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BIG PHARMA et le crime médical organisé

  • Introduction aux principes de la médecine moderne

    Les médicaments induisent des troubles cognitifs:Partie1 et Partie2 
    La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale.

    Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
    Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
     
    « Les effets secondaires des médicaments sur ordonnance sont maintenant votre source la plus probable de décès, d’invalidité ou de blessure. »
    prof david Healy
    « Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
     
     
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    «Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé»   professeur Peter C. Gøtzsche

    docteur Robert Mendelsohn
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    « L’éditeur du réputé British Medical Journal déclara lui-même que seulement 15 pour cent de toutes les méthodes de la médecine moderne ont une base scientifique ou ont été prouvées »

     professeur david Healy
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     professeur philippe Even
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    car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible »
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    « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

    « Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

    «La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments» Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les plus de 75 ans.

    professeur Peter C. Gøtzsche
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    docteur Robert Mendelsohn
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    Dr. Rath
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    .« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »
    professeur Turcotte fernand
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    professeur Gotzsche peter
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    « Lorsque vous vous rendrez compte de ce qui vous est vendu comme un «remède» vous vous rendrez compte comment vous jouez à la roulette russe avec vôtre vie et celles de vos enfants. » Heller Meria
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    « guérir des maladies n’est pas rentable pour les laboratoires »
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    Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?
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    Quand la médecine rend malade
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    «Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
    professeur Gotzsche peter

     
    « la médecine est devenue folle » (ARTE télé)

    les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
    Médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
    BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
    Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2
     

    "Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale"


    remèdes mortels et crime organisé grand forma
     
  • L'industrie de la santé

    COMMENT ROCKEFELLER A MONOPOLISÉ LA MÉDECINE ET CRÉÉ BIG PHARMA
    Rockefeller
     
    La Cour suprême des États-Unis déclare John Rockefeller et son trust coupable de corruption, de pratiques illégales et de racketérisme. Par conséquent, la totalité du trust Rockefeller Standard Oil, la plus grande entreprise du monde à cette époque, est condamné à la dissolution. Mais Rockefeller était déjà au-dessus de la Cour suprême et ne se souciait guère de cette décision.

    ce sont les mêmes cartels industriels qui produisent les pesticides et les molécules chimiques sensé être des médicaments. Bref, d’un coté, nous sommes empoisonné par les mêmes qui tentent de nous surmédicaliser ensuite. La DGCCRF évalue à 1.5 kilo par an la quantité de pesticide que nous ingérons. (page 271)
    Il n’existe pas un pays du globe où BAYER n’ait pas d’activités. Les anciennes maisons-soeurs de l’IG Farben BASF, BAYER et AVENTIS dominent le marché allemand et l’industrie chimique européenne. Leur chiffre d’affaires commun dépasse 80 milliards d’euros. Il faut y ajouter un empire constitué de participations à d’autres entreprises ainsi que d’entreprises sous-traitantes. Au début de l’année 2002, BAYER a repris AVENTIS CROPSCIENCE pour la somme de 7 milliards d’euros. Cette acquisition, qui est la plus importante de l’histoire des multinationales, fait de BAYER la plus grande entreprise de technologie génétique d’Europe et le deuxième producteur de pesticides du monde. Aucun gouvernement, aucun homme politique et aucune institution ne peut se permettre d’ignorer cette puissance. Aucune instance nationale ou internationale ne peut contrôler efficacement des multinationales telles que BAYER ou même s’opposer à des produits ou des procédés de production dangereux. La catastrophe de Bhopal en Inde nous a appris que les dangers des grandes unités de production chimique ne sont comparables qu’à ceux de l’industrie nucléaire. Dans cet ordre d’idée, critiquer BAYER constitue toujours une critique fondamentale des multinationales dans leur ensemble et de l’industrie chimique en particulier.
    L’industrie pharmaceutique mène une guerre implacable, au budget colossal, aux manœuvres impitoyables, aux techniques innombrables, contre nos santés. Une histoire des médicaments…
    Le plan d’I.G. Farben pour dominer les marchés mondiaux du pétrole et des médicaments a échoué. Les forces alliées ont gagné la guerre. Mais ce conflit a coûté la vie à un nombre colossal de soldats américains et alliés. Pourtant les récompenses des forces alliées sont bien maigres comparées à d’autres. Les actions industrielles des perdants, I.G. Farben inclus, sont absorbées par le trust Rockefeller (U.S.A.) et Rothschild/ J.P. Morgan (R.U.).
    Depuis 15 ans, vingt livres de très grands universitaires ou d’éditeurs des plus grands journaux scientifiques anglo-saxons, repris par des milliers d’articles dans la grande presse américaine et anglaise, ont décrit les noires et mortelles dérives de l’industrie pharmaceutique (hier M. Angell, JP Kassirer, R. Smith, D. Healy, etc. et aujourd’hui, B. Goldacre avec « Bad Pharmas » et P. Gotzsche avec « Deadly Medicines and Organized Crime »).

    Addendum : L’industrie du ruban rose L’industrie du ruban rose est un documentaire réalisé par Léa Pool dépeignant le côté sombre de cette organisation qui lutte contre le cancer du sein. C’est la fondation Susan G. Komen for the Cure qui mène le front. Elle a dépensé $1,9 milliards depuis 1982 et reçoit près de $400 millions par année en dons. La PDG de l’organisation, Nancy Brinker, est rémunérée à plus de $400.000 par année. Pourtant, tout cet argent n’a mené qu’à bien peu de résultats concrets. L’origine du ruban rose remonte aux années 1980, quand Charlotte Haley menait une campagne auprès du National Cancer Institute pour qu’il augmente la part du budget dédiée à la prévention du cancer du sein. À cette époque, le ruban était plutôt couleur saumon. Puis, en 1992, Haley fut approchée par Self Magazine et la compagnie de cosmétiques Estée Lauder pour que le ruban soit utilisé dans une campagne publicitaire basée sur le cancer du sein. Haley refusa, mais la campagne eu quand même lieu en modifiant légèrement la couleur du ruban pour un rose plus éclatant. De nos jours, le ruban rose sert essentiellement à faire du marketing ciblé et abordable auprès des femmes. Le ruban rose fait vendre : des dizaines de milliers de produits en portent l’effigie, ce qui permet à des millions de femmes de sentir qu’elles font leur part. Cependant, qu’advient-il vraiment de cet argent ? Celui-ci sert essentiellement à tenter de trouver des remèdes et de meilleurs traitements ainsi qu’à financer le dépistage. Bien peu d’argent va à financer la prévention et la recherche sur les facteurs de risque. On tente ainsi de dépister autant que possible, pour maximiser le nombre de patient, et on tente ensuite d’anéantir la maladie avec une cure, alors qu’on ne comprend même pas ce qu’est vraiment un cancer et quelles en sont les causes. Cette situation engendrent beaucoup d’incongruités, comme par exemple la pharma Eli Lilly, qui produit les médicaments Gemzar et Evista concernant le cancer du sein, lesquels génèrent des revenus annuels de près de $3 milliards. En même temps, Lilly commercialise Posilac, une hormone artifielle (rBGH) donnée aux vaches pour qu’elles produisent plus de lait. Ce produit a été lié à un risque accru de cancer du sein et a été bannie au Canada, en Australie, au Japon et partout en Europe. L’entreprise Yoplait faisait partie des principaux supporteurs de la fondation Komen, jusqu’à ce qu’une organisation activiste souligne que les yogourts de cette entreprise (General Mills) contiennent du lait produit par des vaches ayant reçu du rBGH ! Cela amena Yoplait à bannir cette hormone de sa production. Danone en fit de même un peu plus tard. Dans le même ordre d’idées, la pharma AstraZeneca, qui est le troisième plus grand fabricant de pesticides au monde, produit des médicaments oncologiques utilisés contre le cancer du sein et est aussi un donateur important à la fondation Komen. General Electric est un autre contributeur important à la fondation Komen. Comme cette entreprise est un important fournisseur de mammographes, lesquels sont souvent critiqués pour provoquer beaucoup de faux-positifs, ce qui engendre des traumatismes et des chirurgies inutiles, il n’est pas surprenant de constater qu’une part importante du budget de la fondation Komen est dédié au dépistage, c’est-à-dire à l’achat de ce type d’appareil et/ou au subventionnement de ceux-ci ou des tests. Une bonne part du budget de la fondation Komen sert à financer la recherche scientifique pour trouver un traitement. Cependant, il y a lieu de se questionner à savoir si c’est la bonne chose à faire. Ne faudrait-il pas d’abord faire des recherches sur le cancer et ses causes plutôt que de vouloir absolument trouver une solution pharmaceutique ? Et qui bénéficiera des profits reliés à une découverte éventuelle financée par Komen ? On constate donc que tout cet engouement presque religieux envers le ruban rose ne sert en fait qu’à faire vendre des produits et à faire prévaloir les intérêts corporatifs des entreprises pharmaceutiques.
    La présente plainte soumet à la Cour de Justice Internationale (CJI) les plus grands crimes jamais commis dans l’histoire de l’humanité. Il est reproché aux accusés d’avoir causé des blessures et la mort de millions de personnes dans le cadre du « commerce avec la maladie », de crimes de guerre et d’autres crimes contre l’humanité. Ces crimes relèvent de la juridiction du Tribunal Pénal International. Sachant qu’ils seront tenus responsables de ces crimes, les accusés ont initié une campagne globale afin de porter préjudice à l’autorité de la CJI afin de se placer au-dessus de la loi internationale et de poursuivre leurs crimes au détriment de la race humaine.
     Monsanto, avec son complice criminel, la société Dow Chemical, produit l‘Agent Orange dont la dioxine est l’un des composants, qui sert à l’invasion américaine du Vietnam. Résultats ? Plus de 3 millions de personnes contaminées, mort d’un demi-million de civils vietnamiens, un demi-million de bébés vietnamiens qui naissent avec des malformations de naissance et des milliers de vétérans américains qui souffrent ou meurent encore aujourd’hui de ses effets !
    Monsanto est de nouveau traîné en justice et des mémos internes révèlent qu’ils connaissaient les effets mortels de la dioxine de l’Agent Orange quand ils l’ont vendu au gouvernement. Bien que ce soit scandaleux, Monsanto est autorisé à présenter sa propre « recherche » qui concluait que la dioxine était inoffensive et ne présentait un quelconque risque de santé. Satisfait, le tribunal se rallie à Monsanto et classe l’affaire. Il apparaît plus tard que Monsanto a présenté des études mensongères et que la vraie recherche concluait que la dioxine tuait très efficacement.
     

    A l'aide de ses 18 sociétés pétroliéres et de la Chase Manhattan banque : Rockfeller est près de contrôler toutes les grandes sociétés pharmaceutiques dans le monde

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  • Quelques livres

    Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée. Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée. Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.

    Guide critique des médicaments de l'âme de David Cohen uniquement d'occasion (sur internet)
    Les antiparkinsoniens
    Ce qu'il est important de savoir
    La maladie de Parkinson
    Pourquoi les neuroleptiques produisent-ils du parkinsonisme ?
    Les substances utilisées pour masquer le parkinsonisme
    Le sevrage des antiparkinsoniens

    MÉDICAMENTS PSYCHOTROPES : Confessions d’une visiteuse médicale (sortie en français mars 2014)Le 2 décembre 2004,Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.

    mourir sur ordonnance C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.

    Norman Doidge Les étonnants pouvoirs de transformation du cerveau
    Pendant des siècles, la médecine et la science ont affirmé que le cerveau était comme une machine : si une partie s'abîmait, une fonction disparaissait. Or, on découvre aujourd'hui que cette affirmation est complètement erronée : le cerveau a la capacité de s'adapter, de compenser les déficiences dues à des lésions, des traumatismes ou des handicaps de naissance. À travers des analyses détaillées de cas (chaque chapitre est consacré à l'histoire d'un patient), accompagnées d'entretiens avec des spécialistes, Norman Doidge illustre brillamment cette étonnante capacité du cerveau à se réparer.

    L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
     
     
    Amérique dupé : La vérité sur les antidépresseurs, antipsychotiques et comment nous avons été trompésL’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen

    "Sexe et addictions sur ordonnance" (livre sur les effets indésirables du Requip)
    des documents médicaux [produits lors du procès] établissent que les effets indésirables du Requip « étaient connus de la communauté scientifique avant 2003. Le laboratoire ne pouvait donc pas les méconnaître (…) en ne renseignant pas la notice sur ces risques.

    The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic DrugsAntipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.

    tous fou ? de jean claude Saint-Onge
    Une personne en deuil souffrirait de « dépression majeure » si elle n’arrive pas à surmonter son chagrin après deux semaines. Une personne très timide serait atteinte de « phobie sociale » et un enfant qui conteste les adultes et les règles, serait taxé de « trouble oppositionnel avec provocation». Sommes-nous tous devenus fous ? En 60 ans, le nombre de troubles mentaux répertoriés dans le DSM, la « bible » des psychiatres, est passé de 60 à plus de 400 alors que la consommation de psychotropes a augmenté de 4 800 % aux États-Unis au cours des 26 dernières années. Or, cette épidémie de « maladies mentales » est très largement fabriquée, nous explique J.-Claude St-Onge dans cet essai sur l’influence démesurée de l’industrie pharmaceutique sur la psychiatrie

    Mad in America de  Robert Whitaker L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise

    Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.

    Pourquoi et comment arrêter de prendre des médicaments psychiatriques (anglais uniquement)

    Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments
    le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
    « Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

    Remèdes mortels et crime organiséDans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.

    « Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels. »On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel. Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus. Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
     
    pharmageddon (anglais) : l’hisoire d’une tragedie par le prof david Healy
    les antidépresseurs – maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse – alors même que les preuves s’accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre. L’espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d’espérance de vie que nous l’étions il ya 100 ans.
     
    Le dictionnaire définit le mot charlatan : « vendeur de drogues sur la place publique. Médecin ignorant et impudent. Imposteur qui exploite la crédultié humaine ». Or la vente des drogues sur la place publique fut licite et légale jusqu’en l’an XI de la république, c’est à dire jusqu’en1803. Mais si Tabarin, roi des charlatans, vendait ses drogues, ses baumes et ses onguents sur les trétaux de la place Dauphine avec l’appui des lois, et mourut riche et honoré dans sa seigneurie du Coudray, les marchands de drogues du XXe siècle, vendent aussi légalement leurs produits illusoires avec des procédés de publicité perfectionnés mais peu différents, au fond, de ceux de Tarbarin. Et ils meurent eux aussi, riches et honorés avec la bénédiction de médecins très officiels qui ne dédaignent pas, quelquefois et même assez souvent de prêter leur nom et leurs titres aux marchands d’orviétant. C’est beaucoup plus lucratif, croyez le, que de manier le pendule, et c’est moins dangereux.
     
    Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace. Des études cliniques biaisées Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo. Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée. Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux
     
    « En France, il y a quatre fois plus de décès pa r an liés à la prise d’un médicament que de morts sur la route. Selon la Sécurité routiè re, 3268 personnes sont mortes en 2013 sur les routes françaises. En 2011, le député Roland Mu zeau a déclaré à l’Assemblée nationale, dans le cadre de la mission sur le Mediator : “O n estime dans notre pays à 150 000 le nombre d’hospitalisations annuelles liées à des accidents médicamenteux et de 13 à 18 000 le nombre de morts provoquées par des médicaments”. En 2007, Delphine, ma grande sœur, a été victim e d’un syndrome de Lyell. Les syndromes de Lyell et Stevens-Johnson sont dans 90 % des cas une réaction médicamenteuse. Elle touche 130 à 150 malades en France par an. Un cas sur quatre est mortel*. Peu de jours avant la déclaration de la mala die, Delphine avait pris de l’Ibuprofène pour calmer une simple migraine. Cette molécule co nstitue la base de nombreux médicaments. La plupart sont en vente libre dans les pharmaci es. Commercialisé sous diverses appellations, c’est l’un des médicaments le plus consommés en France. En réalité, il n’existe quasi aucun médicament sans danger. Pourtant, le s victimes d’accidents médicamenteux manquent de reconnaissance et pe inent à prouver l’origine de leur maladie. Motivée par la volonté d’apporter mon soutien à ma sœur, j’ai d’abord écrit ce texte dans un cadre privé, je souhaiterais aujourd’hui que ce témoignage aide à fair e évoluer les mentalités et incite nos législateurs à mieux prot éger les victimes d’effets secondaires. »
     
    Mad in America  de  Robert Whitaker
    L’histoire racontée dans Mad in America va surprendre beaucoup de lecteurs. Dans sa revue de la littérature scientifique, le livre révèle que les études des résultats à long terme des antipsychotiques ont régulièrement montré que les médicaments ont augmenté la probabilité que les personnes diagnostiquées avec la schizophrénie deviennent des malades chroniques. Le livre examine aussi la commercialisation des nouveaux médicaments antipsychotiques atypiques dans les années 1990, et découvre la fraude scientifique au cœur de cette entreprise
     
    Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais.
     
    C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
     
    Il s’agit du second livre de Françoise Cambayrac. Elle y raconte son histoire – et celle de ses enfants – de désintoxication aux métaux lourds. Il aura fallu 20 ans pour soupçonner le mercure comme étant la cause des maladies de ses enfants. Ligne après ligne, elle nous transporte dans ce dur combat pour sortir ses enfants de leur prison métallique. Si parfois son discours est catégorique concernant le procédé de désintoxication, le parcours reste néanmoins merveilleux.
     
    Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
     
    Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicaments psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous.
     
    Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
     
    Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.
     
    “Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
     
    The Bitterest Pills: The Troubling Story of Antipsychotic Drugs Antipsychotiques (neuroleptiques) les médicaments sont devenus certains des plus gros blockbusters de ce début de 21e siècle, de plus en plus prescrit non seulement pour les citoyens de «schizophrénie» ou d’autres formes graves de troubles mentaux, mais pour une série de plaintes psychologiques les plus courants. Ce livre remet en question le compte admis que dépeint antipsychotiques comme des traitements spécifiques qui ciblent une maladie cérébrale sous-jacente et explore les premières vues qui a suggéré, en revanche, que les antipsychotiques atteindre leurs effets en induisant un état de suppression neurologique. Enthousiasme professionnel pour les antipsychotiques éclipsé cette compréhension, exagéré les bienfaits des antipsychotiques et minimisé ou ignoré les preuves de leurs effets toxiques. L’industrie pharmaceutique a été impliqué dans le développement de l’utilisation des antipsychotiques dans le territoire où il est probable que leurs dangers l’emportent largement sur les avantages.
     
    Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
     
    En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
     
    La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers
     
    « N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
     
    la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
     
    on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
     
    Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
     
    Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
     
    Est-il vrai que se faire tester pour trouver un cancer à ses débuts est une des meilleures façons de se garder en santé ? Dans ce livre vivant et bien documenté, un expert renommé en dépistage du cancer conteste une des croyances les plus robustes de la médecine : la meilleure défense contre le cancer est de le traiter tôt. La lecture de ce livre incitera à un peu plus de scepticisme à propos des dépistages les plus communs comme la scanographie du corps, la mammographie et le test de l’antigène prostatique spécifique. Combinant l’expérience de patients et les informations les plus récentes sur les cancers les plus courants, le Dr H. Gilbert Welch montre pourquoi le dépistage du cancer de gens en bonne santé est une épée à deux tranchants : bien que ces tests puissent aider, leur effet est remarquablement minuscule et ils peuvent même faire du tort. S’appuyant sur un domaine peu sinon mal connu de la recherche médicale, il discute des pièges du dépistage : il peut rater des cancers, conduire à des traitements inutiles; le dépistage peut aussi distraire l’attention des médecins d’autres problèmes importants. Les conclusions du DrWelch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer.
     
    De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
     
    Tous les graphiques montrent une baisse similaire. Cette baisse ralentit lorsque la vaccination est introduite. Parfois le même graphique une augmentation dans les premières années après l’introduction du vaccin. Les représentations graphiques des statistiques donc faire apparaître l’influence négative de l’introduction des vaccins.
     
    Les fabricants de vaccins, secondés par le corps médical qui a accepté le principe vaccinal sans discussion ou réserve, ont accompli un tour de force dans le domaine de la désinformation et du mensonge. Un fait sans précédent dans l’histoire de l’humanité
     
    Qui n’a pas rêvé un jour, au nom de ses convictions, de se lever et de faire face aux autorités ? Ce livre raconte l’aventure d’une femme médecin qui a osé le faire, le docteur Ghislaine Lanctôt ! En plein débat sur les vaccinations et les politiques de santé publique, ce livre, plus que jamais d’actualité, relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
     
    jacky Law étudie comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars en persuadant les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue ?
     
    Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
     
    Les mensonges sur les médicaments sont très nombreux, mais la majorité d’entre nous persiste à croire que ces traitements sont la panacée et n’ont pas d’effets délétères sur nos organismes, alors qu’en vérité, les médicaments peuvent tuer
     
    Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
     
    La thèse de Pignarre est déroutante, car elle amène à repenser le comportement actuel de l’industrie pharmaceutique. Les citoyens ne feraient pas tant face à une personnification du Mal capitaliste mondialisé qu’à une industrie au bord de sombrer dans l’abîme, qui utilise tous les moyens, même les plus inavouables, pour prolonger la durée de ses brevets, pousser en avant de nouvelles molécules miraculeuses aux effets douteux ou délétères, afin de retarder encore un peu l’échéance fatale, la grande mise à nu.
     
    Voici le récit émouvant d’une fille qui a sauvé sa mère d’une mort certaine. Vous la suivrez dans ses démarches auprès de professionnels de la santé. Mauvais diagnostics, mauvaises médications et effets secondaires pervers en découlent. Tandis que les médecins
     
    Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
     
    Death by Prescription (Mort sur ordonnance)de Terence Young
    les sociétés de plusieurs milliards de Dollar pharmaceutiques
     
    « Certains des pires trafiquants de drogue de la nation ne sont pas dans les coins de rue, ils occupent de très bonnes place au sein d’entreprises »
     
    « Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait. »
     
    « La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
     
    Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
     
    Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
     
    comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue?
     
    Quant à l’incroyable surconsommation de médicaments, c’est une plaie spécifiquement française puisque nous en absorbons deux fois plus que les Japonais et moitié plus que nos cousins allemands, qui ne se portent pas plus mal que nous ! Les volumes de psychotropes (anxiolytiques, antidépresseurs et autres sédatifs) avalés par les Français ont été multipliés par six en vingt ans. Une folle dérive parmi d’autres, qui montre l’immense chemin à parcourir pour parvenir non à dépenser moins coûte que coûte mais à mieux utiliser l’argent collecté auprès des assurés sociaux.
     
    The Myth of the Chemical Cure de docteur Joanna Moncrieff
    Ce livre expose le point de vue traditionnel que les médicaments psychiatriques ciblent les maladies sous-jacentes, ou des déséquilibres chimiques correctes, est une fraude. Il retrace l’émergence de ce point de vue et suggère qu’elle a été adoptée, non pas parce que il y avait une preuve à l’appui, mais parce qu’il a servi les intérêts de la profession psychiatrique, l’industrie pharmaceutique et de l’État moderne. Au lieu de cela il est proposé que le travail des «médicaments psychiatriques en créant des états mentaux altérés, qui peuvent supprimer les symptômes de troubles psychiatriques, ainsi que d’autres fonctions intellectuelles et émotionnelles. La recherche sur les antipsychotiques, les antidépresseurs, les stabilisateurs de l’humeur et de stimulants est examinée pour démontrer cette thèse et les avantages et inconvénients de l’utilisation des différentes sortes de médicaments sont discutés. Il est suggéré que la reconnaissance de la nature réelle de médicaments psychiatriques conduirait à une pratique plus démocratique de la psychiatrie.
     
    L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?

    combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
     
    Dois-je me faire tester pour le cancer ? : Peut-être pas et voici pourquoi de H-Gilbert Welch
    Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
     
    Mais il ne fait aucun doute que le médecin induit la maladie est aujourd’hui l’un des (sinon la principale cause) de la maladie dans la plupart des soi-disant «développés» pays
     
    Depuis les affaires des statines, du Vioxx, de l’Acomplia et du Zyprexa, qui ont occasionné le retrait de plusieurs médicaments
     
    Il y a deux histoires : l’histoire officielle, menteuse… puis l’histoire secrète où sont les véritables causes des évènements, l’histoire honteuse. Erreur, approximations, mensonges délibérés, vérités partielles ou partiales, prédominance d’une seule pensée : peu de domaines aujourd’hui échappent à ces phénomènes.
     
    Étant donné mon entêtement à récidiver sur ce thème, certains pourraient croire que je suis une victime qui veut se venger de ses prédateurs, ce qui n’est absolument pas le cas. Je tiens à signaler que je ne suis pas vaccinée, ayant eu la chance d’avoir une mère très informée sur la santé et un médecin de famille comme il n’en existe presque plus, qui nous ordonnait des infusions ou des bouillons de légumes et jamais de médicaments, puisque, à l’époque, on ne donnait des médicaments qu’aux gens malades. Or, personne n’a jamais été malade dans ma famille qui vivait et mangeait sainement.
     
     Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l’ignorance et la peur.
     
     La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
    Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
     
    Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
     
    Médication Madness (anglais) de professeur peter Breggin
    La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
     
    Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
     
    je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
     » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
     
    combattre les crimes et aberrations commis par certains industriels et nos gouvernements… au nom de notre santé à tous ! Une enquête stupéfiants : les scandales d’un siècle d’expérimentation secrète sur l’être humain.
     
    mensonges et vérités de diana Kircsh
    extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
    Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
    Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
     
    •Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont
     
    LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
    Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
     
    SL : Mais quelle idée, ce titre ? Vous avez décidé de nous faire peur ?
    MM : Non, tout simplement de dire la vérité. C’est un constat, celui d’un échec, l’échec de la médecine. En France, chaque année, 1 300 000 personnes sont hospitalisées dans le secteur public à cause de l’effet indésirable d’un médicament — ça fait quand même 10 % des hospitalisations ! — , et, pour 450 000 d’entre elles, le cas est considéré comme grave ! 18000 personnes n’en réchappent pas. C’est bien une preuve que la médecine nous tue ! Alors, comme je constate qu’en plus, la plupart du temps, elle ne parvient pas à nous sauver malgré l’invention de toutes ses molécules miracles, c’est insupportable.
     
    Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, les médecins des colonies font de l’éradication de la maladie du sommeil leur priorité. Un nouveau médicament vient d’être découvert : la Lomidine. Dans l’enthousiasme, de grandes campagnes de « lomidinisation préventive » sont organisées dans toute l’Afrique. La méthode connaît quelques ratés – la molécule se révèle inefficace et dangereuse – mais ils ne freinent pas les médecins, au contraire. Il faut « lomidiniser » l’intégralité des populations, de gré ou de force.
    Médicaments La grande intox Le 23 juin 2011, Xavier Bertrand, alors ministre de la Santé, déclarait : « Il faut clairement qu’ il y ait un avant et un après-Mediator. » Deux ans plus tard, où en sommes nous ? Sommes-nous à l’ abri de nouveaux scandales sanitaires ? À l’ heure où les pilules contraceptives de troisième et quatrième générations soulèvent des inquiétudes justifi ées, rien n’ est moins sûr. La priorité des laboratoires n’ est pas de nous soigner, mais de faire du profi t. Des maladies sont inventées, des médicaments détournés de leur prescription initiale et des copies d’ anciens médicaments, sans plus-value pour le patient, commercialisées. Pire, on découvre que la plupart de nos médecins connaissent mal les produits qu’ ils nous prescrivent et on attend qu’ un médicament cause plusieurs victimes avant d’ envisager son retrait des offi cines…
     
    Les Français consomment une quantité impressionnante d’antidépresseurs. Pourquoi ? Et avec quelles conséquences ? Que contiennent les antidépresseurs ? Quel rapport y a-t-il entre Hitler et Staline d’un côté, et ces cachets « miraculeux » de l’autre ? Les antidépresseurs sont-ils des médicaments ? De la drogue ? Par quels moyens subtils l’industrie pharmaceutique fait-elle leur  promotion ? Les consommateurs d’antidépresseurs sont-ils les victimes d’une comédie soigneusement orchestrée, ou les victimes de leurs propres illusions auto-infligées ?
     
    Les français sont très préoccupés par leur santé. Ils sont les plus gros consommateurs de médicaments en Europe. On compte une dépense annuelle moyenne de 530 euros par habitant en 2010. La dépense relative à la consommation de biens et de soins médicaux a atteint les 175 milliards d’euros, soit 2692 euros par habitant pour la même année. Alors que la mission première de l’industrie pharmaceutique est censée améliorer notre santé, elle est devenue aujourd’hui une véritable machine de marketing et de vente de produits de consommation.
     
    Médicaments dangereux, essais cliniques biaisés, experts corrompus : l’industrie pharmaceutique est au centre de scandales largement médiatisés. Au fil des procès, on dénonce des conflits d’intérêts et des manquements à l’éthique professionnelle. Mais suffit-il de pointer les failles du système et d’en rester là ? Ne faut-il pas s’interroger également sur son fonctionnement normal pour rendre compte de la récurrence de telles affaires ? C’est la question que pose ce livre, issu d’une enquête de quatre ans, en décrivant la vie d’un médicament ordinaire : un antibiotique apparemment sans histoire, consommé chaque année par des millions de patients.
     
    Au moins 800 000 personnes devraient mourir en France des effets de la pollution dans les vingt prochaines années. L’équivalent d’une ville comme Marseille sera ainsi rayé de la carte, à cause des produits chimiques que nous utilisons et des polluants que nous respirons ou ingérons sans prendre garde. Face à cette hécatombe prévue – 40 000 morts minimum par an – et en grande partie évitable, les industriels se barricadent, les gouvernements tergiversent et l’opinion semble encore endormie. Comme si on annonçait en début de chaque année qu’une nouvelle canicule allait s’abattre sur la France, au moins deux fois plus meurtrière que celle de 2003 qui a tué 15 000 personnes, et que personne ne faisait rien ! Amiante, produits chimiques, pesticides, métaux lourds, dioxines, ozone, particules diesel : pour la première fois, une enquête tente d’évaluer les hécatombes sanitaires, passées et futures, de tous ces polluants, et s’interroge sur les responsabilités de tous les « empoisonneurs » aussi involontaires soient-ils. Il est temps d’écouter les victimes, d’entendre les alertes des experts, de décrire les vrais risques et les incertitudes, de s’interroger sur ces contaminations collectives liées au monde du travail ou à la vie urbaine, dont la France semble prendre conscience plus tardivement que d’autres pays, faute de politiques ambitieuses de prévention et de précaution.
     
    Mammography screening. Truth, lies and controversy (« Dépistage par mammographie. Vérité, mensonges et controverse »)
    traite spécifiquement des enjeux scientifiques et des luttes d’influence dans le domaine du dépistage du cancer du sein.Se basant sur une étude réalisée au Danemark et sur l’analyse critique d’études internationales, son auteur danois Peter Gotzsche juge que le dépistage par mammographie présente plus d’inconvénients que d’avantages, entraînant des surdiagnostics de cancers « non symptomatiques », qui n’auraient au final eu aucun effet sur la vie des femmes concernées. »Il peut être raisonnable de ne pas se soumettre au dépistage par mammographie parce qu’il présente à la fois des bienfaits et des dommages », estime-t-il.
     
    L’autisme est devenu la nouvelle épidémie du siècle, mais les pouvoirs publics prétendent que son origine est génétique. Comment une maladie génétique peut-elle s’être multipliée par 12 en dix ans dans les pays développés, soit environ un cas sur 150 naissances ?
     
    Mère de trois enfants dont l’aîné est autiste, Marie-Christine Dépréaux passe le plus clair de son temps à rechercher, traduire et analyser tout ce qui, depuis 8 ans, a trait aux approches biomédicales de l’autisme, mené à un niveau de qualité scientifique acceptable et appuyer par de solides références médicales et surtout d’aller jusqu’au bout. Si la littérature anglaise sur cette vision de l’autisme abonde de témoignages autant de parents que de médecins, si des débats ont lieu aussi bien au niveau du gouvernement que des médias anglophones tant radiophoniques que télévisuels, rien de similaire n’existe pour un auditoire francophone. C’est pourquoi elle décide de se lancer dans l’aventure du livre parce qu’elle aurait aimé découvrir il y a 20 ans, provoquant débats sérieux et fournissant une promotion sur le sujet. Elle s’insurge enfin contre le discours immuable et fataliste entendu trop souvent sur l’autisme: fatalité génétique, non! Trop simpliste! Elle nous révèle qu’existe un microcosme médical à l’origine des nouvelles approches biomédicales de l’autisme. Souhaitons que les membres du DAN (Defeat Autism Now) soient ces scientifiques d’avant-garde qui, avec le concours des parents d’enfants autistes, réveilleront la communauté scientifique endormie afin de vaincre l’autisme des personnes déjà atteintes et d’en déterminer l’origine pour éviter de nouvelles victimes.
     
    Vous découvrirez dans cet ouvrage la face cachée sur les non-dits concernant les métaux lourds, les maladies qui en découlent (épilepsie, jambes sans repos, mycoses, candida, fibromyalgie, hyperactivité, déficit d’attention, psoriasis, électrosensibilité, allergies alimentaires, allergies au pollen, asthme, bipolaire, tocs, anorexie, dépression, anémie, fatigue chronique, diminution de la libido, coliques du nouveau-né, migraine, accouphènes, sifflements d’oreilles, …) ainsi qu’un traitement 100% naturel pour les éliminer, les signes cliniques (248 répertoriés) et les sources d’intoxication de même que les erreurs à éviter lors de déposes d’amalgames, les protections les plus minutieuses et nécessaires effectuées par le dentiste n’étant de loin pas suffisantes.Des mises en garde et les conséquences des chélations 100% chimiques comme (DMPS, EDTA, DMSA …) utilisés dans l’urgence après Tchernobyl, produits trop banalisés à ce jour !
     
    Suicide et la mort peuvent se cacher Dans chaque pilule ISRS Je suis Ann Blake Tracy, Ph.D., chef de la Coalition internationale pour la sensibilisation aux drogues. Je suis l’auteur de Prozac: panacée ou Pandora? – Notre cauchemar de la sérotonine et ont témoigné dans des affaires judiciaires impliquant des antidépresseurs pendant 12 ans 1/2. Les 15 dernières années de ma vie ont été consacrées à plein temps à des recherches et à écrire sur les antidépresseurs ISRS. La recherche sur la sérotonine a été clair dès le début que la chose la plus dommageable qui pourrait être fait pour le système de sérotonine serait porter atteinte à sa capacité à métaboliser la sérotonine. Pourtant, c’est exactement ce que les antidépresseurs ISRS exercent leurs effets. Pour la recherche des décennies a montré que le métabolisme de la sérotonine atteinte produira migraines, bouffées de chaleur, douleurs autour du coeur, difficultés respiratoires, une aggravation des plaintes bronchiques, la tension et l’anxiété qui apparaissent de nulle part, la dépression, le suicide – en particulier le suicide très violent, l’hostilité , les crimes violents, les incendies criminels, la toxicomanie, la psychose, la manie, la maladie organique du cerveau, l’autisme, l’anorexie, la conduite dangereuse, la maladie d’Alzheimer, un comportement impulsif sans se soucier de la peine, et le comportement argumentatif. Comment on jamais pensé que ce serait «thérapeutique» pour induire chimiquement ces réactions, cela me dépasse. Pourtant, ces réactions sont exactement ce dont nous avons été témoins dans notre société au cours de la dernière décennie et demie en raison de l’utilisation généralisée de ces médicaments. En fait, nous avons même un nouveau vocabulaire à la suite avec des termes tels que «rage au volant», «suicide par policier », « assassiner / suicide», «va», «syndrome du faux souvenir, » postal « école de tir »,  » bi-polaire »- chaque troisième personne que vous rencontrerez plus – avec des taux faramineux de diabète de type antidépresseur induit et l’hypoglycémie. Vous souvenez-vous il ya deux décennies, quand les gens déprimés utilisés pour s’éclipser discrètement de se suicider plutôt que de tuer tout le monde autour d’eux et puis eux-mêmes comme ils le font tout en prenant des antidépresseurs ISRS? Une étude de l’Université de Californie du Sud en 1996 a porté sur un groupe de souris mutantes dans une expérience qui a terriblement mal tourné. Ces souris transgéniques étaient les créatures les plus violents qu’ils avaient jamais vu. Ils sont nés manque la MAO-A enzyme qui métabolise la sérotonine. À la suite de leurs cerveaux étaient inondés de sérotonine. Cet excès de sérotonine est ce que les chercheurs ont déterminé était la cause de cette violence extrême. Les antidépresseurs produisent le même résultat final car ils inhibent le métabolisme de la sérotonine. Ce sont des médicaments extrêmement dangereux qui doivent être interdits en tant que médicaments similaires ont été interdits dans le passé. Comme société, nous pensions jadis LSD et le PCP comme des médicaments miracles avec de grandes marges de sécurité chez l’homme. Nous n’avons jamais vu médicaments si semblables à ceux du LSD et le PCP que ces antidépresseurs ISRS. Tous ces médicaments produisent rêver pendant les périodes d’éveil. On croit que les niveaux de sérotonine élevés sur stimulent le tronc cérébral qui entraîne un manque de paralysie musculaire pendant le sommeil permettant ainsi au patient d’agir sur les rêves ou les cauchemars qu’ils ont. Le monde a été témoin clairement dans l’assassiner-suicide Zoloft induite par le comédien Phil Hartman et son épouse, Brynn. Connecticut a vu le cas Prozac induite par Kelly Soie il ya plusieurs années. Cette jeune mère a attaqué sa famille avec un couteau, puis réglez la maison en feu tuant tous mais sa fille de 8 ans qui a couru chez les voisins. Comme elle se tenait saignements et crier à l’aide, elle a expliqué: «Au secours! Ma maman est un cauchemar! » Sur la bouche des enfants, nous allons comprendre ces cauchemars pour ce qu’ils sont. Elle a compris que c’était quelque chose que sa mère ferait que dans un cauchemar, jamais dans la réalité. Ceci est connu comme un trouble du comportement en sommeil paradoxal. Dans le passé, il était surtout connu comme un état ​​de sevrage, mais la plus grande installation de sommeil dans le pays a signalé que 86% des cas, ils sont diagnostiquent sont les patients sous antidépresseurs. Parce que cela a été connu dans le passé comme condition manifestant principalement par le retrait de la drogue, vous devriez voir comment l’état dangereux de retrait de ces médicaments se révélera être. C’est pourquoi il est si important de s’assurer que les patients sont sevrés très lentement afin d’éviter tout risque d’entrer dans un état ​​de sevrage.
     
    Malheureusement, la psychiatrie tue
    Il n’y a aucun doute que la façon dont nous utilisons actuellement des médicaments utilisés en psychiatrie fait beaucoup plus de mal que de bien. Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population. Il n’y a rien de patients psychiatriques craignent plus de traitement forcé, et il s’agit de des principales raisons pourquoi avoir un contact étroit avec le système de traitement psychiatrique nettement augmente des suicides. Selon une convention des Nations Unies, traitement forcé constitue une violation des droits de l’homme et doit être interdit, et les données empiriques ont montré qu’une psychiatrie sans traitement forcé est possible
     
    psychiatrie mortelle et déni organisé grand forma
  • Remèdes mortels et crime organisé - Comment l'industrie pharmaceutique a corrompu les services de santé


    Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste... Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins... Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique... Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité... Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir. »
     
    Les médecins sont "les putes des médicaments"

  • Justice

    justice, médecins et médicaments
    condamnations, class actions, avocats....

    justice pour les victimes des benzodiazépines, somnifères et psychotropesTout sur le sujet

    Aspartame, histoire et justice
    L'aspartame imite les symptômes des maladies ou aggrave les maladies suivantes; La fibromyalgie, l'arthrite, la sclérose en plaques (SEP), maladie de Parkinson, le lupus, le diabète et les complications du diabète, l'épilepsie, la maladie d'Alzheimer, des malformations congénitales, le syndrome de fatigue chronique, le lymphome, la maladie de Lyme, trouble déficitaire de l'attention (TDA).

    GSK paie une amende record de 3 milliards de dollars aux Etats-Unis
    La société britannique a illégalement commercialisé des médicaments Paxil dépression aux enfants et aux adolescents, même parrainage des dîners et des programmes spa dans le nom du médicament, selon l'accusation.
    Glaxo a également utilisé faux conseils consultatifs et des haut-parleurs dans les stations de somptueuses pour promouvoir Wellbutrin médicaments dépression comme une option pour la perte de poids et un remède pour la dysfonction sexuelle et la toxicomanie, selon le gouvernement.  Les clients ont été invités à utiliser plus élevé que les doses approuvées, selon le gouvernement.
    Le géant de la santé a également été accusé par les procureurs de la publicité off-label utilise pour l'asthme Advair drogue, la saisie des médicaments Lamictal et Zofran traitement des nausées, tout en faisant de fausses déclarations au sujet de la sécurité et l'utilité de ces médicaments.

    "Quand un crime a entraîné la mort de nombreuses personnes, nous devrions le considérer comme un CRIME CONTRE L'HUMANITE. Que des centaines ou des milliers de personnes soient tuées à des fins de gains personnels par les armes ou par les pilules ne doit faire aucune différence pour notre perception du méfait"

  • Consentement non-éclairé

    "Nous ne devrions pas faire confiance aux compagnies pharmaceutiques pour nous donner de bons médicaments"

  • L’histoire des médicaments : Histoire des origines de la mafia médicale ," les voyous dont vous pensiez qu’ils vous aidaient au mieux pour vos maladies" meurtre par injection de eustace Mullins