ne se rendent pas compte les réactions ont été dus à ce médicament. Ce n'est pas très surprenant compte tenu du fait que la plupart des médecins avoué ne pas expliquer les effets négatifs possibles à leurs patients. 1

    Nous avons fondé la suite des estimations nationales sur le bien-mené des études, principalement aux Etats-Unis:

    • Chaque année, dans les hôpitaux seulement, on compte 28000 cas de la vie en danger de toxicité cardiaque effets indésirables de la digoxine, le plus communément utilisé, de la digitaline (médicaments qui régulent la vitesse et la force des battements cardiaques) chez les personnes âgées. 2 Depuis que de nombreux de 40% ou plus de ces gens utilisent ce médicament inutilement (voir la discussion sur la digoxine), bon nombre de ces blessures sont évitables.
    • Chaque année, 41000 personnes âgées sont hospitalisées et 3300 de ces décès-d'ulcères causés par les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens, généralement pour le traitement de l'arthrite). 3 milliers de jeunes adultes sont hospitalisés. (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer des saignements gastro-intestinaux.)
    • Au moins 16000 blessures dues à des accidents automobiles chaque année impliquant des conducteurs âgés sont attribuables à l'utilisation de substances psychoactives, en particulier les benzodiazépines et les antidépresseurs tricycliques. 4 drogues psychoactives sont ceux qui ont une incidence sur l'esprit ou le comportement.  (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer des accidents automobiles.)
    • Chaque année, 32000 personnes âgées souffrent de fractures de la hanche due à la drogue induit tombe, entraînant plus de 1500 morts. 5,6 Dans une étude, les principales catégories de médicaments responsable de la chute conduisant à de fractures de la hanche ont été somnifères et les tranquillisants mineurs ( 30%), antipsychotiques (52%), et les antidépresseurs (17%). Toutes ces catégories de médicaments sont souvent prescrits inutilement, en particulier chez les personnes âgées.  (Voir la section sur les somnifères et les tranquillisants, médicaments antipsychotiques et les antidépresseurs, voir aussi la liste des médicaments qui peuvent causer des fractures de la hanche parce que la drogue induit des chutes.)
    • Environ 163000 Américains âgés souffrent d'une grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) soit causée ou aggravée par la drogue. 7,8 Dans une étude dans l'État de Washington, dans 46% des patients de la drogue induit mentale, le problème était mineurs causés par les tranquillisants ou des somnifères, dans 14%, par une pression artérielle élevée de drogues et dans 11%, par antipsychotiques.  (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer ou aggraver la démence.)
    • Deux millions d'Américains âgés ou dépendants sont à risque de dépendance à l'égard du mineur tranquillisants ou des somnifères parce qu'ils ont utilisé tous les jours pendant au moins une année, même s'il n'existe pas de preuve acceptable que les tranquillisants sont efficaces pendant plus de quatre mois, et les chambres à coucher pilules pour plus de 30 jours. 9
    • La dyskinésie tardive indute par les médicaments a été développé chez 73000 personnes âgées, c'est le plus grave et le plus commun des effets indésirables des médicaments antipsychotiques, et il est souvent irréversible. Dyskinésie tardive se caractérise par des mouvements involontaires du visage, les bras et les jambes. Environ 80% des personnes âgées recevant des médicaments antipsychotiques n'ont pas de schizophrénie ou d'autres conditions qui justifient l'utilisation de ces médicaments puissants, tant de ces patients ont de graves effets secondaires de médicaments qui sont prescrits de façon inappropriée. 10 (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer la dyskinésie tardive ou d'autres troubles du mouvement.)
    • Le Parkinsonisme d'origine médicamenteuse a été développé chez 61000 personnes âgées est également due à l'utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l'halopéridol (Haldol), la chlorpromazine (THORAZINE), de la thioridazine (MELLARIL), trifluopérazine (STELAZINE), et fluphenazine (PROLIXIN). Il existe d'autres parkinsonisme - inciter les drogues, comme le métoclopramide (REGLAN / primpéran), prochlorpérazine (COMPAZINE), et la prométhazine (PHENERGAN), prescrit pour des problèmes gastro-intestinaux. 11 (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer parkinsonisme.)

    Un grave problème existe parce que les deux, médecins et les patients ne se rendent pas compte que pratiquement tout les symptômes chez les personnes âgées et beaucoup de jeunes adultes peut être causée ou aggravée par la drogue. 12 Certains médecins et les patients du principe que ce sont en fait des réactions indésirables aux médicaments sont tout simplement des signes de vieillissement . En conséquence, de nombreux effets indésirables graves sont totalement négligés ou non reconnus jusqu'à ce qu'ils aient causé des dommages significatifs.

    Les médicaments responsables des plus graves effets indésirables chez les personnes âgées sont les tranquillisants, somnifères et autres affectant l'esprit drogues; médicaments cardiovasculaires comme l'hypertension artérielle médicaments, de la digoxine, et médicaments pour troubles du rythme cardiaque, 13 et médicaments pour traiter les problèmes intestinaux .

    Mentale Réactions des effets indésirables des médicaments: la dépression, des hallucinations, confusion, délire, perte de mémoire, altération de la pensée

    Système nerveux Adverse Drug Reactions: parkinsonisme, des mouvements involontaires du visage, des bras, des jambes (dyskinésie tardive), dysfonctionnement sexuel

    Des effets indésirables des médicaments gastro-intestinaux indésirables: perte d'appétit, la constipation

    Les problèmes urinaires: difficulté à uriner, des fuites d'urine

    Étourdissements permanent du Règlement

    avec parfois pour conséquence des fractures de la hanche

    Automobile accidents qui ont fait des blessés

    Exemples spécifiques de patients avec des maladies induites par les médicaments.

    Femme à domicile en raison d'une misprescribed cœur de drogues

    Liz, 54 ans, a été prescrit un médicament pour le coeur  amiodarone (Cordarone) pour traiter une affection cardiaque. Elle n'a pas été dit que le médicament n'a pas été approuvé par la FDA pour son état.  La pharmacie notice mentionné les nausées et les étourdissements que des effets indésirables, mais pas de toxicité pulmonaire.Elle est maintenant en fonction d'une citerne d'oxygène pour respirer et ne possède pas la force de sa propre maison.

    L'homme développe le parkinsonisme du fait des antipsychotiques prescrits pour "le syndrome du côlon irritable"

    L arry a été en bonne santé à 58 ans souffrant de diarrhée l'homme croit être malade en raison du «syndrome du côlon irritable." Il a reçu trifluopérazine (STELAZINE), un antipsychotique puissant, afin de "calmer" son tractus intestinal. STELAZINE n'est pas encore approuvé pour traiter ces problèmes de santé. Six mois après le début de STELAZINE, Larry développe des symptome graves de Parkinson, une affection neurologique caractérisée par des tremblements, des mouvements limités, rigidité et instabilité posturale. Pour corriger cette situation, Larry a commencé sur la L-dopa (également connu sous le nom de la lévodopa), un médicament pour traiter la maladie de Parkinson. Vraisemblablement, le médecin ne s'est pas rendu compte la parkinsonisme a été induite par le médicament et la STELAZINE s'est poursuivie.  Depuis sept ans, Larry a pris ces deux médicaments jusqu'à ce que de voir un spécialiste de la maladie de Parkinson.  Le spécialiste reconnu la véritable cause de son problème, stoppe la STELAZINE, et se retire peu à peu la L-dopa sur une période de six mois.Larry's graves, parkinsonisme désactiver complètement dégagé.

    Le même spécialiste de la maladie de Parkinson qui "guéri" de sa Larry Drug-induced parkinsonisme vu, dans tout juste trois ans, 38 autres patients à la drogue induit parkinsonisme et 28 de la drogue-induite dyskinésie tardive, un syndrome de mouvements involontaires.

    Aucun de ces patients étaient psychotiques, l'une des conditions pour lesquelles les médicaments antipsychotiques sont approuvés.  Au contraire, les raisons les plus courantes d'utilisation des inducteurs de parkinsonisme drogues étaient l'anxiété chronique et troubles gastro-intestinaux. Le plus souvent coupable (dans 19 de ces 39 patients) a été REGLAN, généralement prescrits pour les brûlures d'estomac ou de nausées et de vomissements. Les médecins prescrivent souvent des REGLAN avant d'essayer d'autres plus conservateurs et plus sûres. D'autres médicaments qui introduit le parkinsonisme inclus prochlorpérazine (COMPAZINE), l'halopéridol (Haldol) et la chlorpromazine (THORAZINE) 14.

      Le saviez-vous?
      Drug-induced parkinsonisme

    Chaque année, 61000 personnes âgées de développer Drug-induced parkinsonisme. Au moins 80 pour cent d'entre eux, à l'instar de Larry, n'aurait jamais dû être mis sur les médicaments provoquant la parkinsonisme, en premier lieu. Aussi, comme dans la situation de Larry, une grande partie de ces personnes ont les médecins qui pensent que leurs patients parkinsonisme développés spontanément.

    Le problème est double. Les médecins ne parviennent pas à croire que l'état est causé par un médicament comme STELAZINE ou d'autres drogues comme le métoclopramide (REGLAN), prochlorpérazine (COMPAZINE) ou la prométhazine (PHENERGAN). Puis ils ajoutent un deuxième médicament pour traiter la maladie qui a effectivement été causé par le premier médicament.

    La confusion et les hallucinations causées par l'ulcère de drogues

    . Leticia a écrit au Public Citizen au sujet de son 80-year-old père, en disant qu'elle avait à maintes reprises demander à son médecin quant à l'éventuel rôle de son père l'ulcère de la drogue dans une source de confusion et d'hallucinations avant le médecin écouté.  Son père avait essayé trois médicaments différents - la cimétidine (Tagamet), la ranitidine (ZANTAC) et la famotidine (PEPCID) - pour ses ulcères, et chacun d'entre eux avait causé ces effets secondaires.  Lorsque le médecin est passé finalement le père de Leticia à un antiacide - l'hydroxyde d'aluminium et d'hydroxyde de magnésium (Maalox) - son esprit complètement vidés et il était son ancien soi-même, ne sont plus confus ou hallucinations.

    Femme développe réversible mentale de tranquillisant

    La première fois 79-year-old Sally médecin a vu son beau-fils, après plusieurs mois, il a noté qu'elle avait subi de graves atteinte à son esprit autrement forte. Elle était confuse et, pour la première fois de sa vie, n'a pas réussi à équilibrer ses conséquences financières.  Quand il a remis en question, elle a été en mesure de se rappeler que son problème a commencé au moment où elle a été mis sur le tranquillisant lorazépam (Ativan). Après ce lien a été découvert, le médicament a été lentement abandonné et le handicap mental disparu.

    L'homme a accident automobile après une dose de tranquillisant

    Ben, 64 ans, devait avoir une biopsie faite à un hôpital local, un matin. Le médecin lui a donné un échantillon gratuit d'un tranquillisant, l'alprazolam (Xanax), de prendre une heure environ avant la procédure afin qu'il serait assouplie pour la biopsie. Ben n'a pas été informé qu'il ne doit pas utiliser le médicament s'il allait à conduire. Pendant la conduite à l'hôpital pour la biopsie, il a noirci. La voiture est passé au-dessus une clôture et durable convient de 6000 $ de dommages, mais heureusement Ben est indemne. (Voir les médicaments qui peuvent causer des accidents automobiles.)

    Dangereusement lent rythme cardiaque avec le propranolol utilisation chez les personnes âgées

    Shara, une de 60 ans, assistant à une des seniors centre, a été lancé sur le propranolol (Inderal, Inderal LA) pour traiter son hypertension artérielle. Malheureusement, son médecin ne s'est pas rendu compte que la dose de ce médicament parfois utile doit être réduite chez les personnes âgées, la dose et elle a été prescrit était trop élevé pour elle. Deux jours après, elle a commencé à prendre le médicament, elle a commencé à se sentir très faible. L'effet secondaire était si mauvaise que le troisième jour sur la drogue, elle se rend à une salle d'urgence de l'hôpital, où son pouls était de 36 battements par minute.Ce faible taux dangereusement expliqué pleinement sa faiblesse. Le médicament a été arrêté, Shara et de la fréquence cardiaque est revenue à la normale.Plus tard, une faible dose d'un autre médicament a été prescrit et produit pas d'effets secondaires.

    Enfant meurt du médicament prescrit pour Attention Deficit Hyperactivity Disorder

    Jamal, un brillant 7-year-old boy, a été prescrit un antidépresseur, l'imipramine (Tofranil), pour traiter Attention Deficit Hyperactivity Disorder. Ses parents n'ont pas été fournis avec une totale, des informations précises sur la drogue. . En conséquence, ils ne savaient pas que la drogue peut provoquer la vie en danger les irrégularités des battements cardiaques (arythmies appelé), que la dose prescrite à Jamal était trop élevé et que les tremblements et convulsions que Jamal a commencé à avoir effectivement des effets secondaires du Tofranil.  Le traitement avec le médicament a été poursuivi, et un jour, à l'école, il s'est effondré et est mort d'une arythmie.. Si ses parents avaient été suffisamment mis en garde contre ce médicament, Jamal peut-être encore en vie aujourd'hui.

    Poor prescription est souvent la cause des symptômes

    L'Organisation mondiale de la santé, en examinant le problème des effets secondaires chez les personnes âgées, a fait état de certains principes applicables aux personnes de tous âges:

    Très souvent, l'histoire et l'examen clinique des patients avec des effets secondaires révèlent qu'aucune indication valable [Objet] pour l'infraction de drogues a été présent ...Les effets indésirables peuvent dans une large mesure, être évitée chez les personnes âgées par le choix de médicaments sûrs et efficaces et son application thérapeutique en prescrivant des principes, comme en commençant par une petite dose, en observant le patient fréquemment, et d'éviter les trop polypharmacie [l'utilisation de plusieurs médicaments à en même temps] 15.

    En d'autres termes, les patients qui souffrent de réactions indésirables aux médicaments sont très souvent victimes de la drogue qu'ils n'auraient pas dû être prise de manière que la première place.

    En 1992, une étude publiée dans les soins médicaux examiné prescriptions donné que des gens ont été déchargées d'un hôpital communautaire. L'accent a été mis sur les qui ont été prescrit de trois ou plus de médicaments pour traiter les maladies chroniques 16.

    Les résultats de cette étude sont tout à fait préoccupante, tant en ce qu'ils disent de l'ordre des médecins les pratiques de prescription et à titre de preuve des dommages potentiels que ces pratiques de prescription peut faire pour les personnes âgées. Sur les 236 personnes étudiées:

    •   81 pour cent avaient un ou plusieurs problèmes de prescription avec les prescriptions qu'ils ont été données, y compris les médicaments inappropriés, les doses ou le programme;
    • 60 pour cent a été accordée une ou plusieurs ordonnances pour un médicament qui a été un choix inapproprié de la thérapie, car elle était soit «moins de médicaments optimale compte tenu du diagnostic du patient" ou il n'y avait pas de mention à cet effet;
    • 50 pour cent ont reçu soit trop élevé ou trop faible dose du médicament;
    •  44 pour cent des patients ont reçu une combinaison de médicaments qui peuvent entraîner des interactions médicamenteuses néfastes;
    • 20 pour cent ont reçu des médicaments inutilement double emploi avec l'effet thérapeutique d'une autre drogue qu'ils prennent.

    Heureusement, un pharmacien conseil impliqués dans la prise en charge de plus de la moitié de la population a été en mesure de réduire les risques pour les patients en formulant des recommandations aux médecins prescripteurs.

    Disponible sur le site Web sont des listes des plus commune de drogue induit des effets néfastes ainsi que les médicaments qui peuvent provoquer chez eux. Dans la case ci-dessous sont quelques-uns des symptômes qui, même s'ils sont souvent causés par la drogue, sont les types de problèmes que vous, ou de nombreux médecins pourraient premier attribut simplement à "vieillir" ou "se nerveux" au lieu de à un médicament.

    Les effets indésirables qui peuvent être causés par les médicaments?

    Le médicament-maladie induite listes sur ce site doivent être utilisés par les patients qui ont toute une gamme de problèmes de santé (ou par les médecins) afin de découvrir les médicaments, en particulier ceux qu'ils utilisent ou envisagent d'utiliser, peut provoquer des effets indésirables réactions. Les listes sont compilées à partir de diverses sources. 17,18,19,20,21,22,23

    Bien que certains de ces effets indésirables se produisent le plus souvent chez les personnes âgées, chacun d'entre eux ont également été documentée chez les jeunes gens, bien que parfois pas aussi souvent.

    Résumé des effets indésirables et les médicaments qui causent les

     Seuls les plus facilement détectables problèmes sont pris en compte, et que la plupart des drogues causant chaque problème sont énumérés.

    Des effets indésirables des médicaments

    Nombre de médicaments

    Exemples de noms de marque

    Depression Dépression 166 Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac
    Psychoses/ hallucinations Psychoses / hallucinations 156 Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonata, Tagamet, Ultracet, Valium, Vioxx Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonate, Tagamet, Ultracet, le Valium, le Vioxx
    Confusion/ delirium Confusion / délire 147 Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac
    Dementia Démence 76 Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax,Zantac Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac
    Insomnia Insomnie 35 Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24 Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24
    Parkinsonism Parkinsonisme 40 Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, le Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine
    Tardive dyskinesia Dyskinésie tardive 19 Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa
    Dizziness on standing Vertiges de s'arrêter 154 Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, Minipress, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonata, Tenormin, Valium, Xanax Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, MINIPRESS, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonate, Tenormin, Valium, Xanax
    Falls/hip fracture Falls / fracture de la hanche 59 Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax
    Automobile accidents Automobile accidents 28 Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft
    Sexual dysfunction La dysfonction sexuelle 127 Abilify, Calan SR, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac Abilify, SR Calan, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, le Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac
    Loss of appetite, nausea, vomiting Perte d'appétit, des nausées, des vomissements 63 Advil, Avelox, Daypro, Demerol, EES, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram Advil, Avelox, Daypro, Demerol, SEE, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram
    Abdominal pain, ulcers, GI bleeding Douleurs abdominales, ulcères, hémorragies gastro-intestinales 48 Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, Vioxx, Zithromax Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, le Vioxx, Zithromax
    Constipation 107 Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol No. 3, Tylox, Ultram, Urised Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol n ° 3, Tylox, Ultram, Urised
    Diarrhea Diarrhée 56 Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips’ Milk of Magnesia, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips «Lait de Magnésie, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm
    Lung toxicity Toxicité pulmonaire 59 Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken
    Blocked urination Bloqué uriner 56 Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban
    Urine leakage Les fuites d'urine 84

    Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, Minipress, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, Zaroxolyn, Ziac, Zoloft Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, MINIPRESS, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, ZAROXOLYN, Ziac, Zoloft

     

    le médecin est la personne qui risque le plus de vous tuer
  • Alzheimer, Parkinson... à qui profite l’explosion des maladies neurologiques ?

    Un million de malades d’Alzheimer en France. Une « pandémie neurologique » dont les victimes sont de plus en plus jeunes. Et les causes parfaitement identifiées. Pourtant, les autorités sanitaires préfèrent regarder ailleurs, dénoncent la scientifique Marie Grosman et le philosophe Roger Lenglet. Dans les coulisses de la recherche et des décisions gouvernementales, ils ont enquêté sur les nombreux conflits d’intérêts qui paralysent toute politique de prévention. Entretien

    Basta ! : Quelle est l’ampleur des maladies qui assiègent nos cerveaux ?

    Marie Grosman [1]  : Le nombre de malades d’Alzheimer et d’autisme augmente de façon vertigineuse dans de nombreux pays, surtout les plus développés. De 300 000 malades d’Alzheimer en 1994 en France, on en compte environ un million aujourd’hui. Et, si l’on ne fait rien, ce chiffre doublera tous les 20 ans. Le nombre de personnes souffrant d’autisme a été multiplié en France par 17 au cours des cinquante dernières années. On constate également une très forte progression des tumeurs cérébrales chez les enfants (20 % de plus en dix ans). La maladie de Parkinson et la sclérose en plaques, qui concernent respectivement 100 000 et 80 000 personnes, sont aussi en progression. Cela devrait quand même inciter à agir sur les causes de ces maladies !

    Roger Lenglet [2]  : Toutes les données citées dans notre livre sont démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses. Nous sommes face à une pandémie neurologique qui ne cesse d’empirer. Les autorités trouvent toujours une explication rassurante à donner. Elles répètent que ces maladies n’ont pas de causes connues, hormis le vieillissement de la population. Mais l’âge est une condition de la maladie et non une cause. La maladie se produit souvent en fin de vie car c’est le temps nécessaire à son expression. Il ne faut pas oublier qu’il s’agit de pathologies dont le temps de latence est important entre l’exposition aux toxiques et l’apparition des symptômes. Et de plus en plus de jeunes sont touchés par la maladie d’Alzheimer. Entre 30 000 et 50 000 personnes de 13 à 60 ans sont concernées.

    Nous naissons et vivons aujourd’hui dans « un monde neurotoxique ». Est-ce, selon vous, la cause principale du développement des maladies neurodégénératives ?

    R. L. : On a l’habitude de raisonner sur le mode « pasteurien » : un virus = une maladie. Dans un monde où les produits chimiques sont devenus omniprésents, leurs effets se combinent, et les maladies sont multifactorielles. Mais les principaux coupables sont connus. Grâce à une étude épidémiologique de 1995, par exemple, on sait qu’un taux de 100 microgrammes/l d’aluminium dans l’eau du robinet multiplie par deux ou trois le nombre de cas d’Alzheimer. C’est un facteur puissant qui peut déclencher la maladie. À cela s’ajoute la synergie entre les produits, comme le mercure et le plomb, par exemple, qui aggrave considérablement leur nocivité, comme tous les toxicologues le savent [3].

    Les enfants sont-ils particulièrement touchés par les substances neurotoxiques ?

    M. G. : L’exposition aux molécules neurotoxiques commence dès le début de la vie in utero. Dans le ventre maternel, la barrière placentaire qui protège le fœtus ne stoppe pas les neurotoxiques, qui ont tendance à s’accumuler dans son cerveau en développement. Mercure, plomb, cadmium, phtalates, pesticides et solvants font partie de cette farandole qui a des effets, notamment sur la thyroïde. Plus ces substances sont présentes dans le cordon ombilical, moins le fœtus dispose d’hormones thyroïdiennes. Cette faible quantité peut entraîner une altération irréversible du développement cérébral. On sait aussi que plus la mère porte d’amalgames dentaires [plombages], plus le taux de mercure dans le cerveau du bébé est élevé  [4]. Les mères d’enfants autistes ont été en moyenne davantage exposées au mercure dentaire pendant leur grossesse [5].

    Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?

    R. L. : Oui. Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques, et ces effets peuvent être insidieux et durables, surtout après une consommation pendant des mois, voire des années. Ainsi, les antidépresseurs modifient les fonctions cognitives en diminuant la mémoire des faits récents, ils provoquent des tremblements, des difficultés de concentration, etc. Certains malades de Parkinson ont développé la maladie après la prise de médicaments. Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que toutes les pathologies neurologiques peuvent être induites par des médicaments. Mais cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé. En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir ce qu’il a pris comme médicament.

    Est-ce lié au fait que ces médicaments représentent un marché en pleine expansion ? 4,3 milliards de dollars en 2009 pour la seule prescription de médicaments pour Alzheimer…

    M. G. : Effectivement, les maladies neurodégénératives et neuropsychiatriques constituent un fabuleux marché. Et garantissent un exceptionnel retour sur investissement : 39 % par an, selon André Syrota, directeur de l’Inserm. Pour les pandémies cardiovasculaires, le retour sur l’investissement serait de l’ordre de 37 %.

    R. L. : On privatise la maladie en la réduisant à un produit financier outrageusement rentable. Ces médicaments assurent une sécurité sur les investissements totalement incroyable dans un monde en pleine instabilité financière. C’est une véritable marchandisation des pandémies.

    Avec des situations de conflits d’intérêts ?

    M. G. : L’association Formindep a fait éclater le scandale sur les conflits d’intérêts des experts de la Haute Autorité de santé (HAS), qui ont formulé les recommandations pour les médicaments anti-Alzheimer. Le médecin à la tête de la Commission transparence de la HAS était également rémunéré par des firmes pharmaceutiques, ce qui est interdit par le règlement. Avant même la sanction du Conseil d’État, la HAS a revu sa recommandation sur le sujet.

    R. L. : Les acteurs économiques font un lobbying forcené pour maintenir le remboursement des médicaments. Cela signifierait sinon la fin de la prescription et d’un marché. Dans le cas de médicaments inefficaces et dangereux, le corps médical a toujours la même formule : « Le médicament permet d’intégrer dans les circuits de prise en charge les patients touchés. » Sans cela, on ne s’occuperait pas du patient ? Il existe pourtant une prise en charge non médicamenteuse et l’accompagnement nécessaire des malades.

    D’où l’importance d’assurer l’indépendance de la pharmacovigilance ?

    R. L. : Une vraie expertise du médicament est possible. La revue médicale indépendante Prescrire a prévu tous les scandales sanitaires de ces dernières décennies liés aux médicaments, grâce à ses contre-expertises. Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés.

    M. G. : Nous avons besoin d’experts qui n’ont aucun conflit d’intérêts avec les laboratoires pharmaceutiques. On nous répond depuis vingt ans que « les meilleurs travaillent déjà pour des laboratoires » et que cela reviendrait à « se priver de leurs compétences » [6]. En attendant, le travail mené par le Réseau environnement santé, qui a abouti à l‘interdiction du bisphénol A dans les contenants alimentaires, montre toute l’importance de l’expertise citoyenne.

    Qu’en est-il de la prévention ?

    R. L. : Le fait le plus marquant est justement la quasi-inexistence d’actions de prévention, alors que les enjeux sanitaires sont considérables et que la plupart des causes sont connues. Faut-il attendre que la prévention devienne rentable pour la mettre en place ? Nous devons sortir d’une approche exclusivement thérapeutique. Et redévelopper la toxicologie, qui permet d’évaluer les effets des substances sur les organismes vivants et d’identifier les affections qu’elles peuvent entraîner. Les filières de formation à la toxicologie ont été fermées en France alors qu’il faudrait faire le contraire. Les toxicologues sont considérés comme des emmerdeurs qui viennent vous dire : « Le produit pour lequel vous avez un marché fait des morts. »

    Comment expliquez-vous que les responsables politiques puissent négliger les causes de l’hécatombe ?

    R. L. : Les relations de l’Élysée avec les laboratoires pharmaceutiques conditionnent totalement la politique de santé publique mise en œuvre en France. Le principal conseiller en santé de Nicolas Sarkozy est Arnold Munnich, un généticien dont l’équipe de recherche détient de multiples brevets. On demande aux chercheurs de se concentrer sur les prédispositions génétiques, alors que ça ne concerne pas plus de 3 % des maladies neurodégénératives. Un élément est frappant : le « pantouflage » intense entre les secteurs pharmaceutiques et chimiques, et les postes à responsabilité publique. Le gouvernement Sarkozy a réduit de 5 à 3 ans le délai minimum pour pouvoir rejoindre le secteur de l’industrie privée après avoir occupé un poste dans le secteur public. Le gouvernement est également à l’initiative de rapprochements entre recherche publique et industrie privée, qui permettent aux laboratoires pharmaceutiques de siphonner allègrement les crédits publics alloués à la recherche.

    M. G. : Les spéculateurs se réjouissent de cette collusion avec l’industrie pharmaceutique. Et les assureurs privés se positionnent avec appétit sur ce marché : la poursuite de cette politique de l’autruche signifie la mort assurée de la Sécurité sociale et le partage de l’actuel régime obligatoire entre des assureurs privés.

    Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?

    R. L. : Ces procès auront forcément lieu. Pour le moment, les décideurs font barrage. Mais dès la reconnaissance officielle de la neurotoxicité des produits, en particulier celle des médicaments, une brèche va s’ouvrir pour les plaintes des malades. C’est ce qui s’est passé pour l’amiante : 300 000 procès ont été gagnés aux États-Unis, après la reconnaissance de la toxicité de celle-ci.

    M. G. : Au niveau collectif, il faut se battre pour que les class actions [recours collectifs, ndlr] soient autorisées, afin de rééquilibrer le rapport de force entre les multinationales, dont les ripostes sont hallucinantes, et les citoyens. La France a envisagé de l’autoriser, sauf dans le domaine de la santé [7]. On en est à une situation où le tabac fait plus de 66 000 morts en France chaque année, et un seul plaignant a perdu. Aux États-Unis, ce sont des États entiers qui ont obligé les cigarettiers à passer des accords.

    R. L. : Il y a également des moyens de prévenir l’exposition aux neurotoxiques de façon individuelle. Personne ne peut se protéger complètement, mais des actions sont possibles au niveau de l’alimentation, du jardinage, des téléphones mobiles et d’autres sources délétères pour le cerveau… On peut refuser de se faire poser des amalgames dentaires et exiger des céramiques ou des composites à base de résine. On a mené la révolution pasteurienne, la révolution toxicologique reste à faire. En santé publique, toute prise de conscience est forcément anxiogène. On doit mettre en pratique un nouvel « hygiénisme » qui corresponde à la réalité qui nous entoure. Tout en sachant que, sans action collective, la législation et les normes de protection resteront le fruit des pressions des industriels.

    Propos recueillis par Sophie Chapelle