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Ceux qui peuvent provoquer des crises:- Antidépresseurs, neuroleptiques, theophylline, - Méfloquine (LARIAM),RINUTAN, DENORAL.
Association à éviter:- Avec la carbamazépine:* antibiotiques de la famille des macrolides (augmentation tauxsanguin),* inhibiteurs calciques.- Avec le valproate:* aspirine (augmentation du taux sanguin d'aspirine),* phénylbutazone.- Avec phénobarbital, primidone, carbamazépine, phénytofne:* contre-indication de la pilule contraceptive (diminution del'efficacitéde la pilule)..
Après 40 ans de traitement : "je ne souffre pas d'épilepsie" Elle décrit le sevrage comme "un enfer et une torture pour chaque heure de chaque jour pendant trois ans"
La vaccination est une des grandes causes d'épilepsie, pas la seule, mais indéniablement une des causes principales. Pour comprendre, il faut savoir que tout dommage au cerveau est à même de déboucher sur une épilepsie. Or, étant donné que les vaccins peuvent causer des dommages neurologiques, il n'est donc guère surprenant d'apprendre que les vaccins peuvent donc aussi déboucher, par voie de conséquence, sur de l'épilepsie.
Elles ont été associées à de nombreux troubles neurologiques, comme des encéphalopathies, l’épilepsie, les convulsions, l’autisme, la déficience mentale, la dépression, l’anxiété, les troubles du système nerveux central, la paralysie, le Syndrome de Guillain-Barré, la surdité, la cécité, le trouble du déficit de l’attention et la mort subite du nourrisson (MSN).Les troubles neurologiques associés aux vaccinations sont divers et nombreux. Les vaccinations abaissent les niveaux de QI et contribuent à créer des troubles mentaux, ainsi que les maladies neurologiques énumérées plus bas.
La vaccination est une des grandes causes d'épilepsie, pas la seule, mais indéniablement une des causes principales. Pour comprendre, il faut savoir que tout dommage au cerveau est à même de déboucher sur une épilepsie
Les taux de crises épileptiques chez les enfants ont monté en flèche ces dernières années, un enfant sur 20 âgé de moins de cinq ans souffrant maintenant d'épilepsie. De nombreux parents savent que les vaccins sont à blâmer, leurs enfants ayant subi des crises peu après la vaccination. Les représentants du gouvernement disent que c'est une simple coïncidence. Selon la Epilepsy Foundation, au moins 326 000 enfants aux États-Unis ont reçu un diagnostic d'épilepsie, et 200 000 autres cas ont été diagnostiqués chaque année
une augmentation du risque de suicides, une augmentation du risque de chute, de fractures et de saignements gastro-intestinaux. Les groupes des antidépresseurs “inhibiteurs de la recapture de la sérotonine” et le groupe “autres antidépresseurs” étaient également associés à une augmentation du risque d’accidents vasculaires cérébraux et de crises d’épilepsie. Les antidépresseurs “inhibiteurs de la recapture de la serotonine” étaient en plus associés à une augmentation du risque d’infarctus du myocarde et d’hyponatrémie....
Les doses d’antidépresseurs tricycliques et d’inhibiteurs de la recapture de la sérotonine prises par les patients jouaient un rôle puisqueplus la dose quotidienne était importante, plus le risque retrouvé d’augmentation de la mortalité, de chutes et de crises d’épilepsies étaient importants, en particulier au cours des preiers 28 jours de prise et au cours des 28 jours suivant l’arrêt de la prise des traitements
Le Zyban, un médicament aidant au sevrage tabagique, peut abaisser le seuil épileptique d’un patient atteint de cedésordre et devrait donc être évité. Les anciens antidépresseurs tricycliques tels que l’Elavil ou leTofranil pris àfortes doses étaient également soupçonnés d’abaisser le seuil épileptique
Ceux qui peuvent provoquer des crises:- Antidépresseurs, neuroleptiques, theophylline, - Méfloquine (LARIAM),RINUTAN, DENORAL. Association à éviter:- Avec la carbamazépine:* antibiotiques de la famille des macrolides (augmentation tauxsanguin),* inhibiteurs calciques.- Avec le valproate:* aspirine (augmentation du taux sanguin d'aspirine),* phénylbutazone.- Avec phénobarbital, primidone, carbamazépine, phénytofne:* contre-indication de la pilule contraceptive (diminution del'efficacitéde la pilule).
Les benzodiazépines sont des anticonvulsifs puissants. Ils peuvent sauver la vie en cas d'états épileptiques (crises répétées l'une après l'autre) et en cas de crises causées par le surdosage de certains médicaments (par exemple, les antidépresseurs tricycliques). Cependant, un sevrage brusque (rapide), surtout de benzodiazépines puissantes, peut précipiter des crises d'épilepsie
Les benzodiazépines sont des anticonvulsifs puissants. Ils peuvent sauver la vie en cas d'états épileptiques (crises répétées l'une après l'autre) et en cas de crises causées par le surdosage de certains médicaments (par exemple, les antidépresseurs tricycliques). Cependant, un sevrage brusque (rapide), surtout de benzodiazépines puissantes, peut précipiter des crises d'épilepsie
" Je dois dire que ma mère qui prenait du temestat depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s'est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et s'est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j'ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu'elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m'a prise au sérieux.
Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j'ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s'est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c'était horrible."
" Pour ma mère, elle va bien mieux on pourrait dire, mais au prix de deux ans de rééducation pour tout, incontinence, ne plus pouvoir déglutir, ne plus savoir marcher, elle a été très forte.
Mais elle est maintenant considéré comme épileptique, et a un traitement à vie contre l'épilepsie et évidement "
Après 40 ans de traitement aux benzodiazépines : "je ne souffre pas d'épilepsie" Elle décrit le sevrage comme "un enfer et une torture pour chaque heure de chaque jour pendant trois ans" "Toutes ces sensations étaient intolérables. Je voulais juste mourir." Fiona French d'Aberdeen a déclaré que le médicament sur ordonnance qui lui avait été administré il y a 40 ans avait entraîné des décennies de souffrances qui ne se sont terminées qu'après un retrait de trois ans qu'elle décrit comme "un enfer et une torture".
c'est-à-dire favorisant la survenue de crises (certains antibiotiques, antidépresseurs, neuroleptiques etc.), de même que certaines drogues (par ex. la cocaïne). La prudence conseille donc de consulter son neurologue en cas de doute, et bien sûr, d'éviter les drogues.
au contraire, ils facilitent l’épilepsie. L’administration prolongée peut conduire à des dyskinésies irréversibles se manifestant par des mouvements anormaux.
certaines épilepsies de type partielles proviennent de l’administration à forte dose de neuroleptiques type FLUANXOL associé à ALEPSAL. l’administration de ces médicaments en hôpital psychiatrique est toujours en cours et toujours pratiqué sans test de sensibilisation au préalable. Il s’agirait que le ministère de la santé se soucie des accidents thérapeutiques de ce genre qui fabrique l’handicap lourd pratiquement à vie pour l’accoutumance médicamenteuse de la drogue administrée. Un soignant soigné
Epilepsie et tramadol / Topalgic®, Ixprim®, Contramal®, Monoalgic®, Zaldiar®, Ultram®.
Nous rapportons Huit cas de crises convulsives diagnostiquées comme maladie épileptique après ingestion de Tramadol et d'autres substances psychotropes dont la Caféine
Des crises d'épilepsie sont essentiellement survenues après la prise de doses fortes de tramadol ou après la prise simultanée de médicaments qui augmentent la sensibilité aux crises d'épilepsie.
Des crises d'épilepsie sont essentiellement survenues après la prise de doses fortes de tramadol ou après la prise simultanée de tramadol avec des médicaments susceptibles de provoquer des crises d'épilepsie
Un patient de 17 ans non connu épileptique a présenté, à 6 mois d'intervalle, 2 crises d'épilepsie généralisée faisant suite à la prise de tramadol. Ces crises sont survenues le lendemain de la prise orale de 200 à 250 mg du produit. Dans les urines, il n'a été retrouvé que du tramadol et ses métabolites.
Pendant la première année d’étude, les tests sur des rats ont montré que l’exposition aux pesticides induisait une modification des zones du cerveau qui intervenaient aussi dans la Sclérose en Plaque. Cette exposition détruisait aussi les mêmes zones du cerveau que celles associées à l’épilepsie, à la maladie de Parkinson et d’Alzheimer. De plus les pesticides montraient une activité de destruction sévère du système gastro-intestinal et causer des perturbations neurologiques. Les chercheurs ont indiqués que le mode d’exposition le plus probable dans cette zone agricole assez intense se faisait par l’air. Ces impacts neurologiques se feraient aussi à des concentrations assez basses.
Ainsi l’autisme, l’hyperactivité infantile, la dépression, lamigraine caractérisée, l’irritabilité excessive, les pathologiescérébrovasculaires, les tumeurs du système nerveux central, certaines formes d’épilepsie, la schizophrénie et les atteintes neuropsychiatriquesen général ont pris une dimension ahurissante depuis quelquesdécennies26.
Des atteintes du système nerveux central, allant des étourdissements à des crises convulsives, ont également été signalées, mais des effets indésirables graves, comme les crises d’épilepsie, ont presque toujours été consécutives à une ingestion ou à un mauvais usage des médicaments (par exemple, des traitements par applications répétés ou prolongés)
Il existe une longue (et peut-être regrettable) histoire d'injection de sels d'aluminium dans le tissu cérébral chez des modèles animaux (y compris des primates) d'épilepsie humaine. Dans cet esprit, il peut être surprenant que nos recherches récentes (https://www.mdpi.com/1660-4601/16/12/2129) soient les premières à mesurer et à identifier l'aluminium dans l'épilepsie humaine
Enfant, elle est déclarée épileptique, plus tard, les psychiatres l'ont tué avec des médicaments qu'elle refusait et qu'elle ne supportait pas.
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Je suis Dorrit Cato Christensen. Ma fille bien-aimée Luise est décédé en juillet 2005 dans un hôpital psychiatrique. Elle était agée de seulement 32 ans. Elle est morte soudainement et de façon inattendue, comme il est écrit dans son dossier. Son esprit et son corps abandonné après de nombreuses années sous médication lourde avec des substances psychotropes. Je trouve très important de parler de l’approche biochimique comment les traitements peut être dangereux pour la santé mentale. J’ai commencé une organisation avec une jeune femme qui avait perdu son fils (20 ans). Je suis maintenant président de l’organisation appelée « Morts en soins psychiatriques ». J’ai également écrit un livre sur ma belle fille, sur sa torture en traitement psychiatrique et sur le fonctionne du système de traitement psychiatrique au Danemark, mais je pourrais aussi bien dire dans le monde occidental. Le livre s’appelle « Cher LUISE, une histoire de pouvoir et d’impuissance en psychiatrie danois ». Il va être publié en Amérique un certain temps au printemps.
Anti-épiletiques, stabilisateur de l’humeur / thymorégulateur
Le risque de développer ces graves anomalies est 5 fois plus élevé en cas de prise de Dépakine (valproate), mais aussi d’Epitomax (topiramate), avec, notamment, un risque de bec-de-lièvre et, chez le fœtus masculin, d’hypospadias (une malformation du pénis). Il y a aussi des risques avec le phénobarbital, la primidone, la carbazépine et la phénythoïne. Pourtant, ces traitements ont été prescrits à environ 30 000 femmes en âge d’avoir des enfants, en 2015....Attention également aux antiépileptiques à base de prégabaline comme le Lyrica. Ils peuvent, eux aussi, entraîner des malformations. Or, ils sont prescrits à environ 150 000 femmes en âge d’avoir des enfants.
les anti-convulsivants, savamment appelés «stabilisateurs de l’ humeur» à des fins de marketing, même si elles ont peu à voir avec l’ humeur et ils provoquent souvent de nombreux effets toxiques et un retrait souvent douloureux [6, 34].
Utilisés pour soigner le trouble bipolaire2, les stabilisateurs de l'humeur peuvent également être utilisés chez les patients souffrant de manie, d'hypomanie et de dépression. Plusieurs des médicaments anticonvulsivants, utilisés pour contrôler l’épilepsie, sont aussi efficaces dans le traitement de la manie et de la bipolarité. Chez certains patients, un stabilisateur de l’humeur ne sera pas suffisant et devra être combiné avec d’autres médicaments1. les thymorégulateurs sont également utilisés pour traiter le trouble de la personnalité borderline3 et la schizophrénie dysthymique.
Plusieurs stabilisateurs de l’humeur ont des effets secondaires tels que la soif, la prise de poids, la somnolence, des nausées et des problèmes variables de concentration. Des tremblements, des étourdissements, un déséquilibre intestinal et des rougeurs (irruption cutanée) peuvent aussi se manifester. La majorité de ces effets secondaires s’amenuisent avec le temps1.
Tous les anti-épileptiques sont tératogènes. Le Keppra est préconisé aujourd'hui par la HAS (Haute Autorité de Santé) et l'ANSM (Agence Nationale de Sureté du Médicament) en remplacement de la Dépakine chez la femme enceinte (voir lien ici).
L'APESAC s'étonne de ces nouvelles recommandations alors que le producteur UCB déconseille l'utilisation de cet anti-épileptique pendant la grossesse
L'APESAC s'occupe des intoxications du foetus aux anticonvulsivants ou régulateurs de l'humeur, prescrits à la mère pendant la grossesse, pour épilepsie ou troubles bipolaires : Tous ces anticonvulsivants (Dépakine, Dépakote, Dépamide, Keppra ...), sans exception, sont tératogènes.
Association belge des Victimes du Syndrome Valproate La prise de Dépakine pendant la grossesse entraîne un risque de 30 à 40% de troubles de développement chez les enfants, ainsi que 11% de malformations à la naissance.
Scoliose, troubles musculo-squelettiques, retards de langage, troubles du comportement… Ces souffrances sont aujourd’hui le lot commun de ceux que l’on appelle désormais « les enfants dépakine », du nom de ce médicament nocif pour le fœtus, que 14 322 femmes enceintes, selon les derniers chiffres publiés mercredi 24 août 2016 par l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament, ont pris pendant leur grossesse pour soigner leur épilepsie ou leurs troubles bipolaires, entre 2007 et 2014, et des milliers d’autres encore non évaluées avant elles
une nouvelle étude examine si les médicaments prescrits pour contrôler les crises peuvent augmenter le risque de symptômes psychotiques chez certaines personnes. Après avoir examiné plus de dix ans de dossiers médicaux des patients traités pour l'épilepsie, les chercheurs ont conclu que jusqu'à une personne sur sept cas de patients souffrant d'épilepsie qui ont ensuite été diagnostiqués avec la psychose pourrait être attribuée à un effet indésirable des médicaments anti-épileptiques.
L’avocat des familles des victimes, Charles Joseph-Oudin, estime quant à lui que 35 000 personnes auraient été victimes de ce médicament produit par le laboratoire Sanofi depuis 1967. « Sur la base de ce chiffre, on peut calculer le nombre d’enfants victimes »
L’augmentation de la prescription et de la délivrance de ce produit, largement hors AMM (qui, rappelons-le, ne concerne que l’épilepsie), pose donc problème et laisse envisager des modifications de statut de ce médicament
La chanteuse Stevie Nicks a rendu public les dangers de Klonopin / rivotril en décrivant sa propre désintoxication comme étant" infernale "et pire que de se retirer de la cocaïne ou de l'héroïne.
« les propriétés pharmacologiques du Neurontin (et lyrica) (actions thérapeutiques, les effets indésirables, et les symptômes de sevrage) sont similaires à ceux des benzodiazépines et d’autres sédatifs / hypnotiques.
L’information ci-jointe indique que les propriétés pharmacologiques du neurontin (actions thérapeutiques, effets indésirables et les symptômes de sevrage) sont semblables à ceux des benzodiazépines et d’autres médicaments sédatifs/hypnotiques.
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
Et, comme d’habitude en France, où tout ce que les médecins ne connaissent pas relève d’un psychosomatique tellement vague qu’il se prête à tout, ces effets secondaires seront mis sur le compte du psychisme du malade
Les analyses médicaments de la FDA ont montré que les patients recevant des médicaments antiépileptiques avait environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou d’idées
L’activité antiépileptique pourrait être liée à une inhibition des canaux sodiques voltage-dépendants, à une augmentation de l’effet du GABA sur les récepteurs GABA-A ainsi qu’à un blocage des récepteurs glutamatergiques kaïnate/AMPA. Une augmentation des concentrations cérébrales de GABA et de ses 2 métabolites (homocarnosine et pyrrolidinone ) pourrait contribuer à l’activité antiépileptique:
FDA ALERT [1/31/2008] : environ deux fois le risque de comportement suicidaire ou idées . FDA ALERT [12/12/2007] : dangereux voire mortels réactions cutanées (syndrome de Stevens-Johnson et nécrolyse épidermique toxique),
Le risque de syndrome de Stevens-Johnson ou de syndrome de lyell serait de 1 pour mille chez l’adulte et passerait à 1 pour 50 ou 100 chez l’enfant (moins de 16 ans).
j’avais des souvenirs dramatiquement plus nuancés. Stagiaire en Médecine Interne, j’avais vu des problèmes hématologiques gravissimes provoqués par le Tégrétol®. Un « p’tit jeune » de 19 ans qui se retrouve avec trois globules blancs au lieu des 10000 réglementaires, ça peut mourir d’une septicémie, même dans un CHU… En dermatologie, quelques cas de desquamations spectaculaires avaient frappé ma mémoire aussi… sauvés de justesse ceux-là – au prix de soins épouvantables et prolongés. Par contre la jeune fille qui avait perdu sa peau (toute sa peau : syndrome de Lyell ou Stevens-Johnson) à cause d’une réaction allergique, n’était plus là pour s’en plaindre. Bref… l’image de ce produit, pas forcément efficace dans les indications psy, potentiellement dangereux voire mortel, était chez moi bien écornée par ces souvenirs laissés par l’école de médecine avant ma spécialisation en psy. Les rares fois que, jeune interne, j’émettais poliment un doute ou faisais allusion aux risques inhérents à ce médicament, on me rigolait au nez : « on ne peut pas laisser les malades sans aide médicamenteuse, ce serait criminel ! Et puis l’impulsivité ! Imagine ce qui se passerait si… Et puis le Lyell au Tégrétol®, moi, je n’en ai jamais vu ! »
Pour limiter tout risque d’effets secondaires, l’allopurinol est contre-indiqué lors d’hyperuricémie asymptomatique, c’est-à-dire lorsque le taux d’acide urique (sanguin) est élevé mais qu’aucun symptôme n’est présent (pas de goutte, pas de douleurs, etc).Principaux effet secondaires– Irritations de la peau (urticaires, éruptions cutanées, etc.), ces effets secondaires apparaissent dans 5 à 10% des cas. Beaucoup plus rarement, réactions cutanées parfois graves avec des syndromes d’hypersensibilité (allergie) comme les syndromes de Lyell, de Stevens-Johnson et DRESS (en anglais pour Drug Reaction with Eosinophilia and Systemic Symptoms). Ces toxidermies sévères semblent avoir une prédominance féminine. Il faut savoir que ces effets secondaires surviennent en général dans les 2 mois après l’instauration du traitement. En cas de symptômes comme de la fièvre, des éruptions cutanées, une hypersensibilité ou tout autre symptôme n’ayant rien à voir avec la goutte, veuillez immédiatement arrêter le traitement.NE REPRENEZ JAMAIS LE TRAITEMENT. SI L’ALLOPURINOL vous a provoqué des effets secondaires, notamment des signes affectant la peau, car en cas de nouvelle prise les effets secondaires pourraient être bien pires et parfois mener à la mort.
LE LITHIUM On dit que le Lithium peut aider les gens dont l’humeur change périodiquement de très joyeuse à très mauvaise. Les psychiatres appellent cela le trouble maniaco-dépressif ou maladie bipolaire. Le lithium fut décrit pour la première fois comme un médicament psychiatrique en 1949 par le psychiatre Australien, John Cade. Selon un traité de psychiatrie: “Pendant qu’il faisait des expériences sur les animaux, Cade remarqua, presque par hasard, que le lithium rendait les animaux léthargiques, ce qui lui donna l’idée d’administrer cette substance à plusieurs patients psychiatriques agités. ” Selon ce traité: “ce fut un moment clé dans l’histoire de la psychopharmacologie” (Harold I. Kaplan, M.D. & Benjamin J. Sadock, M.D., Clinical Psychiatry (Psychiatrie Clinique), Williams & Wilkins, 1988, p. 342). Mais si vous ne voulez pas être léthargique, prendre du lithium serait d’un avantage douteux. Un supporter du lithium comme thérapie psychiatrique admet que le lithium cause : “un sentiment plutôt dépressif , généralement léthargique”. Il appelle ça, “la léthargie standard” causée par le lithium. (Roger Williams, "A Hasty Decision? Coping in the Aftermath of a Manic-Depressive Episode", American Health magazine, Octobre 1991, p. 20). De la même manière, un membre de ma famille fut diagnostiqué comme maniaco-dépressif et on lui donna une ordonnance pour du carbonate de lithium.. Il me confia, des années plus tard, “Le lithium me protégeait de mes hauts mais pas de mes bas. ” Cela, ne doit pas être une surprise qu’un médicament induisant la léthargie ait cet effet. Aussi surprenant que cela puisse paraître, les psychiatres affirment quelques fois que le lithium enlève les sentiments de dépression., comme si s’était possible, qu’un médicament induisant la léthargie comme le lithium (ainsi que la plupart des médicaments psychiatriques) n’augmente pas les sentiments de dépression et de malheur – même si on leurs donnent le nom d’antidépresseurs.
stabilisateurs de l’humeur: Lithium, Lamictal, Equetro et Depakote Le lithium est le plus ancien et donc plus étudié. Il provoque la mémoire permanente et la dysfonction mentale, y compris la dépression, et une baisse globale de la fonction neurologique et la qualité de vie. Il peut en résulter dilapidation neurologique sévère de démence, un effet indésirable désastreuse appelé «syndrome de neurotoxicité irréversible de lithium-effectuated » ou SILENT. L’exposition de lithium à long terme provoque également des troubles cutanés graves, l’insuffisance rénale et l’hypothyroïdie. Retrait de lithium peut causer des épisodes maniaco-comme et la psychose. Il est prouvé que Depakote peut provoquer une croissance cellulaire anormale dans le cerveau. Lamictal a de nombreux dangers, y compris les maladies mortelles impliquant la peau et d’autres organes. EQUETRO cas de troubles de la vie en danger peau et supprime la production de globules blancs avec le risque de décès par infections. Retrait de Depakote, Lamictal et Equetro peut provoquer des convulsions et la détresse émotionnelle
Dans le cas du trouble bipolaire les biomyths centrent sur des idées de stabilisation de l’humeur. Mais il n’y a aucune preuve que les médicaments stabilisent l’humeurs. En fait, il est même pas clair que cela fait sens de parler d’un centre de l’humeur dans le cerveau. Un autre morceau de la mythologie qui vise à garder les gens sur les médicaments est que ceux-ci sont censés être neuroprotecteur-mais il n’y a aucune preuve que cela est le cas et, en fait, ces médicaments peuvent entraîner des dommages au cerveau.
Donc, il y a la preuve sur le lithium et le suicide
lithium Le lithium « est un métal toxique avec aucune fonction connue dans le corps …. elle interfère avec la transmission nerveuse, en général, ce qui ralentit les réponses au cerveau. » « Conformément à ses effets toxiques sur le système nerveux, le lithium provoque un tremblement de 30-50 pour cent des patients. Tremblements peuvent être un signe d’avertissement de toxicité grave imminente du cerveau, en particulier si elle se produit avec d’autres signaux de danger, comme la mémoire dysfonctionnement, concentration réduite, ralentissement de la pensée, confusion, désorientation, difficulté à marcher, troubles de l’élocution, une vision floue, des bourdonnements dans les oreilles, des nausées, des vomissements et des maux de tête. Douleurs musculaires et des tics, faiblesse, léthargie et la soif sont d’autres signes communs de toxicité du lithium. Dans les derniers stades de la toxicité du lithium, le patient peut devenir délirant et succomber convulsions et un coma études EEG indiquent un ralentissement anormal des ondes cérébrales dans une partie importante de patients régulièrement traités par lithium;.. l’état s’aggrave avec une toxicité « (Pour une information complète voir le texte médical du Dr Breggin Brain désactivation traitements en psychiatrie Second Edition .)
Lithium : Les intoxications aiguës, erreur de prise ou int oxication volontaire le plus souvent, peuvent entraîner le décès par défaillance cardiovasculaire et des complications neurotoxiques pouvant donner des séquelles irréversibles (démences, neuro pathies diverses). Les intoxications chroniques, observées lors de traitements mal contrôlés ou d’affections intercurrentes entraînant une diminution de son éli mination rénale, entrainent des troubles gastro-intestinaux à type d’anorexie ou de troubles du transit, des troubles neurologiques avec des symptômes évoquant la maladie de Parkinson et p arfois des convulsions et un coma, des troubles cardiovasculaires tels que des myocardites ou des troubles du rythme, des troubles rénaux avec une insuffisance rénale, au niveau endo crinien on décrit des troubles affectant la thyroïde, la régulation calcique et la glycémie, su r le plan hématologique on peut observer des leucocytoses et même des anémiques aplasiques, enfi n sur le plan cutané on peut observer des psoriasis, de l’acné, ou des angio- oedèmes.
"Le mot lithium dérive du terme grec lithos, qui signifie pierre, parce que le lithium provient d’un minerai. C'est un élément chimique proche du sodium et du potassium. Il est largement répandu dans la nature, il est extrait des mines de la Caroline du Nord. L'organisme humain contient des quantités infimes de lithium. Il est prescrit en thérapeutique sous forme de sels (carbonate, sulfate ou acétate de lithium), essentiellement pour la prévention des rechutes des troubles de l’humeur (action thymorégulatrice, du grec thumos, humeur). En France, ils sont commercialisés sous deux formes (orales) incluant le carbonate de lithium, comprimés dosés à 250 mg et à 400 mg à libération prolongée et le gluconate de lithium en ampoules buvables de 5 à 10 mL"
Les réactions de sevrage du lithium et des anticonvulsivants Le sevrage du lithium soulève l'épineuse question de confondre les difficultés de sevrage avec la rechute. En fait, les réactions de sevrage au lithium imitent les mêmes symptômes maniaques qui ont mené au traitement au lithium. Les médecins prescrivent le lithium essentiellement pour traiter les manies; souvent, les problèmes de manies suivent le sevrage de lithium. Comment le médecin ou le patient peut-il savoir s'il s'agit de sevrage ou d'un retour au problème psychiatrique original? Certains médecins refusent de voir un syndrome spécifique de sevrage du lithium. D'autres suggèrent qu'un syndrome de sevrage véritable du lithium ne peut pas seulement ressembler à de la manie mais que les « tremblements, les étourdissements et quelques fois les crises épileptiques » devraient aussi être observés. Nous croyons toutefois que ces opinions-ci ne sont que d’autres occasions où les médecins ont, sans plus penser, attribué des réactions de perturbations après un sevrage de la drogue à la «maladie sous-jacente» du patient plutôt qu’au traitement pharmacologique comme tel. Le retour rapide de la phase maniaque peut se produire même parmi les patients qui ont pris du lithium pendant des années, sont apparemment «bien stabilisés» et sont sevrés depuis seulement quatre ou cinq jours. Dans une étude, on a substitué la dose de 21 patients précédemment en phase maniaque par des placebos. Ils avaient pris du lithium de façon continue en moyenne pendant environ quatre ans. Les auteurs écrivent: « En 14 jours de placebos, 11 patients ont rechuté dans un état grave de psychose avec syndromes paranoïde, maniaque et dépressif…La plupart des autres patients qui n'avaient pas rechuté rapportèrent de l'anxiété, de la nervosité, de l'irritabilité et un éveil accru et des troubles du sommeil.» Une recension des écrits a systématiquement examiné quatorze études publiées de sevrage du lithium impliquant 257 patients «maniaco-dépressifs» avec en moyenne 30 mois de traitement stable de lithium. Des nouveaux épisodes maniaques, plus de 50 % se sont produits dans les trois mois de sevrage. On a aussi observé une augmentation dramatique par 28 du risque de nouveaux épisodes maniaques pour les patients récemment sevrés du lithium. Une autre recension d'études, publiées ou inédites, sur le sevrage du lithium arrivèrent à des conclusions semblables. Ces preuves amenèrent un médecin à déclarer candidement: « De francs symptômes maniaques sont les caractéristiques qui définissent les effets significatifs du sevrage et apparaissent être comparables dans leur gravité à ceux qui se manifestent généralement dans les maladies de manies et requièrent généralement une hospitalisation.» Une augmentation de l'énergie et de l'éveil, une réaction émotionnelle accrue, une concentration plus vive et une baisse de la soif sont souvent rapportées même chez les patients qui n'éprouvent pas de manie pendant leur sevrage. Un éditorial du British Journal of Psychiatry soutient ouvertement que lorsque des patients prennent du lithium pendant moins de deux ans, il est très fréquent qu'ils traversent des épisodes maniaques peu de temps après le sevrage. L'auteur, un psychiatre, croit qu'il s'agit de véritables effets de sevrage et recommande d'informer les patients du danger avant qu’ils décident de se soumettre à un traitement au lithium. Néanmoins, le même psychiatre maintient que de prendre du lithium pendant plus de dix ans ne comporte pas ce risque de sevrage. Cette conclusion contredit l'expérience clinique bien acceptée qui indique que plus longtemps la drogue est prise, plus grand est le risque de réactions de sevrage. Les psychiatres ont commencé tardivement à réaliser que la récurrence rapide de manies après le sevrage de lithium est un véritable effet de sevrage. Toutefois, il n'y a aucun doute que plusieurs médecins continuent d'attribuer la manie provoquée par le sevrage à la « maladie chronique » de leurs patients. Ces médecins persistent ensuite à exposer leurs patients au lithium malgré ses effets néfastes à long terme. LeTegretol (carbamazépine) est un anticonvulsant largement utilisé pour traiter plusieurs problèmes, y compris la manie. Au moment du sevrage, le Tegretol peut provoquer des explosions de colère - dont la paranoïa, l'hostilité et l'agitation - chez les personnes qui étaient déjà perturbées. Ces réactions de sevrage peuvent aussi se produire chez des individus qui sont stables mentalement, comme dans un cas documenté impliquant un patient traité pour un trouble physique. D'autres anticonvulsants ou anti-épileptiques, comme le Depakene (acide valproïque), le Depakote (divalproex sodium), et le Dilantin (phenytoin), sont aussi largement prescrits en psychiatrie. Le risque de crises doit être considéré lors d'un sevrage de n'importe quel anticonvulsant, qu'il y ait présence ou non de convulsions précédemment. D'autres symptômes communs de sevrage d'anticonvulsants peuvent aussi inclure l'anxiété, les contractions musculaires, les tremblements, la faiblesse, la nausée et les vomissements.
Le lithium possède un effet antithyroïdien qui est désormais bien documenté. Cependant les mécanismes en cause sont complexes et encore hypothétiques. Il semblerait que le lithium concentré dans la thyroïde diminuerait l'absorption d'iode nécessaire à la formation de la T3 et T4. Il en résulte bien souvent une hypothyroïdie infraclinique (TSH normale et souvent dans la fourchette, T4 basse) et parfois une véritable hypothyroïdie. Le lithium est le thymorégulateur (avec le valproate de sodium) qui induit le plus de tremblements (30). La prévalence varie entre 4 % et 65 % 4 et est dose dépendante 4.1. Ce sont classiquement des tremblements d'attitude4.2 mais qui peuvent également survenir au repos. Rappelons que la majoration d'un tremblement est l'un des signes les plus précoces en cas de surdosage et un dosage en urgence sera pratiqué au moindre doute.
Lithum et autres régulateurs d’humeur : Lithium (1949) Réputation de n’avoir aucun effet sur les facultés mentales ni sur les facultés affectives ni sur le commportement, n’enlevant que les symptomes indésirables (1970). Aucune étude globale sur des primates n’a été faite avant la commercialisation en masse, probablement dû au fait que les études sur les animaux produisent des résultats très négatifs.
Symptômes de sevrage Peut produire des épisodes maniaques. Démence induite et autres détériorations neurologiques graves. Cas de dialyse antitoxique du lithium: peuvent tomber en démence. Séquelles persistantes chez 30% des patients examinés.
Un régime cétogène est déjà utilisé depuis longtemps pour améliorer le traitement de certains enfants atteints d'épilepsie. Le fait de jeûner de manière intermittente pourrait encore améliorer le traitement.
( régime cétogène Leafy Liu, âgée de cinq ans, souffrait d' épilepsie sévère depuis son enfance et souffrait souvent jusqu'à 60 crises par jour. La médecine conventionnelle n'était pas capable d'arrêter les crises, alors sa famille a décidé de chercher des traitements alternatifs.
Au départ, mon épilepsie était dûe à un traumatisme crânien, mais au fil du temps, ces crises survenaient car mon corps était complètement intoxiqué par les médicaments, et par une alimentation déséquilibrée et malsaine.
Toutes les formes de thérapie par l’alimentation mettent en cause la restriction des glucides et l’augmentation des gras dans l’alimentation. Le régime cétogénique habituel, où environ 90 % des calories alimentaires proviennent du gras, a servi à traiter l’épilepsie depuis les années 1920, avec un taux de réussite significatif. Plus récemment, des régimes alimentaires moins restrictifs qui permettent une gamme plus variée d’aliments ont été conçus. Ce ne sont pas tous les traitements qui sont offerts à tous les centres de soins pour l’épilepsie.
le plus souvent liée à des benzodiazépines, des opiacés, les antidépresseurs tricycliques et les anticonvulsivants (médicaments utilisés pour traiter et prévenir les crises d’épilepsie)
une nouvelle étude examine si les médicaments prescrits pour contrôler les crises peuvent augmenter le risque de symptômes psychotiques chez certaines personnes. Après avoir examiné plus de dix ans de dossiers médicaux des patients traités pour l'épilepsie, les chercheurs ont conclu que jusqu'à une personne sur sept cas de patients souffrant d'épilepsie qui ont ensuite été diagnostiqués avec la psychose pourrait être attribuée à un effet indésirable des médicaments anti-épileptiques.
Il s’agit des médicaments anticholinergiques qui incluent notamment certains antihypertenseurs, diurétiques, agents cardiovasculaires, antidépresseurs, anxiolytiques, antiépileptiques, antitussifs, antihistaminiques, anti-ashmatiques, anti-diarrhéiques, antihypertenseurs, médicaments pour le traitement du glaucome, médicaments pour le traitement de l’incontinence urinaire….
Une grande variété de troubles du mouvement peuvent survenir à la suite de l'administration de médicaments antiépileptiques (DEA). Bien qu'il ait été suggéré que le risque de parkinsonisme est 10 fois plus élevé chez les patients prenant du valproate que chez les autres antiépileptiques, aucun essai systématique de grande envergure n'a été effectué pour évaluer ce risque.
Les effets secondaires anticholinergiques peuvent induire une perte d’autonomie, une diminution de la qualité de vie et une augmentation de la morbi-mortalité [8] . Ils peuvent être parfois mineurs, temporaires ou survenir comme conséquence d’une condition préexistante du patient. Cependant, pris dans leur ensemble, ils peuvent avoir des suites dramatiques sur l’état de santé de la personne âgée. En particulier, les effets atropiniques peuvent entraîner une confusion et amplifier le risque d’apparition de troubles de la mémoire
….Les médicaments anticholinergiques sont considérés comme potentiellement inappropriés chez les sujets âgés
L'arrêt de l'anti-épiléptique peut être envisagé chez les patients dont les crises ont été complètement contrôlées pendant une période prolongée, généralement de un à deux ans pour les enfants et de deux à cinq ans pour les adultes.
Les médicaments antiépileptiques ne doivent pas nécessairement être pris pour la vie. Lorsque les crises ont été contrôlées de manière fiable sur une période de temps (généralement un an ou deux), il y a de fortes chances qu'un retrait prudent et minuté du médicament soit réussi et que les crises restent en rémission sans autre traitement
LE SYNDROME PARKINSONIEN, LA DYSKINESIE, LA FIBROMYALGIE, ALZHEIMER, LE SYNDROME DES JAMBES SANS REPOS, L’AKATHISIE, LA SCLEROSE EN PLAQUE, LES SYNDROMES PROLONGES DE SEVRAGE, L’INSOMNIE CHRONIQUE, LE DIABETE, LA DEMENCE, LA DEPRESSION, LA BIPOLARITE, L’AUTISME, LE CANCER, LA CASTRATION CHIMIQUE, LA NARCOLEPSIE, LE SYNDROME DE STEVENS-JOHNSON, LA MIOFACIITE A MACROPHAGE, LE TDAH, LA DYSTONIE, LA FATIGUE CHRONIQUE, LA MALADIE DE PARKINSON, LA PSYCHOSE, LES HALLUCINATIONS, LA PHOBIE SOCIALE, LES AVC, LES ACCIDENTS CARDIOVASCULAIRES, L’ALCOOLISME, LE SYNDROME SEROTONINERGIQUE, LE SYNDROME MALIN DES NEUROLEPTIQUES, L’EPILEPSIE, L’HYPERTENSION, OSTEOPOROSE… SONT DES EFFETS SECONDAIRES COURANTS DES MEDICAMENTS OU VACCINS, QUI, LE PLUS SOUVENT, NE SERVENT A RIEN
Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une nouvelle maladie ou une aggravationde la maladie initiale